"On va donner de tous qu'on a,de toutes nos forces.Le bavardage c'est fini!Moi,Valséro,artiste engagé, je ne sais pas ce que les gens croyaient qu'il y avait encore.On nous prend comme des cons!jusqu'à la photo qu'on utilise pour sa propre campagne.C'est comme si on allait prendre une fille en boite.Arrivée à la maison,la fille enlève les faux cils,les ongles,le soutien,la perruque et vous vous rendez compte à la fin que c'est une grand-mère de 86 ans! Non,c'est fini! on ne peut pas continuer à voter une image.Il faut qu'on apprenne à respecter un peuple! Même la photo qu'on utilise pour sa propre campagne ne reflète pas ce qu'on est.Ce que je vois derrière moi,c'est la volonté de former une force! Aujourd'hui,on n'a plus le temps de se plaindre!Voter une image est une humiliation. C'est la dernière ligne droite. Nous sommes sur le chemin de la victoire.On vient de loin,on vient de l'époque où un parti politique des dinosaures,des zombies; raflait 95°/° des voix.Tout çà est terminé"; ainsi s'adressait l'artiste Valséro,samedi dernier,1er octobre 2018, au cours d'une conférence de presse de présentation du choix des " enfants de la révolution"; un mouvement de jeunes qui disent être des opposants au régime de Yaoundé, prêts à sacrifier leur vie pour barrer la route au président sortant, Paul Biya.
Selon le porte flambeau de ce mouvement, l'artiste Valsero:"les enfants de la révolution,c'est d'abord une énergie.Une manière de voir,une manière de croire,une manière de s'impliquer.Une manière de dire:on ne va plus faire comme avant.Nous ne sommes plus la génération du passé,mais nous sommes la nouvelle génération.Est définie comme un enfant de la révolution,tout jeune,sur la base idéologique,engagé dans l'amélioration de ses conditions de vie.Il est aujourd'hui question que les jeunes prennent en mains leur propre destin". Dans le cadre de la présidentielle du 07 octobre 2018,"les enfants de la révolution" ont choisi de s'aligner derrière le candidat Maurice Kamto.Ils se présentent comme étant tous ces jeunes qui ont une carte d'électeur mais non militant à un parti politique. Ce sont aussi tous ces jeunes qui n'ont pas de cartes d'électeur , qui ne se sont pas inscrits sur les listes électorales,mais qui le regrettent de manière fondamentale,mais on décidé de défendre le résultat des urnes"; a confié l'artiste Valséro;à l'agence digitale d'information africaine.
Au cours d'un point de presse samedi dernier dans la capitale politique camerounaise,le leader du mouvement "les enfants de la révolution" et Maurice Kamto ont signé un "accord"pour la "sécurisation"des résultats des urnes.Pour sa part,Maurice Kamto s'est dit honoré par la confiance à lui accorder par les jeunes et a promis de faire tout pour améliorer les conditions de vie des jeunes,une fois installer au palais de l'unité.
Pour nos confrères de l'agence digitale d'informations africaines (www.lescoopsdafrique.com): "Aujourd'hui, un camerounais de 30 ans n'a que quelques certitudes sur son avenir : il va hériter de dettes colossales, financer un système social où toujours moins d'actifs paieront pour toujours plus de bénéficiaires, travailler toute sa vie car personne ne pourra lui payer une bonne retraite, et devra assurer lui-même le devenir de ses enfants ! S'il ne veut pas de cet horizon ténébreux, il ne lui reste qu'à s'expatrier. A moins qu'il ne confie son sort au combat contre le système"./.
Selon le porte flambeau de ce mouvement, l'artiste Valsero:"les enfants de la révolution,c'est d'abord une énergie.Une manière de voir,une manière de croire,une manière de s'impliquer.Une manière de dire:on ne va plus faire comme avant.Nous ne sommes plus la génération du passé,mais nous sommes la nouvelle génération.Est définie comme un enfant de la révolution,tout jeune,sur la base idéologique,engagé dans l'amélioration de ses conditions de vie.Il est aujourd'hui question que les jeunes prennent en mains leur propre destin". Dans le cadre de la présidentielle du 07 octobre 2018,"les enfants de la révolution" ont choisi de s'aligner derrière le candidat Maurice Kamto.Ils se présentent comme étant tous ces jeunes qui ont une carte d'électeur mais non militant à un parti politique. Ce sont aussi tous ces jeunes qui n'ont pas de cartes d'électeur , qui ne se sont pas inscrits sur les listes électorales,mais qui le regrettent de manière fondamentale,mais on décidé de défendre le résultat des urnes"; a confié l'artiste Valséro;à l'agence digitale d'information africaine.
Au cours d'un point de presse samedi dernier dans la capitale politique camerounaise,le leader du mouvement "les enfants de la révolution" et Maurice Kamto ont signé un "accord"pour la "sécurisation"des résultats des urnes.Pour sa part,Maurice Kamto s'est dit honoré par la confiance à lui accorder par les jeunes et a promis de faire tout pour améliorer les conditions de vie des jeunes,une fois installer au palais de l'unité.
Pour nos confrères de l'agence digitale d'informations africaines (www.lescoopsdafrique.com): "Aujourd'hui, un camerounais de 30 ans n'a que quelques certitudes sur son avenir : il va hériter de dettes colossales, financer un système social où toujours moins d'actifs paieront pour toujours plus de bénéficiaires, travailler toute sa vie car personne ne pourra lui payer une bonne retraite, et devra assurer lui-même le devenir de ses enfants ! S'il ne veut pas de cet horizon ténébreux, il ne lui reste qu'à s'expatrier. A moins qu'il ne confie son sort au combat contre le système"./.