L’incivisme des populations condamne la capitale tchadienne à être un bidonville. Actuellement, la ville de N’Djamena fait face à une insalubrité et une pollution grandissantes. Pourtant, la mairie de la ville a déclaré la guerre aux sacs en plastique, communément appelés « lédas », les années écoulées. Elle avait décrété l'interdiction de la vente et l'usage des sacs en plastique, dans la ville en 2008.
Une décision non appliquée par la mairie jusqu’en janvier 2010, au moment où la dame de fer, Marie Mbaïlemdana Thérèse est arrivée à la tête de la municipalité. C’est ainsi qu'une opération de guerre contre les sacs en plastique fut relancée. Peu après, la mairie a commencé à collecter les sachets en plastique, à les brûler et à donner des amendes aux contrevenants. Ils risquaient trois mois de prison, avec une amende de 50 000 à 300 000 francs CFA. Si cette opération a été jugée impossible et inapplicable par la population et les autorités, mais cette dame s’est imposée contre les personnes qu’elle nommait « les vautours accrochés dans les arbres ». C’est ainsi que la ville de N’Djamena a été sauvée de ces sacs en plastique, jusqu’ aujourd’hui.
Mais depuis un certain temps, l’on constate que les sacs en plastique commence à circuler dans certains quartiers de N’Djamena, et à être vendus dans des magasins de la place. Même l’eau en sachet qui se vendait dans les provinces et en zone rurale est maintenant écoulée à N’Djamena. L’on trouve ces eaux en sachet actuellement à la sortie Nord et Sud de N’Djamena, et même à l’Ouest, à Ngueli. Ces sachets sont aussi vendus dans certaines agences de voyages de la ville de N’Djamena, mais secrètement. Et de plus en plus, les sacs en plastique appelés "lédas" inondent le sol.
Partout dans les rues de N’Djamena, l’on les aperçoit. "La ville de N’Djamena retombe dans ses années antérieures", s'exclame un citoyen. Si la vente de l’eau en sachet génère des revenus pour ceux qui exercent de petites activités commerciales afin de survivre, l'assainissement de la capitale est un impératif pour relever les défis du développement durable.
Une décision non appliquée par la mairie jusqu’en janvier 2010, au moment où la dame de fer, Marie Mbaïlemdana Thérèse est arrivée à la tête de la municipalité. C’est ainsi qu'une opération de guerre contre les sacs en plastique fut relancée. Peu après, la mairie a commencé à collecter les sachets en plastique, à les brûler et à donner des amendes aux contrevenants. Ils risquaient trois mois de prison, avec une amende de 50 000 à 300 000 francs CFA. Si cette opération a été jugée impossible et inapplicable par la population et les autorités, mais cette dame s’est imposée contre les personnes qu’elle nommait « les vautours accrochés dans les arbres ». C’est ainsi que la ville de N’Djamena a été sauvée de ces sacs en plastique, jusqu’ aujourd’hui.
Mais depuis un certain temps, l’on constate que les sacs en plastique commence à circuler dans certains quartiers de N’Djamena, et à être vendus dans des magasins de la place. Même l’eau en sachet qui se vendait dans les provinces et en zone rurale est maintenant écoulée à N’Djamena. L’on trouve ces eaux en sachet actuellement à la sortie Nord et Sud de N’Djamena, et même à l’Ouest, à Ngueli. Ces sachets sont aussi vendus dans certaines agences de voyages de la ville de N’Djamena, mais secrètement. Et de plus en plus, les sacs en plastique appelés "lédas" inondent le sol.
Partout dans les rues de N’Djamena, l’on les aperçoit. "La ville de N’Djamena retombe dans ses années antérieures", s'exclame un citoyen. Si la vente de l’eau en sachet génère des revenus pour ceux qui exercent de petites activités commerciales afin de survivre, l'assainissement de la capitale est un impératif pour relever les défis du développement durable.