Aux imposteurs d’Observateurs Djib aka Djibouti24
Je n'en pouvais plus de supporter l'attitude d’Observateurs Djib et ses acolytes à l'égard de leurs contradicteurs : dénigrement systématique, évaluations injustes, calomnies, amalgames et j'en passe.“Au depart, ns etions un noyau dur de 5 administrateurs du compte djib24…. L objectif qu on ns avait fixe etait simple: calomnier,diffamer,insulter,denigrer des personnalites…… comme politiquement dangereuses…… Le but final etait de desinformer l opinion publique, destabiliser…”dixit Observateurs DjibJe suis encore moins enclin à supporter votre discours d'éradication qui rappelle par trop certains faits de sinistre mémoire. Le référent moraliste rédemptoire suggéré dans ce tweet par le lexique: "victimes des ministres manipulateurs ", et autres incitations au bannissement par la torture donne par ailleurs à ce tweet un tour inquisiteur qui me gène beaucoup.Dans vos propos, on voit s’affirmer une vision essentialiste de votre tache. Vous renforcez dans l’opinion l’idée d’une menace omniprésente qui n’est jamais vraiment définie.Vous allez probablement être capable de m’expliquer, vous qui êtes intelligent, non-raciste et imbue des idéaux humanistes, comment voulez-vous avoir un discours cohérent, quand dire "ses propos" est passible la correctionnelle au regard de la loi ?Quelle étude sérieuse prouve-t-elle ce que vous dites ? Sur quoi vous- êtes vous basé pour accoucher de cette infamante bêtise?Commençant dans le distinguo obscur, leur tweet finit dans la théorie du complot et l'accusation délirante. De la belle dialectique, pas vrai?Croyez-vous pouvoir régler les problèmes à coups d'anathèmes, de bannissements et d'exclusions?Combien de personnes – Sheikh Abdourahman Bashir, Daher Ahmed Farah pour ne citer qu’eux - se sont senties blessées voire humiliées par vos écrits ? Aucune estimation avancée. Aucun mot n’a été prononcé pour rendre le moindre hommage, exprimer le moindre regret, ô combien symbolique! À leurs familles, leurs proches déçus dans tous leurs espoirs, plus que jamais écrasés, dominés d’une impudente simplicité du sabre et du goupillon.Par contre l'utilisation politique de ce fait divers est symptomatique d'un Observateurs Djib aux abois qui utilise tous les moyens pour plaire aux djiboutiens qui indiscutablement est en train de lui tourner le dos. Quelle pitrerie !Observateurs Djib maîtrise bien l'art de dénigrer ses rivaux, et discréditer les autres par leurs mensonges hideux, c’est tout simplement un style « Djib24 », certainement un trait qu'il porte singulièrement et qui se traduit comme signe de lâcheté à chaque opportunité. Ces loufoques hébétés par toutes les névroses, ne me surprend point, puisque, leur raisonnement est logé tristement dans un espace affreux.L’appétit de l’argent, fait commettre des actes les plus insensés aux plus doux d’entre nous. L’homme n’est-il pas un animal et particulièrement un prédateur. Le jour où la force n’a plus été vecteur de supprématie sur le reste du groupe (ce qui n’était pas une fin en soi), toutes les « débauches » ont trouvé essence pour avoir le « pouvoir ». Je trouve même votre façon de voir fallacieuse en laissant insinuer une façon frauduleuse. Le tout en jouant les justes en poseur de leçons et de moral.Si cela continue, j’ai peur que vous deveniez un adepte du "new âge". Ces “accusations " étant susceptibles de paraître complètement ridicules aux communs des mortels et aux djiboutiens, Observateurs Djib ne reculant devant rien n’hésite pas à avancer un argument assez savoureux pour expliquer qu’il est victime d’un vaste complot. De la paranoïa? Une auto-complaisance victimaire? Les deux me direz-vous.Pour mieux démontrer à son auditoire qu’il est victime d’un ostracisme, il s’en est ensuite pris à ces parrains manipulateurs.Pour conclure, il avance que sa liberté d’expression est en danger en raison d’un certain nombre de pressions de la part de ces ministres corrompus, sans dire lesquels ni en quoi.Là encore, sa prise de parole ne semble pas vraiment correspondre aux faits. Quelle arrogance! Moquerie, sermon sur l'art d'être fort, froideur agressive, condescendance autant d'armes qu'ils peuvent utiliser et qui ne manqueront pas d'atteindre leur victime. La moquerie dans ce cas n’est qu’une tactique employée pour dévaloriser l’adversaire, le ridiculiser aux yeux des djiboutiens de bonne foi et qui seraient tentés par l’aventure.Observateurs Djib c'est comme ça qu'il le vit. Normal. En dehors du bocal, il n'a pas réussi à en imposer.Il ment, pour échapper à son emprise, tenter d’exister en dehors de son champ d’action, d’attraction ou de sensibilité. Aucune critique, aucun commentaire, pour réclamer par les mots la tête d’un régime despotique et tyrannique. Bien au contraire, il a développé presque systématiquement une réaction de refus des faits naturels qui sont survennus.