RENNES - Les famille de quatre otages français au Sahel ont estimé que les captifs ne seraient pas sauvés par les opérations militaires et ont appelé le gouvernement français à négocier avec Al-Qaïda au Maghreb islamique.
La France doit donner à Aqmi des signaux clairs montrant une volonté de négocier, en lien avec les sociétés Areva et Vinci, estiment dans un communiqué les familles des quatre otages enlevés le 16 septembre 2010 par Al-Qaïda au Maghreb islamique dans le nord du Niger, à Arlit, un site d'extraction d'uranium.
Aujourd'hui, on considère que les opérations militaires, de force, ne parviendront pas à sauver les otages, a expliqué à l'AFP René Robert, le grand-père maternel de Pierre Legrand, l'un des quatre otages aux mains d'Aqmi.
La France doit donner à Aqmi des signaux clairs montrant une volonté de négocier, en lien avec les sociétés Areva et Vinci, estiment dans un communiqué les familles des quatre otages enlevés le 16 septembre 2010 par Al-Qaïda au Maghreb islamique dans le nord du Niger, à Arlit, un site d'extraction d'uranium.
Aujourd'hui, on considère que les opérations militaires, de force, ne parviendront pas à sauver les otages, a expliqué à l'AFP René Robert, le grand-père maternel de Pierre Legrand, l'un des quatre otages aux mains d'Aqmi.