Pont de Nguéli.
Alwihda Info - Selon nos confrères du quotidien camerounais Le Messager qui cite des sources sécuritaires de la région de l'Extrême-Nord, «des personnes résidant du côté tchadien de la frontière sont soupçonnées de collusion avec la secte islamique Boko-Haram.»
« Pour des raisons évidentes, nos sources le déclarent sous anonymat. Toutefois, les mêmes informateurs expliquent que certaines informations auraient été données aux membres de la secte à partir d’une base arrière installée dans la zone frontalière tchadienne. », ajoute le quotidien camerounais.
La frontière tchado-camerounaise a été partiellement réouverte aujourd'hui, avec un couvre-feu imposé, près de 72 heures après sa fermeture suite à une attaque de Boko-Haram contre un poste de brigade de la gendarmerie camerounaise à Kousseri.
« Si ces accusations étaient fondés, la frontière n'aurait pas été réouverte, ne serait ce que partiellement », souligne ce soir un officier de l'armée, joint par téléphone.
Ces graves accusations succèdent celles d'un haut-gradé de la police camerounaise qui a récemment accusé des soldats tchadiens de collusion avec Boko-Haram.
« Pour des raisons évidentes, nos sources le déclarent sous anonymat. Toutefois, les mêmes informateurs expliquent que certaines informations auraient été données aux membres de la secte à partir d’une base arrière installée dans la zone frontalière tchadienne. », ajoute le quotidien camerounais.
La frontière tchado-camerounaise a été partiellement réouverte aujourd'hui, avec un couvre-feu imposé, près de 72 heures après sa fermeture suite à une attaque de Boko-Haram contre un poste de brigade de la gendarmerie camerounaise à Kousseri.
« Si ces accusations étaient fondés, la frontière n'aurait pas été réouverte, ne serait ce que partiellement », souligne ce soir un officier de l'armée, joint par téléphone.
Ces graves accusations succèdent celles d'un haut-gradé de la police camerounaise qui a récemment accusé des soldats tchadiens de collusion avec Boko-Haram.