Dans un entretien accordé à la presse nationale le 29 septembre 2023, le président de la transition du Burkina Faso a dit se sentir davantage réconforté. « On se sent de plus en plus réconforté tant que le peuple est avec nous », a-t-il déclaré et a reconnu que l’itinéraire emprunté par le Burkina Faso est « difficile ».
Malgré le chemin difficile emprunté par son pays, le chef de la junte a prévenu que « toute personne qui voudrait se mettre en travers de la marche de ce peuple, il n’y aura pas de sentiment ».
D’après le Capitaine Ibrahim Traoré, il n’y a pas de « malaise » au sein de l’armée nationale, mais plutôt des « individus pessimistes » vis-à-vis de la nouvelle trajectoire qu’a décidée de prendre les nouvelles autorités du pays.
Malgré les récentes batailles que l’armée a mené contre des groupes terroristes, le chef de la junte a souligné qu’« il n’y a pas cette partie du Burkina où nous ne pouvons pas mettre pieds ».
Les élections au Burkina Faso ne sont pas « une priorité » contrairement à la « sécurité » du pays, a-t-il affirmé. Le capitaine a également annoncé une « modification partielle » de la Constitution, un texte qui reflète selon lui « l'avis d'une poignée de personnes éclairées », au détriment d'une « masse populaire ».
Malgré le chemin difficile emprunté par son pays, le chef de la junte a prévenu que « toute personne qui voudrait se mettre en travers de la marche de ce peuple, il n’y aura pas de sentiment ».
D’après le Capitaine Ibrahim Traoré, il n’y a pas de « malaise » au sein de l’armée nationale, mais plutôt des « individus pessimistes » vis-à-vis de la nouvelle trajectoire qu’a décidée de prendre les nouvelles autorités du pays.
Malgré les récentes batailles que l’armée a mené contre des groupes terroristes, le chef de la junte a souligné qu’« il n’y a pas cette partie du Burkina où nous ne pouvons pas mettre pieds ».
Les élections au Burkina Faso ne sont pas « une priorité » contrairement à la « sécurité » du pays, a-t-il affirmé. Le capitaine a également annoncé une « modification partielle » de la Constitution, un texte qui reflète selon lui « l'avis d'une poignée de personnes éclairées », au détriment d'une « masse populaire ».