À Ouagadougou, le président de la Transition dy Burkina Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré, a présidé samedi 12 aout 2023, à la commémoration de la Journée internationale de la Jeunesse.
« Placée sous le thème : " Renforcement de l'employabilité des jeunes vivant en milieu rural et lutte contre l'insécurité au Burkina Faso", cette célébration est une occasion pour la jeunesse burkinabè de mener la réflexion pour accompagner l'élan engagé pour la souveraineté de notre pays et une vraie indépendance de l'Afrique », a souligné le chef de la junte sur sa page Twitter.
Le 30 janvier dernier, plusieurs milliers de personnes avaient manifesté à Ouagadougou pour la « souveraineté » du Burkina Faso, quelques jours après la confirmation du départ des forces françaises du pays.
Rassemblés place de la Nation, dans le centre du capitale, à l'appel de la coordination des associations et organisations de la société civile, les manifestants avaient brandi des pancartes sur lesquelles on pouvait lire: « L'impérialisme, à bas », « La politique française en Afrique, à bas », « Non au diktat de Macron », ou « En avant pour la souveraineté du Burkina ».
« Aujourd'hui c'est la journée de la souveraineté du Burkina Faso! C'est un jour spécial où tous les Burkinabè se retrouvent pour dire non à l'impérialisme, oui à la transition de Ibrahim Traoré, qui prend des mesures pour notre souveraineté mais aussi pour une armée assez puissante pour combattre les jihadistes », avait déclaré le président des associations de soutien à la transition, Alassane Kouanda.
« Placée sous le thème : " Renforcement de l'employabilité des jeunes vivant en milieu rural et lutte contre l'insécurité au Burkina Faso", cette célébration est une occasion pour la jeunesse burkinabè de mener la réflexion pour accompagner l'élan engagé pour la souveraineté de notre pays et une vraie indépendance de l'Afrique », a souligné le chef de la junte sur sa page Twitter.
Le 30 janvier dernier, plusieurs milliers de personnes avaient manifesté à Ouagadougou pour la « souveraineté » du Burkina Faso, quelques jours après la confirmation du départ des forces françaises du pays.
Rassemblés place de la Nation, dans le centre du capitale, à l'appel de la coordination des associations et organisations de la société civile, les manifestants avaient brandi des pancartes sur lesquelles on pouvait lire: « L'impérialisme, à bas », « La politique française en Afrique, à bas », « Non au diktat de Macron », ou « En avant pour la souveraineté du Burkina ».
« Aujourd'hui c'est la journée de la souveraineté du Burkina Faso! C'est un jour spécial où tous les Burkinabè se retrouvent pour dire non à l'impérialisme, oui à la transition de Ibrahim Traoré, qui prend des mesures pour notre souveraineté mais aussi pour une armée assez puissante pour combattre les jihadistes », avait déclaré le président des associations de soutien à la transition, Alassane Kouanda.