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Lomé (Togo) – En présence du Ministre de l’Économie et des Finances de la République Togolaise, Monsieur Sani Yaya, représentant Son Excellence Monsieur le Président de la République, Monsieur Faure Essozimna Gnassingbé, le groupe bancaire panafricain Oragroup a fait son entrée aujourd’hui à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), lors de la cérémonie de première cotation à Lomé. Cette introduction – la plus importante depuis la création de la BRVM en 1998 – intervient après le succès de l’offre publique de vente souscrite à 100%, du 29 octobre au 22 novembre 2018.
Cette offre publique de vente comprenait l’émission de 6 097 561 nouvelles actions, par augmentation de capital, et la cession de 7 785 445 actions existantes sur le marché secondaire, au prix de 4 100 francs CFA l’action, soit une levée sur le marché financier régional de 56,92 milliards de francs CFA (86 millions d’euros). À présent, 20 % du capital d’Oragroup est coté en Bourse (capital flottant). Les autres actionnaires actuels du Groupe conservent 80 % du capital, dont l’investisseur panafricain Emerging Capital Partners (ECP) qui reste l’actionnaire de référence avec plus de 50 % des parts.
« ECP et Oragroup apportent aujourd’hui la démonstration que la finance africaine se développe, qu’elle est au service du financement de nos économies et que nous assistons à l’émergence d’un authentique africapitalisme, capable d’intensifier et d’accélérer la marche vers la croissance du continent, et sa transformation profonde et durable au bénéfice des populations. La stratégie d’ECP est de créer de la valeur dans chacun de ses investissements en portant toutes les activités de l’entreprise aux standards internationaux pour faire émerger des champions régionaux accompagnés sur la durée », explique Vincent Le Guennou, Président du Conseil d’Administration d’Oragroup et Co-CEO d’Emerging Capital Partners.
« Cette introduction en Bourse constitue à la fois l’aboutissement d’un travail effectué depuis 10 ans mais aussi et surtout une incitation à poursuivre dans la même voie. La confiance du marché confirme la solidité de notre modèle et le potentiel de croissance de notre Groupe. Oragroup entend utiliser ces nouvelles marges de manœuvre pour investir dans l’extension de son réseau et des services à la clientèle, essentiellement les particuliers et les PME. Cette augmentation du capital va notamment nous permettre de procéder à des investissements dans la banque digitale, saisir les opportunités de croissance dans les pays d’Afrique Centrale, accroître la notoriété du Groupe auprès de la communauté financière et du grand public, et renforcer les fonds propres de certaines filiales », développe Binta Touré Ndoye, Directrice Générale d’Oragroup.
À fin 2017, Oragroup affichait un total de bilan à 1 794 milliards de francs CFA (2,72 milliards d’euros), soit une croissance de 45 % depuis 2014. Les dépôts de la clientèle de l’ensemble du réseau Orabank s’élevaient à 1 179 milliards de francs CFA (+ 42% sur la période) et les opérations de crédits à 1 085 milliards de francs CFA (+ 38%). Au total, le Groupe affiche un produit net bancaire de 108 milliards de francs CFA (164 millions d’euros, + 33 %) et un résultat net en forte hausse de 45% sur un an et de 205 % depuis 2014 à 21,97 milliards de francs CFA (33 millions d’euros).
En 10 ans, la trajectoire de croissance d’Oragroup a été exemplaire. Le réseau Orabank est passé d’une présence dans cinq pays de l’Afrique de l’Ouest et Centrale à une dimension panafricaine avec des filiales dans 12 pays répartis sur quatre zones monétaires. Après avoir été la « meilleure banque régionale en Afrique de l’Ouest » en 2015 et 2017 (African Banker Awards), Oragroup a obtenu en mai 2018 de l’agence Bloomfield les notes d’investissement A à long terme et A2 à court terme, consacrant ainsi la solidité et les performances du Groupe. Le 30 novembre 2018, les trois entités du Groupe au Burkina Faso, au Sénégal et au Togo ont remporté le trophée de la « meilleure banque dans leurs pays respectifs » décerné par le magazine The Banker, édité par le groupe Financial Times.
Cette offre publique de vente comprenait l’émission de 6 097 561 nouvelles actions, par augmentation de capital, et la cession de 7 785 445 actions existantes sur le marché secondaire, au prix de 4 100 francs CFA l’action, soit une levée sur le marché financier régional de 56,92 milliards de francs CFA (86 millions d’euros). À présent, 20 % du capital d’Oragroup est coté en Bourse (capital flottant). Les autres actionnaires actuels du Groupe conservent 80 % du capital, dont l’investisseur panafricain Emerging Capital Partners (ECP) qui reste l’actionnaire de référence avec plus de 50 % des parts.
« ECP et Oragroup apportent aujourd’hui la démonstration que la finance africaine se développe, qu’elle est au service du financement de nos économies et que nous assistons à l’émergence d’un authentique africapitalisme, capable d’intensifier et d’accélérer la marche vers la croissance du continent, et sa transformation profonde et durable au bénéfice des populations. La stratégie d’ECP est de créer de la valeur dans chacun de ses investissements en portant toutes les activités de l’entreprise aux standards internationaux pour faire émerger des champions régionaux accompagnés sur la durée », explique Vincent Le Guennou, Président du Conseil d’Administration d’Oragroup et Co-CEO d’Emerging Capital Partners.
« Cette introduction en Bourse constitue à la fois l’aboutissement d’un travail effectué depuis 10 ans mais aussi et surtout une incitation à poursuivre dans la même voie. La confiance du marché confirme la solidité de notre modèle et le potentiel de croissance de notre Groupe. Oragroup entend utiliser ces nouvelles marges de manœuvre pour investir dans l’extension de son réseau et des services à la clientèle, essentiellement les particuliers et les PME. Cette augmentation du capital va notamment nous permettre de procéder à des investissements dans la banque digitale, saisir les opportunités de croissance dans les pays d’Afrique Centrale, accroître la notoriété du Groupe auprès de la communauté financière et du grand public, et renforcer les fonds propres de certaines filiales », développe Binta Touré Ndoye, Directrice Générale d’Oragroup.
À fin 2017, Oragroup affichait un total de bilan à 1 794 milliards de francs CFA (2,72 milliards d’euros), soit une croissance de 45 % depuis 2014. Les dépôts de la clientèle de l’ensemble du réseau Orabank s’élevaient à 1 179 milliards de francs CFA (+ 42% sur la période) et les opérations de crédits à 1 085 milliards de francs CFA (+ 38%). Au total, le Groupe affiche un produit net bancaire de 108 milliards de francs CFA (164 millions d’euros, + 33 %) et un résultat net en forte hausse de 45% sur un an et de 205 % depuis 2014 à 21,97 milliards de francs CFA (33 millions d’euros).
En 10 ans, la trajectoire de croissance d’Oragroup a été exemplaire. Le réseau Orabank est passé d’une présence dans cinq pays de l’Afrique de l’Ouest et Centrale à une dimension panafricaine avec des filiales dans 12 pays répartis sur quatre zones monétaires. Après avoir été la « meilleure banque régionale en Afrique de l’Ouest » en 2015 et 2017 (African Banker Awards), Oragroup a obtenu en mai 2018 de l’agence Bloomfield les notes d’investissement A à long terme et A2 à court terme, consacrant ainsi la solidité et les performances du Groupe. Le 30 novembre 2018, les trois entités du Groupe au Burkina Faso, au Sénégal et au Togo ont remporté le trophée de la « meilleure banque dans leurs pays respectifs » décerné par le magazine The Banker, édité par le groupe Financial Times.