Quelle appréciation faites-vous de la participation du Grand-Nord à la dernière édition de Ya-Fe ?
L’initiative a été salutaire, celle d’aider les Pme et les artisans des trois régions septentrionales du Cameroun, en leur permettant d’exposer à Ya-Fe. Déjà, nous sommes éloignés, ce qui suppose d’énormes coûts en termes de transport et d’hébergement. Le fait de nous aider à avoir gratuitement des stands aura donc été une très bonne chose. Nous souhaitons vivement que cela se répète pour les éditions à venir. Et au-delà du transport et de la gratuité des stands, que l’on nous appuie pour l’hébergement une fois à Yaoundé. Ce sera une bonne bouffée d’oxygène pour nos affaires.
Quelle aura été la particularité des produits présentés par les exposants de votre aire socio-cultuelle ?
La particularité, c’est que nous avons des produits originaux et traditionnels : la maroquinerie, les objets d’arts, la mode, l’habillement et le domaine agro-alimentaires, à l’exemple du miel Chifaa, un produit qui fait partie de notre trésor culturel. Il faut tout de même regretter que notre secteur ait été faiblement visité, du fait de son emplacement sur le site de la foire. Cela a constitué un réel handicap pour nous, alors que la participation du Grand Nord aura été une innovation de la 10ème édition de Ya-Fe. Cela étant, nous pensons que les organisateurs vont mieux y réfléchir pour la prochaine fois.
Avez-vous bénéficiez d’un quelconque appui de la part des collectivités territoriales décentralisées quant à votre participation à cet événement ?
Je puis vous dire qu’aucun appui n’a été accordé aux artisans par les communes. Il faut même regretter le fait que certains maires sont plutôt réticents quant à leur implication à ce type d’événement. Plus grave encore, cette année, toutes les communes n’ont même pas pu organiser leur traditionnel salon artisanal.
Quel bilan pouvez-vous faire au terme de cette foire, en termes d’opportunités d’affaires ?
En ce qui me concerne, financièrement, le bilan est mitigé. Mais nous ne regrettons pas en termes d’expérience acquise. Il faut tout de même mentionner que pour la plupart, nous avons été informés un peu en retard au sujet de notre participation à cet important événement. Or une manifestation foraine comme Ya-Fe se prépare à l’avance. Nous avons espoir qu’avec les contacts engrangés, nous pourrions trouver notre compte à l’avenir.
L’initiative a été salutaire, celle d’aider les Pme et les artisans des trois régions septentrionales du Cameroun, en leur permettant d’exposer à Ya-Fe. Déjà, nous sommes éloignés, ce qui suppose d’énormes coûts en termes de transport et d’hébergement. Le fait de nous aider à avoir gratuitement des stands aura donc été une très bonne chose. Nous souhaitons vivement que cela se répète pour les éditions à venir. Et au-delà du transport et de la gratuité des stands, que l’on nous appuie pour l’hébergement une fois à Yaoundé. Ce sera une bonne bouffée d’oxygène pour nos affaires.
Quelle aura été la particularité des produits présentés par les exposants de votre aire socio-cultuelle ?
La particularité, c’est que nous avons des produits originaux et traditionnels : la maroquinerie, les objets d’arts, la mode, l’habillement et le domaine agro-alimentaires, à l’exemple du miel Chifaa, un produit qui fait partie de notre trésor culturel. Il faut tout de même regretter que notre secteur ait été faiblement visité, du fait de son emplacement sur le site de la foire. Cela a constitué un réel handicap pour nous, alors que la participation du Grand Nord aura été une innovation de la 10ème édition de Ya-Fe. Cela étant, nous pensons que les organisateurs vont mieux y réfléchir pour la prochaine fois.
Avez-vous bénéficiez d’un quelconque appui de la part des collectivités territoriales décentralisées quant à votre participation à cet événement ?
Je puis vous dire qu’aucun appui n’a été accordé aux artisans par les communes. Il faut même regretter le fait que certains maires sont plutôt réticents quant à leur implication à ce type d’événement. Plus grave encore, cette année, toutes les communes n’ont même pas pu organiser leur traditionnel salon artisanal.
Quel bilan pouvez-vous faire au terme de cette foire, en termes d’opportunités d’affaires ?
En ce qui me concerne, financièrement, le bilan est mitigé. Mais nous ne regrettons pas en termes d’expérience acquise. Il faut tout de même mentionner que pour la plupart, nous avons été informés un peu en retard au sujet de notre participation à cet important événement. Or une manifestation foraine comme Ya-Fe se prépare à l’avance. Nous avons espoir qu’avec les contacts engrangés, nous pourrions trouver notre compte à l’avenir.