Avoir un répétiteur pour son enfant est l'ultime option pour certains parents d’élèves. D’autres s’en chargent eux-mêmes, dans l’intention de combler des manquements chez les apprenants. Cette option est-elle meilleure pour permettre à l’enfant d’avoir un bon niveau éducatif ?
« Cherchez-moi un bon répétiteur pour mon fils. Il faut qu’il soit bien formé car, je n’ai vraiment pas confiance au système éducatif tchadien d’aujourd’hui. Tantôt, c’est la grève, tantôt des manifestations sans fin, je ne veux pas un fils qui doit passer tout son temps en train de faire autre chose que d’apprendre », recommande Abdallah Saleh, à un directeur d’établissement.
Devant un verre de thé, Ismaël Doungous projette quelques pistes de solution pour son enfant. « Même s’il faut des grosses dépenses pour que le niveau de cet enfant change, je suis partant », dit-il. Sans compter les frais de scolarité qu’il paie pour ses deux enfants, Alfred paie au moins 40 000 FCFA de frais de répétition pour ses deux enfants.
« Je ne peux pas me permettre de prendre n’importe quel enseignant. Si un maître n’est pas en mesure de me convaincre, il ne pourra certainement pas convaincre l’enfant. Cela doit être prise au sérieux si un père compte attendre de son fils un travail de qualité à l’école », explique-t-il.
Tout n’est pas rose pour les répétiteurs. Sous un hangar aménagé, Valentin donne les consignes à une jeune fille âgée a peine 14 ans. Elle devrait traiter un exercice de grammaire avant tout autre chose. Tête baissée, la jeune fille ne sait plus quoi faire. « Il faut que la fille reprenne son niveau, sinon je ne reviendrai plus jamais ici, car son niveau demande un investissement », s’inquiète cet enseignant de grammaire. Après un constat ou pas, certains parents s’engagent à recruter le répétiteur.
« Cet enfant peut s’améliorer. Il n’est pas vraiment bon que son niveau soit le même chaque année », indique un parent d’élève sur une natte. Non seulement dans cet engagement, certains pères jouent au malin pour échapper aux dépenses. « J’ai commencé à faire des répétitions un enfant. Une fois que son niveau s’est amélioré, son papa m’a stoppé. Il m’a demandé d’attendre que l’enfant rechute pour reprendre », Toua Melton.
Au-delà du qualité d’un répétiteur à recruter, il y des parents qui choisissent les séries à leurs progénitures. « Le choix de la formation dépend des capacités requises par l’élève. Si un parent impose à son enfant un domaine de formation quelconque, il ira dormir là-bas pour rien », rassure Abgue Boukar Christophe.
De même, il estime que cela est un investissement. Si un père n’est pas en mesure de veiller sur la qualité de l’éducation de son enfant à l’école, il ne doit rien attendre de l’enfant comme bon rendement. « Nous ne faisons que compléter et orienter les enfants afin qu’ils comprennent ce que leur donnera les enseignants. Si un répétiteur donne autres choses et l’enseignant une autre, c’est dangereux pour l’enfant », explique Winamou Alona, répétiteur.
Pour les spécialistes de l’éducation, un père devrait suivre son enfant et s’assurer du programme au cours. « Un bon éducateur, un bon père doit vérifier à chaque fois le cahier de son enfant, pour s’assurer de qui est enseigné à son enfant ».
« Cherchez-moi un bon répétiteur pour mon fils. Il faut qu’il soit bien formé car, je n’ai vraiment pas confiance au système éducatif tchadien d’aujourd’hui. Tantôt, c’est la grève, tantôt des manifestations sans fin, je ne veux pas un fils qui doit passer tout son temps en train de faire autre chose que d’apprendre », recommande Abdallah Saleh, à un directeur d’établissement.
Devant un verre de thé, Ismaël Doungous projette quelques pistes de solution pour son enfant. « Même s’il faut des grosses dépenses pour que le niveau de cet enfant change, je suis partant », dit-il. Sans compter les frais de scolarité qu’il paie pour ses deux enfants, Alfred paie au moins 40 000 FCFA de frais de répétition pour ses deux enfants.
« Je ne peux pas me permettre de prendre n’importe quel enseignant. Si un maître n’est pas en mesure de me convaincre, il ne pourra certainement pas convaincre l’enfant. Cela doit être prise au sérieux si un père compte attendre de son fils un travail de qualité à l’école », explique-t-il.
Tout n’est pas rose pour les répétiteurs. Sous un hangar aménagé, Valentin donne les consignes à une jeune fille âgée a peine 14 ans. Elle devrait traiter un exercice de grammaire avant tout autre chose. Tête baissée, la jeune fille ne sait plus quoi faire. « Il faut que la fille reprenne son niveau, sinon je ne reviendrai plus jamais ici, car son niveau demande un investissement », s’inquiète cet enseignant de grammaire. Après un constat ou pas, certains parents s’engagent à recruter le répétiteur.
« Cet enfant peut s’améliorer. Il n’est pas vraiment bon que son niveau soit le même chaque année », indique un parent d’élève sur une natte. Non seulement dans cet engagement, certains pères jouent au malin pour échapper aux dépenses. « J’ai commencé à faire des répétitions un enfant. Une fois que son niveau s’est amélioré, son papa m’a stoppé. Il m’a demandé d’attendre que l’enfant rechute pour reprendre », Toua Melton.
Au-delà du qualité d’un répétiteur à recruter, il y des parents qui choisissent les séries à leurs progénitures. « Le choix de la formation dépend des capacités requises par l’élève. Si un parent impose à son enfant un domaine de formation quelconque, il ira dormir là-bas pour rien », rassure Abgue Boukar Christophe.
De même, il estime que cela est un investissement. Si un père n’est pas en mesure de veiller sur la qualité de l’éducation de son enfant à l’école, il ne doit rien attendre de l’enfant comme bon rendement. « Nous ne faisons que compléter et orienter les enfants afin qu’ils comprennent ce que leur donnera les enseignants. Si un répétiteur donne autres choses et l’enseignant une autre, c’est dangereux pour l’enfant », explique Winamou Alona, répétiteur.
Pour les spécialistes de l’éducation, un père devrait suivre son enfant et s’assurer du programme au cours. « Un bon éducateur, un bon père doit vérifier à chaque fois le cahier de son enfant, pour s’assurer de qui est enseigné à son enfant ».