« Le 27 juin au Club hippique, notre rendez-vous avec Davido ! Et les entrées sont gratuites ! On vous attend tous à 20H », telle est l'annonce postée aujourd'hui sur la page facebook du pseudo comité d'organisation du 40ème anniversaire de l'indépendance. Avec le régime bicéphale de Guelleh/khadra, nous pensions naïvement avoir atteint le fond de l'infamie. Que nenni ! Non content d'humilier continuellement un peuple paisible, de l'affamer, de lui confisquer toute liberté, de le maintenir dans l'ignorance, la pauvreté, le chômage, voilà que le couple maléfique de Haramous insulte la mémoire des martyrs tombés pour l'indépendance. Dernière infamie du tandem de malheur IOG/Qabyo : organiser une soirée de débauche la nuit du 27 juin dans le cadre de la commémorer du 40ème anniversaire de notre indépendance. Ceci est la dernière trouvaille de ce duo funeste. Au-delà de l'offense infligée à tout un peuple, leur acte vil est un outrage caractérisé à un symbole national, à savoir la fête de l'indépendance. Les agissements de ce couple au passé obscur sont sans limite. S'ils crachent aujourd'hui à la figure du peuple et qu'ils n'ont aucun respect pour la commémoration de l'indépendance, c'est que l'un comme l'autre ont été de farouches opposants à l'auto-détermination de la population djiboutienne. IOG a été un misérable shadirleh durant la période coloniale, tandis que Khadra Haid travaillait main dans la main avec la puissance occupante.
Alors que la majorité des Djiboutiens luttaient avec détermination et bravoure contre le colonialisme français, ont tenu tête à la cruelle soldatesque de l'administration coloniale et ont engagé une lutte sans merci pour l'indépendance de leur pays, ces deux sinistres personnages travaillaient pour le compte de l'ennemi, l’administration coloniale. De traîtres à la patrie !
Durant la période noire de l'histoire récente de note pays, Ismail Omar et Khadra Haid se sont rendus coupables d'indignité nationale en collaborant avec la puissante occupante, trahissant ainsi la cause patriotique. Mais maintenant qu'ils ont pris la place du colonisateur, ils surpassent celui-ci en matière de cruauté. Les actes infâmes qu'ils commettent à l'encontre du peuple pacifique de Djibouti sont indescriptibles. Cela fait 40 ans que les Djiboutiens sont encagés dans leur propre pays, une prison à ciel ouvert gardée par les deux geôliers que sont IOG et Khadra Haid. Ce couple de malheur fait régner un climat de terreur dans ce petit pays de la Corne de l'Afrique. 40 ans que la population djiboutienne subit le joug du pouvoir inique de Guelleh et de la Qabyo.
Pour revenir à cette soirée de débauche programmée pour le 27 juin, le couple IOG/Khadra compte atteindre deux objectifs en autorisant cet événement : souiller la mémoire des martyrs tombés sous les balles du colonisateur tout en pervertissant la jeunesse djiboutienne. Souvenez-vous de la déclaration de l’épouse de Guelleh lors du sommet de Kigali, en juillet 2016 : elle s'est engagée de veiller personnellement à ce que « tout adolescent puisse jouir librement de sa sexualité ». En langage clair, cela veut dire débauche juvénile à tous les étages. La soirée de débauche du 27 juin s'inscrit donc dans le cadre de la dépravation de la jeunesse djiboutienne chère à la présidente de Haramous. L'organisation de cette soirée a été conviée au couple princier, Fatouma-awo et son gigolo de mari, l'ivoirien Tommy Tayoro Nyckoss.
