« La DGSE a organisé les massacres avec l'aide des cinq hommes de main des Anti-Balaka et la France aurait gagné sur deux coups », selon un politologue spécialiste de l'Afrique.
En Centrafrique, la minorité musulmane est la cible de violences de milices à majorité chrétienne (les anti-Balaka) qui sont noyautés par des agents de la DGSE (Direction générale de la Sécurité extérieure, service de renseignement français).
Selon les observateurs, cet agent de l’ONU sait pertinemment que ces massacres sont organisés par les services secrets de l’armée française, « et du coup, la France aura gagné sur deux registres : une présence militaire cautionnée par l’UA, et par extension un génocide contre les musulmans, et sans que ces massacres ne soient attribués aux forces d’agression françaises », relève un politogue algérien spécialiste de l’Afrique.
Avec Jeune-independant.net
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