Le Président de la République du Tchad, Idriss Déby a adressé hier, un message de condoléances, à la Première ministre de l’Angleterre suite aux attentats perpétrés à Manchester. Le Chef de l’Etat condamne cet acte barbare qui a fait 22 morts et une cinquantaine de blessés.
Des images publiées par New York Times montrent un détonateur que le kamikaze aurait tenu dans sa main gauche, des boulons et des billes d'acier jonchant le sol, ainsi que des fragments d'un sac à dos bleu déchiqueté ayant pu contenir les explosifs.
Un proche de la famille résidant à Manchester a déclaré à l'AFP, sous couvert de l'anonymat, que Salman Abedi s'était rendu en Libye peu avant l'attentat et avait regagné la Grande-Bretagne quatre jours avant.
La tension restait palpable dans les rues du Royaume-Uni où l'état d'alerte terroriste a été renforcé au niveau "critique", signifiant un risque d'attentat imminent. Près d'un millier de soldats ont été déployés sur des lieux sensibles dans les grandes villes pour soulager les forces de police.
La police a arrêté, dans la grande banlieue de Manchester, un cinquième suspect dans le cadre de l'enquête. Le chef de la police de la ville, Ian Hopkins, a dit que l'enquête portait "clairement" sur un réseau autour du kamikaze, né à Manchester de parents libyens ayant fui le régime de Mouammar Kadhafi.
L'attentat revendiqué par le groupe Etat islamique (EI) était "plus élaboré" que d'autres et "il semble probable" que l'assaillant n'a "pas agi seul", avait expliqué la ministre de l'Intérieur Amber Rudd.
Quatre personnes avaient été arrêtées auparavant dans le sud de Manchester. Parmi elles, un homme de 23 ans et un certain "Adel", d'origine libyenne et âgé de 44 ans.
Ce dernier "a été menotté et emmené dans une voiture", a raconté à l'AFP Omar Alfaqhuri, qui vit en face d'une maison où au moins un suspect a été arrêté.
Alwihda avec AFP
Des images publiées par New York Times montrent un détonateur que le kamikaze aurait tenu dans sa main gauche, des boulons et des billes d'acier jonchant le sol, ainsi que des fragments d'un sac à dos bleu déchiqueté ayant pu contenir les explosifs.
Un proche de la famille résidant à Manchester a déclaré à l'AFP, sous couvert de l'anonymat, que Salman Abedi s'était rendu en Libye peu avant l'attentat et avait regagné la Grande-Bretagne quatre jours avant.
La tension restait palpable dans les rues du Royaume-Uni où l'état d'alerte terroriste a été renforcé au niveau "critique", signifiant un risque d'attentat imminent. Près d'un millier de soldats ont été déployés sur des lieux sensibles dans les grandes villes pour soulager les forces de police.
La police a arrêté, dans la grande banlieue de Manchester, un cinquième suspect dans le cadre de l'enquête. Le chef de la police de la ville, Ian Hopkins, a dit que l'enquête portait "clairement" sur un réseau autour du kamikaze, né à Manchester de parents libyens ayant fui le régime de Mouammar Kadhafi.
L'attentat revendiqué par le groupe Etat islamique (EI) était "plus élaboré" que d'autres et "il semble probable" que l'assaillant n'a "pas agi seul", avait expliqué la ministre de l'Intérieur Amber Rudd.
Quatre personnes avaient été arrêtées auparavant dans le sud de Manchester. Parmi elles, un homme de 23 ans et un certain "Adel", d'origine libyenne et âgé de 44 ans.
Ce dernier "a été menotté et emmené dans une voiture", a raconté à l'AFP Omar Alfaqhuri, qui vit en face d'une maison où au moins un suspect a été arrêté.
Alwihda avec AFP