Comme vous pouvez le voir sur l'affiche de publicité, le nom de l'organisateur est clairement mentionné : en l'occurrence « star management Djibouti », une société créée par le gigolo Tommy en 2010 dont le but étant officiellement de travailler dans l’événementiel. A l'actif de cette société, nous pouvons citer l'organisation de « djib-urban festival ». Un festival qui se déroule chaque année à l'hôtel Kempinski où participent des chanteurs dépravés tels que Booba ou la Fouine. Selon la lettre de l’océan indien n°1314, les cachets des artistes sont réglés par la Banque centrale de Djibouti, une entité dirigée par un oncle de Fatouma-awo. Mais pour les cachets de la star invitée à la soirée du 27 juin, ils sont pris en charge par le pseudo comité d'organisation du 40ème anniversaire de l'indépendance. Autrement dit, il s'agit de l'argent public. La Guest star est un étranger. Il s'appelle Davido, c'est son nom d'artiste. Né le 21 Novembre 1992 à Atlanta, aux États-unis, son nom d'état-civil est David ADEDEJI ADELEKE. Il est originaire du Nigeria, un pays de l'Afrique de l'ouest. Son père est un riche homme d'affaires qui dirige le conglomérat « Keplo-pacific Energy pacific » dont le domaine d'activité est le secteur de la banque, de l'acier, de l'énergie et du pétrole. Sa fortune est estimée à plusieurs centaines de millions de dollars. La jeune star est également riche. Une richesse qu'il exhibe régulièrement sur les réseaux sociaux. A l'instar des stars du hip hop, Davido est très bling-bling. Amateur de belles voitures, il possède une Audi Q7, une mercedes benz dernier modèle, une chevrolet camaro, etc. En plus de cette collection de voitures haut de gamme, il se déplace à bord de son propre jet privé. C'est dire la fortune de la jeune star nigériane de la musique. Davido se vante même de gagner en une journée plus de 50.000 Euros. C'est ce nigérian dégénéré et plein aux as que l'ivoirien Tommy Tayoro a invité pour la fête du 27 juin. Une invitation qui compte bonbon, plusieurs dizaines de millions de nos francs. De l'argent public. Le mari de Fatouma-awo gaspille l'argent des contribuables djiboutiens pour un chanteur étranger alors que la majorité des artistes djiboutiens croupissent dans la misère et le dénuement le plus total. Le concepteur de l'hymne national, Abdi Robleh dit Qarchileh, vivote à Balbala. Intolérable !
En transformant la fête de l'indépendance en une soirée de débauche et de dépravation, avec l'assentiment de sa belle-mère Khadra Haid, l'ivoirien Tommy a fait un gros caca sur le drapeau national. Quelle puanteur !
Il faut savoir que le couple princier, Fatouma-awo et son gigolo de mari, est le principal ordonnateur des festivités dites de commémoration du 40ème anniversaire de l'indépendance. Le petit Bariq Rifki, fils d'un grand voleur arabe, et l'insipide secrétaire général de la présidence, Mohamed Abdillahi Wais, ne sont que des simples exécutants. Ceux qui tiennent vraiment les manettes sont la fille aînée du couple de malheur de Haramous, la grosse Fatouma-awo, et son gigolo de mari, le gaou ivoirien Tommy Toyoro.
Tous ensemble, boycottons cette soirée de débauche organisée par un régime anti-patriotique qui enrichit un chanteur dépravé déjà très riche ! Non à la souillure de la mémoire de nos valeureux martyrs tombés pour la patrie !
Alors que la majorité des Djiboutiens luttaient avec détermination et bravoure contre le colonialisme français, ont tenu tête à la cruelle soldatesque de l'administration coloniale et ont engagé une lutte sans merci pour l'indépendance de leur pays, ces deux sinistres personnages travaillaient pour le compte de l'ennemi, l’administration coloniale. De traîtres à la patrie !
Durant la période noire de l'histoire récente de note pays, Ismail Omar et Khadra Haid se sont rendus coupables d'indignité nationale en collaborant avec la puissante occupante, trahissant ainsi la cause patriotique. Mais maintenant qu'ils ont pris la place du colonisateur, ils surpassent celui-ci en matière de cruauté. Les actes infâmes qu'ils commettent à l'encontre du peuple pacifique de Djibouti sont indescriptibles. Cela fait 40 ans que les Djiboutiens sont encagés dans leur propre pays, une prison à ciel ouvert gardée par les deux geôliers que sont IOG et Khadra Haid. Ce couple de malheur fait régner un climat de terreur dans ce petit pays de la Corne de l'Afrique. 40 ans que la population djiboutienne subit le joug du pouvoir inique de Guelleh et de la Qabyo.