À croire qu'il en est vraiment convaincu lui-même. Ce qui est encore pire, c’est que son texte passe sous silence la responsabilité morale du régime génocidaire.De toutes façons, ça ne change rien : un mensonge proféré à soi-même reste un mensonge. Y-a-t il parmi nous, “ les djiboutiens ”, un esprit capable de raisonner et d’ arraisonner tout cet amas textuel à la dérive?Donc, le risque est grand que tout cela ne veuille rien dire. Mais le risque est tout aussi important que tout cela cherche une nouvelle fois, du coté de l’origine, en s’originant, à tout dire! “ Se risquer à ne rien-vouloir-dire, c’est entrer dans le jeu, et d’abord dans le jeu de la différence qui fait qu’aucun mot, aucun concept, aucun énoncé majeur ne viennent résumer et commander, depuis la présence théologique d’un centre, le mouvement et l’espacement textuel des différences. ”. Peut-être, y avez-vous songé? , qu’il y va avec “ l’épaulé-jeté ” d’une stratégie du pas d(e)u tout et d’une politique du ne-rien-vouloir-dire! Cette réaction de refus peut être mêlée de doute, de rejet et/ou de peur.C’est un peu comme si le recours au mensonge n’était fait que pour attirer l’attention sur un mensonge plus essentiel et compromettant pour la vie.Les fautes les plus importantes furent déterminées avant tout par le manque d'une analyse de la situation qui conduisit à de fausses perspectives; une fausse évaluation du danger , la croyance qu'une situation révolutionnaire immédiate se présenterait dans l'avenir de quelques mois, des mots d'ordre qui dépassaient de beaucoup la situation et qui isolaient Observateurs Djib des djiboutiens, l'emploi de ces faux mots d'ordre, du programme même du parti dans ses propositions de front unique, une sous-estimation des syndicats et une direction mécanique et brutale du parti sur les syndicats, un cours pareillement faux, trop mécanique et sans démocratie interne à l'intérieur du parti.Les messages sont délivrés de manière parcellaire et pointilliste, sans lien immédiatement perceptible.L'argumentaire est distillé selon un ordre préétabli, mais constamment adapté avec pragmatisme. Sa stratégie consiste à discréditer, décrédibiliser, déstabiliser voire diaboliser ses détracteurs.C'est très significatif qu’Observateurs Djib et d'autres ont immédiatement concentré le débat autour d'un faux problème, en déviant l'attention du fait qu'aujourd'hui le régime mercenaire " vole, ment, vandalise, terrorise, tue sans laisser des traces...". Ces faits confirment, aussi à ceux qui ne veulent pas se rendre à l'évidence, qu'ils - les ioguistes - n'ont pas réussi à se débarrasser de l'influence idéologique du dogmatisme et de l'héritage du révisionnisme moderne.Je crois, pour ma part, que la chasse au prétendu fractionnisme va continuer et donnera les résultats qu'elle a donnés jusqu'ici. On peut le voir également dans la manière dont on s'efforce de régler la question djiboutienne et diverses autres questions. Je dois dire que cette méthode de l'humiliation personnelle est une méthode déplorable, même quand elle est utilisée contre des éléments politiques qui méritent d'être durement combattus.Comme le disait le dictateur Napoléon Bonaparte: “On peut tout faire avec des baïonnettes sauf s’asseoir dessus” (Gramsci a traduit cela de manière moins triviale en parlant d’hégémonie, de nécessité de consensus pour assurer la stabilité du système). Sur ce plan-là, les DAF ont reçu le baptême du feu –de la part de certains militants ioguistes, en particulier,d ’abord silencieux, archi muets, puis agacés, énervés, presque violents, hier devenus moqueurs, aujourd’hui dubitatifs devant leur persistance à refuser de rentrer dans leur rang .En politique, pour abattre un adversaire, on a tout vu ou presque, (l’imagination des hommes est telle qu’on reste confondus de tant de techniques, directes ou retorses, destinées à faire vider les étriers à l’adversaire le plus convaincu et le plus déterminé.D’abord le dénigrement de l’adversaire est-il le corollaire juste et inévitable, nécessaire et suffisant de l’affirmation et de la justification de ses propres idées? À prétendre représenter le seul bon produit, la lassitude, le doute s’installent, puis naît la curiosité, on va voir ailleurs derrière cette masse de gens fort connus et fort importants.
