"La loi des finances adoptée par les députés le 1er décembre 2022 constitue un exploit en termes d’agenda de vote. Le budget de l’État que porte la présente loi marque une accélération du « Hautement Social » et est axé sur le développement durable", selon le gouvernement.
Dans son articulation et conformément à son plan d’action, le gouvernement accorde davantage de moyens aux secteurs ci-après : l’assainissement du cadre de vie, la santé et la protection sociale, l’éducation, l’eau et l’énergie, le numérique et l’économie du savoir, la sécurité et la protection civile, l’emploi des jeunes, les sports, l’agriculture, ...etc. Elle est la matérialisation d’une politique économique et sociale en phase avec l’atteinte des Objectifs du Développement Durable (ODD).
Globalement, le budget de l’État pour la gestion 2023, porte de nouvelles initiatives sociales et renforce les allocations budgétaires au profit des programmes existants. Il s’agit, à titre illustratif, de l’extension de l’exonération des frais de contribution scolaire des élèves filles au second cycle de l’enseignement secondaire, du projet de renforcement des filets sociaux en République du Bénin (GBESSOKE) dont l’objectif est de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des ménages dans l’extrême pauvreté et leur autonomisation socio-économique, de l’accès à l’électricité à tous les ménages d’ici 2026 par l’adoption d’une politique d’allègement des frais de raccordement, de l’institution pour les établissements publics ou privés du second degré et les centres d’alphabétisation des programmes de vies courantes organisés sous la dénomination de « classes socio-éducatives », de l’encadrement et la prise en charge des personnes en déperdition et en situation de mendicité, du renforcement des programmes de santé maternelle, de vaccination des enfants et de lutte contre le paludisme, de l’engagement pour l’accès universel au programme national d’alimentation scolaire intégré (PNASI), du programme d'assistance pour le maintien des filles à l’école au niveau de l’enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle (Projet SWEDD), de l'augmentation significative des subventions pour la gratuité des frais de scolarité dans les universités publiques, des facilités pour la prise en charge par l’État des cotisations sociales des travailleurs domestiques,...etc.
Dans son articulation et conformément à son plan d’action, le gouvernement accorde davantage de moyens aux secteurs ci-après : l’assainissement du cadre de vie, la santé et la protection sociale, l’éducation, l’eau et l’énergie, le numérique et l’économie du savoir, la sécurité et la protection civile, l’emploi des jeunes, les sports, l’agriculture, ...etc. Elle est la matérialisation d’une politique économique et sociale en phase avec l’atteinte des Objectifs du Développement Durable (ODD).
Globalement, le budget de l’État pour la gestion 2023, porte de nouvelles initiatives sociales et renforce les allocations budgétaires au profit des programmes existants. Il s’agit, à titre illustratif, de l’extension de l’exonération des frais de contribution scolaire des élèves filles au second cycle de l’enseignement secondaire, du projet de renforcement des filets sociaux en République du Bénin (GBESSOKE) dont l’objectif est de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des ménages dans l’extrême pauvreté et leur autonomisation socio-économique, de l’accès à l’électricité à tous les ménages d’ici 2026 par l’adoption d’une politique d’allègement des frais de raccordement, de l’institution pour les établissements publics ou privés du second degré et les centres d’alphabétisation des programmes de vies courantes organisés sous la dénomination de « classes socio-éducatives », de l’encadrement et la prise en charge des personnes en déperdition et en situation de mendicité, du renforcement des programmes de santé maternelle, de vaccination des enfants et de lutte contre le paludisme, de l’engagement pour l’accès universel au programme national d’alimentation scolaire intégré (PNASI), du programme d'assistance pour le maintien des filles à l’école au niveau de l’enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle (Projet SWEDD), de l'augmentation significative des subventions pour la gratuité des frais de scolarité dans les universités publiques, des facilités pour la prise en charge par l’État des cotisations sociales des travailleurs domestiques,...etc.