Après avoir passé plusieurs années au Canada, l'entrepreneur culturel tchadien Randah Victoire, également connu sous le nom de Golden Sonik, partage ses observations sur l'évolution des artistes et du milieu culturel au Tchad.
« Ayant vécu plus de 20 ans au Tchad, je suis admiratif de la transformation de la jeunesse tchadienne. Elle est désormais plus audacieuse, avec de nombreuses jeunes filles s'engageant dans l'entrepreneuriat, soutenues par diverses organisations », déclare Golden Sonik, un investisseur dans les projets culturels tchadiens, même depuis l’étranger.
« Au Tchad, la jeunesse est proactive, créant des opportunités économiques. Certains se forment même aux outils numériques, conjuguant passion et créativité pour réaliser leurs rêves » souligne-t-il.
Golden Sonik considère que le soutien accru au domaine culturel est une lueur d'espoir. Désormais, on peut entreprendre en musique et bénéficier du soutien des autorités, ce qui est déjà une avancée significative, selon le jeune producteur. Pour assouvir sa passion pour la musique, il a consacré quatre ans d'efforts pour concrétiser son rêve de créer un label qu'il a nommé « Buzz Masters War », pour la production musicale.
Récemment, un deuxième label, portant son surnom Golden Sonik, a été lancé. L'entrepreneur a également renforcé la visibilité de l'album « Tchad », de l'artiste Lyguy sous cette bannière. Il annonce fièrement : « Nous avons déjà deux artistes prometteurs sous notre aile : Mario Nderngue et Mouktarby. Gardez un œil sur Mouktarby, il est promis à un grand avenir ».
« Mon objectif principal actuel est de promouvoir davantage notre musique locale à l'étranger, grâce au numérique. Je veux également faire briller nos artistes sur la scène internationale. J'ai choisi de rester dans l'ombre, de mettre mon propre nom de côté, pour permettre à d'autres talents culturels de toucher le cœur du public tchadien ».
Une attitude qui démontre la modestie et l'engagement de cet entrepreneur, qui se soucie non seulement de la prospérité des talents tchadiens, mais aussi du patriotisme. Il salue également les efforts d'autres labels, comme Rafal Production, et reste optimiste quant à l'image culturelle du Tchad.
« Nous sommes sur la bonne voie, mais nous devons renforcer notre communication interne pour propulser notre culture », suggère-t-il. « Je suis particulièrement touché par la solidarité manifeste entre les comédiens tchadiens, tels qu'Adjim Ebento, El presidente et Mr Dap. Il est temps de briser les barrières pour que les Tchadiens soient encore plus fiers de leur culture », conclut-il.
« Ayant vécu plus de 20 ans au Tchad, je suis admiratif de la transformation de la jeunesse tchadienne. Elle est désormais plus audacieuse, avec de nombreuses jeunes filles s'engageant dans l'entrepreneuriat, soutenues par diverses organisations », déclare Golden Sonik, un investisseur dans les projets culturels tchadiens, même depuis l’étranger.
« Au Tchad, la jeunesse est proactive, créant des opportunités économiques. Certains se forment même aux outils numériques, conjuguant passion et créativité pour réaliser leurs rêves » souligne-t-il.
Golden Sonik considère que le soutien accru au domaine culturel est une lueur d'espoir. Désormais, on peut entreprendre en musique et bénéficier du soutien des autorités, ce qui est déjà une avancée significative, selon le jeune producteur. Pour assouvir sa passion pour la musique, il a consacré quatre ans d'efforts pour concrétiser son rêve de créer un label qu'il a nommé « Buzz Masters War », pour la production musicale.
Récemment, un deuxième label, portant son surnom Golden Sonik, a été lancé. L'entrepreneur a également renforcé la visibilité de l'album « Tchad », de l'artiste Lyguy sous cette bannière. Il annonce fièrement : « Nous avons déjà deux artistes prometteurs sous notre aile : Mario Nderngue et Mouktarby. Gardez un œil sur Mouktarby, il est promis à un grand avenir ».
« Mon objectif principal actuel est de promouvoir davantage notre musique locale à l'étranger, grâce au numérique. Je veux également faire briller nos artistes sur la scène internationale. J'ai choisi de rester dans l'ombre, de mettre mon propre nom de côté, pour permettre à d'autres talents culturels de toucher le cœur du public tchadien ».
Une attitude qui démontre la modestie et l'engagement de cet entrepreneur, qui se soucie non seulement de la prospérité des talents tchadiens, mais aussi du patriotisme. Il salue également les efforts d'autres labels, comme Rafal Production, et reste optimiste quant à l'image culturelle du Tchad.
« Nous sommes sur la bonne voie, mais nous devons renforcer notre communication interne pour propulser notre culture », suggère-t-il. « Je suis particulièrement touché par la solidarité manifeste entre les comédiens tchadiens, tels qu'Adjim Ebento, El presidente et Mr Dap. Il est temps de briser les barrières pour que les Tchadiens soient encore plus fiers de leur culture », conclut-il.