Le colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, président de la transition du Burkina Faso, a prononcé un discours à l'assemblée générale de l'ONU. Il a défendu le coup d'État qu'il a jugé nécessaire, a fustigé l'échec du régime de Roch Marc Kaboré et a appelé à l'aide de la communauté internationale.
« Si dans l’absolu le mouvement du 24 janvier dernier est illégal, et peut-être répréhensible au regard des principes chers aux Nations Unies et à la communauté internationale dans son ensemble, nous pensons que cette interruption de l’ordre constitutionnel, au regard de ce qui prévalait, était nécessaire et indispensable », a déclaré le colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba.
« Si dans l’absolu le mouvement du 24 janvier dernier est illégal, et peut-être répréhensible au regard des principes chers aux Nations Unies et à la communauté internationale dans son ensemble, nous pensons que cette interruption de l’ordre constitutionnel, au regard de ce qui prévalait, était nécessaire et indispensable », a déclaré le colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba.