Aziz Mahamat Saleh, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement. © Anass Ali Moussa/Alwihda Info
Ce déjeuner consiste à renvoyer les professionnels de médias à leurs devoirs d’investigation et de recherche de la vérité.
« Je suis prêt à écouter les critiques constructives. Au niveau du gouvernement, si c’est mal fait, on est prêt à les écouter pour essayer de nous corriger », a indiqué Aziz Mahamat Saleh, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement.
Cependant, le ministre insiste sur la véracité des faits, l’indépendance de son traitement, tout en mettant un accent pointu sur le respect des règles d’éthique et de déontologie du métier.
À cet égard, le porte-parole du gouvernement entend accompagner les professionnels des médias dans l'élaboration d'un plan de communication pour le développement des médias au Tchad.
« Je suis prêt à écouter les critiques constructives. Au niveau du gouvernement, si c’est mal fait, on est prêt à les écouter pour essayer de nous corriger », a indiqué Aziz Mahamat Saleh, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement.
Cependant, le ministre insiste sur la véracité des faits, l’indépendance de son traitement, tout en mettant un accent pointu sur le respect des règles d’éthique et de déontologie du métier.
À cet égard, le porte-parole du gouvernement entend accompagner les professionnels des médias dans l'élaboration d'un plan de communication pour le développement des médias au Tchad.
Le premier avocat des médias et journalistes au niveau du gouvernement s’engage à oeuvrer pour la régularité de l’aide à la presse pour que la presse retrouve ses lettres de noblesse. "Et cela est de façon transversale", dit-il.
La plupart des journalistes ne sont pas formés au Tchad. À cet effet, le ministre pense à la création d’une École de journalisme au Tchad pour informer davantage le public.
Évoquant le manque d’accès aux sources d’informations quant à la vérification d’informations en lien avec l’administration, Aziz Mahamat Saleh précise que sa porte est toujours ouverte ; "si vous avez une information, vérifiez-là".
« La porte, je veux autant que je peux, vous l’ouvrir à l’administration mais il faudrait qu’il y ait le respect de la déontologie », conclut-il.
La plupart des journalistes ne sont pas formés au Tchad. À cet effet, le ministre pense à la création d’une École de journalisme au Tchad pour informer davantage le public.
Évoquant le manque d’accès aux sources d’informations quant à la vérification d’informations en lien avec l’administration, Aziz Mahamat Saleh précise que sa porte est toujours ouverte ; "si vous avez une information, vérifiez-là".
« La porte, je veux autant que je peux, vous l’ouvrir à l’administration mais il faudrait qu’il y ait le respect de la déontologie », conclut-il.