Le président du Comité de pilotage de la rationalisation des Communautés économiques régionales en Afrique centrale (Copil-Cer-AC), par ailleurs ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du territoire du Cameroun, Alamine Ousmane Mey, a ouvert le 24 mai 2021 à Yaoundé, par visioconférence, les deuxièmes travaux de la cellule des experts dudit comité. La première a eu lieu du 9 au 13 novembre 2020.
Avec l’échéance qui approche, d’ici 2023, l’on devrait assister à la fusion de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC) et la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale (Cemac). Ainsi, les assises de Yaoundé qui réunissent les 11 Etats membres du Copil-Cer-AC, ont-ils pour objectif, la poursuite de l’examen et de la validation technique de cinq avant-projets de textes restants de la nouvelle Communauté économique régionale de l’Afrique centrale.
A l’ouverture des travaux, le président du Copil-Cer-AC a indiqué que ce processus prescrit par les chefs d’Etat de la sous-région, consiste à endiguer le phénomène de la pluralité institutionnelle en Afrique centrale, d’où la nécessité d’une véritable rationalisation. L’on aura alors, à terme, une seule Cer d’Afrique centrale, mieux structurée et plus efficiente sur les plans organisationnel, fonctionnel et institutionnel. Le ministre Alamine Ousmane Mey a souligné par ailleurs que cette démarche s’avère obligatoire, en ce sens que dans un monde de la globalisation des économies et des défis transnationaux, la création d’une seule Communauté régionale est un impératif.
La disparition des deux institutions historiques va donc contribuer de manière significative, au renforcement du processus d’intégration en Afrique centrale. « Cette rationalisation se tient au moment où on a constaté que les structures existantes, à savoir la Communauté économique des États de l'Afrique centrale et la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale, devraient être plus fortes en termes de fonctionnement et devraient poursuivre les mêmes objectifs en étant plus efficientes », a déclaré pour sa part, Charles Assamba Ongodo, président de la cellule des experts COPIL-CER-AC.
Avec l’échéance qui approche, d’ici 2023, l’on devrait assister à la fusion de la Communauté économique des Etats de l'Afrique centrale (CEEAC) et la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale (Cemac). Ainsi, les assises de Yaoundé qui réunissent les 11 Etats membres du Copil-Cer-AC, ont-ils pour objectif, la poursuite de l’examen et de la validation technique de cinq avant-projets de textes restants de la nouvelle Communauté économique régionale de l’Afrique centrale.
A l’ouverture des travaux, le président du Copil-Cer-AC a indiqué que ce processus prescrit par les chefs d’Etat de la sous-région, consiste à endiguer le phénomène de la pluralité institutionnelle en Afrique centrale, d’où la nécessité d’une véritable rationalisation. L’on aura alors, à terme, une seule Cer d’Afrique centrale, mieux structurée et plus efficiente sur les plans organisationnel, fonctionnel et institutionnel. Le ministre Alamine Ousmane Mey a souligné par ailleurs que cette démarche s’avère obligatoire, en ce sens que dans un monde de la globalisation des économies et des défis transnationaux, la création d’une seule Communauté régionale est un impératif.
La disparition des deux institutions historiques va donc contribuer de manière significative, au renforcement du processus d’intégration en Afrique centrale. « Cette rationalisation se tient au moment où on a constaté que les structures existantes, à savoir la Communauté économique des États de l'Afrique centrale et la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique centrale, devraient être plus fortes en termes de fonctionnement et devraient poursuivre les mêmes objectifs en étant plus efficientes », a déclaré pour sa part, Charles Assamba Ongodo, président de la cellule des experts COPIL-CER-AC.