La compagnie aérienne française, « Air France a prolongé jusqu'au 10 septembre inclus la suspension de ses vols de et vers le Mali et le Burkina Faso, les vols à destination de l'aéroport de Niamey-Diori Hamani au Niger restant stoppés jusqu'à nouvel ordre», a rapporté le 24 aout 2023, le journal Le Figaro citant une porte-parole de la compagnie.
Air France a précisé au journal que «les vols opéreront sans escale entre Lomé (Togo, NDLR) et Paris-Charles de Gaulle, et qu’un allongement des temps de vols de et vers plusieurs escales sub-sahariennes est également à prévoir.»
Le 17 aout dernier, Air France avait annoncé qu’elle a prolongé « jusqu'au 31 août inclus » la suspension de ses vols de et vers le Mali et le Burkina Faso, les vols à destination du Niger restant eux stoppés « jusqu'à nouvel ordre ».
La compagnie française avait suspendu le 7 août ses vols à destination de Bamako (7 vols par semaine), Ouagadougou (5 vols par semaine) et Niamey (4 vols par semaine) après la fermeture de l'espace aérien du Niger voisin, théâtre d'un coup d'État le 26 juillet. Le 11 août, elle avait déjà prolongé jusqu'à nouvel ordre ces liaisons « à la suite du coup d'Etat au Niger et en raison de la situation géopolitique dans la région du Sahel ».
Air France a précisé au journal que «les vols opéreront sans escale entre Lomé (Togo, NDLR) et Paris-Charles de Gaulle, et qu’un allongement des temps de vols de et vers plusieurs escales sub-sahariennes est également à prévoir.»
Le 17 aout dernier, Air France avait annoncé qu’elle a prolongé « jusqu'au 31 août inclus » la suspension de ses vols de et vers le Mali et le Burkina Faso, les vols à destination du Niger restant eux stoppés « jusqu'à nouvel ordre ».
La compagnie française avait suspendu le 7 août ses vols à destination de Bamako (7 vols par semaine), Ouagadougou (5 vols par semaine) et Niamey (4 vols par semaine) après la fermeture de l'espace aérien du Niger voisin, théâtre d'un coup d'État le 26 juillet. Le 11 août, elle avait déjà prolongé jusqu'à nouvel ordre ces liaisons « à la suite du coup d'Etat au Niger et en raison de la situation géopolitique dans la région du Sahel ».