Pour revenir à cette soirée de débauche programmée pour le 27 juin, le couple IOG/Khadra compte atteindre deux objectifs en autorisant cet événement : souiller la mémoire des martyrs tombés sous les balles du colonisateur tout en pervertissant la jeunesse djiboutienne. Souvenez-vous de la déclaration de l’épouse de Guelleh lors du sommet de Kigali, en juillet 2016 : elle s'est engagée de veiller personnellement à ce que « tout adolescent puisse jouir librement de sa sexualité ». En langage clair, cela veut dire débauche juvénile à tous les étages. La soirée de débauche du 27 juin s'inscrit donc dans le cadre de la dépravation de la jeunesse djiboutienne chère à la présidente de Haramous. L'organisation de cette soirée a été conviée au couple princier, Fatouma-awo et son gigolo de mari, l'ivoirien Tommy Tayoro Nyckoss.
Comme vous pouvez le voir sur l'affiche de publicité, le nom de l'organisateur est clairement mentionné : en l'occurrence « star management Djibouti », une société créée par le gigolo Tommy en 2010 dont le but étant officiellement de travailler dans l’événementiel. A l'actif de cette société, nous pouvons citer l'organisation de « djib-urban festival ». Un festival qui se déroule chaque année à l'hôtel Kempinski où participent des chanteurs dépravés tels que Booba ou la Fouine. Selon la lettre de l’océan indien n°1314, les cachets des artistes sont réglés par la Banque centrale de Djibouti, une entité dirigée par un oncle de Fatouma-awo. Mais pour les cachets de la star invitée à la soirée du 27 juin, ils sont pris en charge par le pseudo comité d'organisation du 40ème anniversaire de l'indépendance. Autrement dit, il s'agit de l'argent public. La Guest star est un étranger. Il s'appelle Davido, c'est son nom d'artiste. Né le 21 Novembre 1992 à Atlanta, aux États-unis, son nom d'état-civil est David ADEDEJI ADELEKE. Il est originaire du Nigeria, un pays de l'Afrique de l'ouest. Son père est un riche homme d'affaires qui dirige le conglomérat « Keplo-pacific Energy pacific » dont le domaine d'activité est le secteur de la banque, de l'acier, de l'énergie et du pétrole. Sa fortune est estimée à plusieurs centaines de millions de dollars. La jeune star est également riche. Une richesse qu'il exhibe régulièrement sur les réseaux sociaux. A l'instar des stars du hip hop, Davido est très bling-bling. Amateur de belles voitures, il possède une Audi Q7, une mercedes benz dernier modèle, une chevrolet camaro, etc. En plus de cette collection de voitures haut de gamme, il se déplace à bord de son propre jet privé. C'est dire la fortune de la jeune star nigériane de la musique. Davido se vante même de gagner en une journée plus de 50.000 Euros. C'est ce nigérian dégénéré et plein aux as que l'ivoirien Tommy Tayoro a invité pour la fête du 27 juin. Une invitation qui compte bonbon, plusieurs dizaines de millions de nos francs. De l'argent public. Le mari de Fatouma-awo gaspille l'argent des contribuables djiboutiens pour un chanteur étranger alors que la majorité des artistes djiboutiens croupissent dans la misère et le dénuement le plus total. Le concepteur de l'hymne national, Abdi Robleh dit Qarchileh, vivote à Balbala. Intolérable !
En transformant la fête de l'indépendance en une soirée de débauche et de dépravation, avec l'assentiment de sa belle-mère Khadra Haid, l'ivoirien Tommy a fait un gros caca sur le drapeau national. Quelle puanteur !
Il faut savoir que le couple princier, Fatouma-awo et son gigolo de mari, est le principal ordonnateur des festivités dites de commémoration du 40ème anniversaire de l'indépendance. Le petit Bariq Rifki, fils d'un grand voleur arabe, et l'insipide secrétaire général de la présidence, Mohamed Abdillahi Wais, ne sont que des simples exécutants. Ceux qui tiennent vraiment les manettes sont la fille aînée du couple de malheur de Haramous, la grosse Fatouma-awo, et son gigolo de mari, le gaou ivoirien Tommy Toyoro.
Tous ensemble, boycottons cette soirée de débauche organisée par un régime anti-patriotique qui enrichit un chanteur dépravé déjà très riche ! Non à la souillure de la mémoire de nos valeureux martyrs tombés pour la patrie !