Mohamed Qayaad
Je n'en pouvais plus de supporter l'attitude d’Observateurs Djib et ses acolytes à l'égard de leurs contradicteurs : dénigrement systématique, évaluations injustes, calomnies, amalgames et j'en passe.“Au depart, ns etions un noyau dur de 5 administrateurs du compte djib24…. L objectif qu on ns avait fixe etait simple: calomnier,diffamer,insulter,denigrer des personnalites…… comme politiquement dangereuses…… Le but final etait de desinformer l opinion publique, destabiliser…”dixit Observateurs DjibJe suis encore moins enclin à supporter votre discours d'éradication qui rappelle par trop certains faits de sinistre mémoire. Le référent moraliste rédemptoire suggéré dans ce tweet par le lexique: "victimes des ministres manipulateurs ", et autres incitations au bannissement par la torture donne par ailleurs à ce tweet un tour inquisiteur qui me gène beaucoup.Dans vos propos, on voit s’affirmer une vision essentialiste de votre tache. Vous renforcez dans l’opinion l’idée d’une menace omniprésente qui n’est jamais vraiment définie.Vous allez probablement être capable de m’expliquer, vous qui êtes intelligent, non-raciste et imbue des idéaux humanistes, comment voulez-vous avoir un discours cohérent, quand dire "ses propos" est passible la correctionnelle au regard de la loi ?Quelle étude sérieuse prouve-t-elle ce que vous dites ? Sur quoi vous- êtes vous basé pour accoucher de cette infamante bêtise?Commençant dans le distinguo obscur, leur tweet finit dans la théorie du complot et l'accusation délirante. De la belle dialectique, pas vrai?Croyez-vous pouvoir régler les problèmes à coups d'anathèmes, de bannissements et d'exclusions?Combien de personnes – Sheikh Abdourahman Bashir, Daher Ahmed Farah pour ne citer qu’eux - se sont senties blessées voire humiliées par vos écrits ? Aucune estimation avancée. Aucun mot n’a été prononcé pour rendre le moindre hommage, exprimer le moindre regret, ô combien symbolique! À leurs familles, leurs proches déçus dans tous leurs espoirs, plus que jamais écrasés, dominés d’une impudente simplicité du sabre et du goupillon.Par contre l'utilisation politique de ce fait divers est symptomatique d'un Observateurs Djib aux abois qui utilise tous les moyens pour plaire aux djiboutiens qui indiscutablement est en train de lui tourner le dos. Quelle pitrerie !Observateurs Djib maîtrise bien l'art de dénigrer ses rivaux, et discréditer les autres par leurs mensonges hideux, c’est tout simplement un style « Djib24 », certainement un trait qu'il porte singulièrement et qui se traduit comme signe de lâcheté à chaque opportunité. Ces loufoques hébétés par toutes les névroses, ne me surprend point, puisque, leur raisonnement est logé tristement dans un espace affreux.L’appétit de l’argent, fait commettre des actes les plus insensés aux plus doux d’entre nous. L’homme n’est-il pas un animal et particulièrement un prédateur. Le jour où la force n’a plus été vecteur de supprématie sur le reste du groupe (ce qui n’était pas une fin en soi), toutes les « débauches » ont trouvé essence pour avoir le « pouvoir ». Je trouve même votre façon de voir fallacieuse en laissant insinuer une façon frauduleuse. Le tout en jouant les justes en poseur de leçons et de moral.Si cela continue, j’ai peur que vous deveniez un adepte du "new âge". Ces “accusations " étant susceptibles de paraître complètement ridicules aux communs des mortels et aux djiboutiens, Observateurs Djib ne reculant devant rien n’hésite pas à avancer un argument assez savoureux pour expliquer qu’il est victime d’un vaste complot. De la paranoïa? Une auto-complaisance victimaire? Les deux me direz-vous.Pour mieux démontrer à son auditoire qu’il est victime d’un ostracisme, il s’en est ensuite pris à ces parrains manipulateurs.Pour conclure, il avance que sa liberté d’expression est en danger en raison d’un certain nombre de pressions de la part de ces ministres corrompus, sans dire lesquels ni en quoi.Là encore, sa prise de parole ne semble pas vraiment correspondre aux faits. Quelle arrogance! Moquerie, sermon sur l'art d'être fort, froideur agressive, condescendance autant d'armes qu'ils peuvent utiliser et qui ne manqueront pas d'atteindre leur victime. La moquerie dans ce cas n’est qu’une tactique employée pour dévaloriser l’adversaire, le ridiculiser aux yeux des djiboutiens de bonne foi et qui seraient tentés par l’aventure.Observateurs Djib c'est comme ça qu'il le vit. Normal. En dehors du bocal, il n'a pas réussi à en imposer.Il ment, pour échapper à son emprise, tenter d’exister en dehors de son champ d’action, d’attraction ou de sensibilité. Aucune critique, aucun commentaire, pour réclamer par les mots la tête d’un régime despotique et tyrannique. Bien au contraire, il a développé presque systématiquement une réaction de refus des faits naturels qui sont survennus.