La junte au pouvoir au Burkina Faso a annoncé dans un communiqué ce 8 septembre que trois militaires ont été « interpellés et présentés à un juge d’instruction qui les a mis en examen et placés en détention préventive pour des faits de complot militaire, violation de consignes, complot contre la sûreté de l’Etat, association de malfaiteurs et mise en danger de la vie d’autrui ».
Selon les autorités burkinabés, « il s’agit en l’occurrence de l’Adjudant KaboreE Windinmalégdé, du Sergent-chef Ramde Brice Ismaël et l’ex-caporal Dah Sami qui ont reconnu sans ambages les faits ».
Ouagadougou a précisé que c’est courant fin août 2023 qu’il était dénoncé au parquet militaire des faits selon lesquels « des militaires et anciens militaires, en intelligence, procéderaient à l’identification de points sensibles et des domiciles dont celui du Président de Transition et de certaines autorités civiles et militaires, en vue de déstabiliser la conduite de la transition » au Burkina Faso.
Selon les autorités burkinabés, « il s’agit en l’occurrence de l’Adjudant KaboreE Windinmalégdé, du Sergent-chef Ramde Brice Ismaël et l’ex-caporal Dah Sami qui ont reconnu sans ambages les faits ».
Ouagadougou a précisé que c’est courant fin août 2023 qu’il était dénoncé au parquet militaire des faits selon lesquels « des militaires et anciens militaires, en intelligence, procéderaient à l’identification de points sensibles et des domiciles dont celui du Président de Transition et de certaines autorités civiles et militaires, en vue de déstabiliser la conduite de la transition » au Burkina Faso.