Assasinat de Hadjé Haoua Abba : Symbole d'un crime impuni au Tchad
Une année après l'assassinat de la vendeuse de l'or Hadje Haoua Abba, à son retour du grand marché, non loin de son domicile, aucune institution publique compétente en la matière n'arrive à situer sa famille sur les auteurs de ce meurtre lâche.
Pour cet assassinat avant le coucher du soleil et en pleine rue, l'on n'arrive pas à retrouver les auteurs alors que pour d'autres crimes nocturnes sans temoins, dans des maisons isolées, les criminels sont vites retrouvés et présentés.
Cette interpellation légitime de la famille de la défunte peut être aussi celle de beaucoup de citoyens. Est-ce parce qu'il s'agit de pièces précieuses coûtant des centaines de millions de nos francs qu'aucune trace de meurtriers n'apparaît à personne ? Si c'est le cas, la question ne sera pas comme le titre du film "À qui profite le crime?" mais "à qui aura profité finalement le crime?". Les gens continueront à se poser des questions, tant que la situation n'aura pas été élucidée. Car, il sera difficile de comprendre que le Tchad qui traque des terroristes comme Aqmi, Boko Haram et autres dans d'autres pays, avec donc de gros moyens de renseignements, ne puisse retrouver, sur son propre sol, des bandits ayant abattu une femme, à bout portant, au vu et au su de tout le monde.
Cette invisibilité est tellement indigeste qu'elle finira en vomissure ! Que la lumière soit faite ! Dans ce genre d'affaire de gros, les apôtres de gain facile sont nombreux et les complicités sont évidentes tant bien dans les milieux des autorités civiles et militaire.
Pour cet assassinat avant le coucher du soleil et en pleine rue, l'on n'arrive pas à retrouver les auteurs alors que pour d'autres crimes nocturnes sans temoins, dans des maisons isolées, les criminels sont vites retrouvés et présentés.
Cette interpellation légitime de la famille de la défunte peut être aussi celle de beaucoup de citoyens. Est-ce parce qu'il s'agit de pièces précieuses coûtant des centaines de millions de nos francs qu'aucune trace de meurtriers n'apparaît à personne ? Si c'est le cas, la question ne sera pas comme le titre du film "À qui profite le crime?" mais "à qui aura profité finalement le crime?". Les gens continueront à se poser des questions, tant que la situation n'aura pas été élucidée. Car, il sera difficile de comprendre que le Tchad qui traque des terroristes comme Aqmi, Boko Haram et autres dans d'autres pays, avec donc de gros moyens de renseignements, ne puisse retrouver, sur son propre sol, des bandits ayant abattu une femme, à bout portant, au vu et au su de tout le monde.
Cette invisibilité est tellement indigeste qu'elle finira en vomissure ! Que la lumière soit faite ! Dans ce genre d'affaire de gros, les apôtres de gain facile sont nombreux et les complicités sont évidentes tant bien dans les milieux des autorités civiles et militaire.