À croire qu'il en est vraiment convaincu lui-même. Ce qui est encore pire, c’est que son texte passe sous silence la responsabilité morale du régime génocidaire.De toutes façons, ça ne change rien : un mensonge proféré à soi-même reste un mensonge. Y-a-t il parmi nous, “ les djiboutiens ”, un esprit capable de raisonner et d’ arraisonner tout cet amas textuel à la dérive?Donc, le risque est grand que tout cela ne veuille rien dire. Mais le risque est tout aussi important que tout cela cherche une nouvelle fois, du coté de l’origine, en s’originant, à tout dire! “ Se risquer à ne rien-vouloir-dire, c’est entrer dans le jeu, et d’abord dans le jeu de la différence qui fait qu’aucun mot, aucun concept, aucun énoncé majeur ne viennent résumer et commander, depuis la présence théologique d’un centre, le mouvement et l’espacement textuel des différences. ”. Peut-être, y avez-vous songé? , qu’il y va avec “ l’épaulé-jeté ” d’une stratégie du pas d(e)u tout et d’une politique du ne-rien-vouloir-dire! Cette réaction de refus peut être mêlée de doute, de rejet et/ou de peur.C’est un peu comme si le recours au mensonge n’était fait que pour attirer l’attention sur un mensonge plus essentiel et compromettant pour la vie.Les fautes les plus importantes furent déterminées avant tout par le manque d'une analyse de la situation qui conduisit à de fausses perspectives; une fausse évaluation du danger , la croyance qu'une situation révolutionnaire immédiate se présenterait dans l'avenir de quelques mois, des mots d'ordre qui dépassaient de beaucoup la situation et qui isolaient Observateurs Djib des djiboutiens, l'emploi de ces faux mots d'ordre, du programme même du parti dans ses propositions de front unique, une sous-estimation des syndicats et une direction mécanique et brutale du parti sur les syndicats, un cours pareillement faux, trop mécanique et sans démocratie interne à l'intérieur du parti.Les messages sont délivrés de manière parcellaire et pointilliste, sans lien immédiatement perceptible.L'argumentaire est distillé selon un ordre préétabli, mais constamment adapté avec pragmatisme. Sa stratégie consiste à discréditer, décrédibiliser, déstabiliser voire diaboliser ses détracteurs.C'est très significatif qu’Observateurs Djib et d'autres ont immédiatement concentré le débat autour d'un faux problème, en déviant l'attention du fait qu'aujourd'hui le régime mercenaire " vole, ment, vandalise, terrorise, tue sans laisser des traces...". Ces faits confirment, aussi à ceux qui ne veulent pas se rendre à l'évidence, qu'ils - les ioguistes - n'ont pas réussi à se débarrasser de l'influence idéologique du dogmatisme et de l'héritage du révisionnisme moderne.Je crois, pour ma part, que la chasse au prétendu fractionnisme va continuer et donnera les résultats qu'elle a donnés jusqu'ici. On peut le voir également dans la manière dont on s'efforce de régler la question djiboutienne et diverses autres questions. Je dois dire que cette méthode de l'humiliation personnelle est une méthode déplorable, même quand elle est utilisée contre des éléments politiques qui méritent d'être durement combattus.Comme le disait le dictateur Napoléon Bonaparte: “On peut tout faire avec des baïonnettes sauf s’asseoir dessus” (Gramsci a traduit cela de manière moins triviale en parlant d’hégémonie, de nécessité de consensus pour assurer la stabilité du système). Sur ce plan-là, les DAF ont reçu le baptême du feu –de la part de certains militants ioguistes, en particulier,d ’abord silencieux, archi muets, puis agacés, énervés, presque violents, hier devenus moqueurs, aujourd’hui dubitatifs devant leur persistance à refuser de rentrer dans leur rang .En politique, pour abattre un adversaire, on a tout vu ou presque, (l’imagination des hommes est telle qu’on reste confondus de tant de techniques, directes ou retorses, destinées à faire vider les étriers à l’adversaire le plus convaincu et le plus déterminé.D’abord le dénigrement de l’adversaire est-il le corollaire juste et inévitable, nécessaire et suffisant de l’affirmation et de la justification de ses propres idées? À prétendre représenter le seul bon produit, la lassitude, le doute s’installent, puis naît la curiosité, on va voir ailleurs derrière cette masse de gens fort connus et fort importants.
Mohamed Qayaad