Le ministère tchadien des Affaires étrangères a apporté dimanche des clarifications sur certains points de la communication faite en arabe par le président Idriss Déby, le 8 avril dernier, devant les officiers de l’armée tchadienne, à l’issue de l’opération militaire « Colère de Boma ».
Selon le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Béchir Issa Hamidi, les propos sont "sortis de leur contexte et interprétés de façon erronée."
Le ministère des Affaires étrangères tient à préciser que "le propos du président de la République relatif à la décision du Tchad de n’envoyer dorénavant aucun soldat au-delà des frontières nationales dans le cadre d’engament individuel des troupes tchadiennes pour lutter contre le terrorisme dans le bassin du Lac-Tchad, se rapporte au contexte des opérations conduites dans l’espace dudit bassin, théâtre d’opérations réservé à la Force Multinationale Mixte (FMM) de la Commission du Bassin du Lac-Tchad."
C’est dans cette optique qu’une délégation conduite par le Ministre Délégué à la Présidence de la République, Chargé de la Défense Nationale, de la Sécurité, des Anciens Combattants et des Victimes de Guerre a été dépêchée au Nigeria et au Niger pour expliquer les circonstances ayant amené le Tchad à prendre cette décision, explique le ministère.
Il tient également à clarifier qu’il n’a jamais été question pour le Tchad de se désengager de la FMM de la CBLT, ni de la Force Conjointe du G5 Sahel, moins encore de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA).
Le ministère des Affaires étrangères "réaffirme la détermination et l’engagement du Tchad dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale organisée sous toutes leurs formes, aussi bien à l’intérieur de son territoire que dans le cadre des forces susmentionnées."
Selon le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Béchir Issa Hamidi, les propos sont "sortis de leur contexte et interprétés de façon erronée."
Le ministère des Affaires étrangères tient à préciser que "le propos du président de la République relatif à la décision du Tchad de n’envoyer dorénavant aucun soldat au-delà des frontières nationales dans le cadre d’engament individuel des troupes tchadiennes pour lutter contre le terrorisme dans le bassin du Lac-Tchad, se rapporte au contexte des opérations conduites dans l’espace dudit bassin, théâtre d’opérations réservé à la Force Multinationale Mixte (FMM) de la Commission du Bassin du Lac-Tchad."
C’est dans cette optique qu’une délégation conduite par le Ministre Délégué à la Présidence de la République, Chargé de la Défense Nationale, de la Sécurité, des Anciens Combattants et des Victimes de Guerre a été dépêchée au Nigeria et au Niger pour expliquer les circonstances ayant amené le Tchad à prendre cette décision, explique le ministère.
Il tient également à clarifier qu’il n’a jamais été question pour le Tchad de se désengager de la FMM de la CBLT, ni de la Force Conjointe du G5 Sahel, moins encore de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations unies pour la Stabilisation au Mali (MINUSMA).
Le ministère des Affaires étrangères "réaffirme la détermination et l’engagement du Tchad dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale organisée sous toutes leurs formes, aussi bien à l’intérieur de son territoire que dans le cadre des forces susmentionnées."