Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré a accordé une audience à une délégation du patronat burkinabè, accompagné de représentants des patronats amis de la sous-région et d’hommes d’affaires burkinabè de la diaspora en Côte d’Ivoire et aux Etats-Unis d’Amérique.
Présente à Ouagadougou pour participer aux états généraux du secteur privé burkinabè, la délégation est composée de représentants des patronats du Mali, du Niger, du Bénin, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Togo, de New York et d’hommes d’affaires du Burkina Faso. Elle a été conduite au Palais de Koulouba par le président du Conseil national du patronat burkinabè, Idrissa Nassa.
A l’issue du temps d’échanges avec le président du Faso, M. Nassa a indiqué que « le chef de l’Etat nous a donné des orientations pour que nous puissions organiser et diriger les opérateurs économiques vers la production, afin qu’ils fassent des investissements productifs pour transformer ce que nous produisons et réduire de façon substantielle les importations ».
Selon lui, le capitaine Ibrahim TRAORE a souhaité que le patronat s’investisse davantage dans l’accompagnement des chefs d’entreprises pour faire du secteur privé burkinabè une véritable force de propositions et un acteur clé du développement économique et social.
« Il a souhaité que nous puissions travailler à promouvoir les petites et moyennes entreprises, faire en sorte que les grandes entreprises deviennent des multinationales afin que nous puissions ensemble travailler au développement de nos pays », a-t-il ajouté. Cette rencontre avec le chef de l’Etat s’est tenue en marge des états généraux du secteur privé burkinabè organisés par le Conseil national du patronat burkinabè (CNPB) dans le cadre de son 50e anniversaire.
L’objectif selon son président Idrissa Nassa est de faire l’état des lieux du secteur privé, d’analyser les enjeux et définir de nouvelles perspectives pour mieux impacter la vie des populations. « Notre Patronat fête ses cinquante ans d’existence. A cette occasion, nous avons ouvert ces réflexions afin de créer une synergie d’intelligences entre nous, créer des perspectives sur la base desquelles nous allons travailler », a-t-il indiqué.
Présente à Ouagadougou pour participer aux états généraux du secteur privé burkinabè, la délégation est composée de représentants des patronats du Mali, du Niger, du Bénin, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, du Togo, de New York et d’hommes d’affaires du Burkina Faso. Elle a été conduite au Palais de Koulouba par le président du Conseil national du patronat burkinabè, Idrissa Nassa.
A l’issue du temps d’échanges avec le président du Faso, M. Nassa a indiqué que « le chef de l’Etat nous a donné des orientations pour que nous puissions organiser et diriger les opérateurs économiques vers la production, afin qu’ils fassent des investissements productifs pour transformer ce que nous produisons et réduire de façon substantielle les importations ».
Selon lui, le capitaine Ibrahim TRAORE a souhaité que le patronat s’investisse davantage dans l’accompagnement des chefs d’entreprises pour faire du secteur privé burkinabè une véritable force de propositions et un acteur clé du développement économique et social.
« Il a souhaité que nous puissions travailler à promouvoir les petites et moyennes entreprises, faire en sorte que les grandes entreprises deviennent des multinationales afin que nous puissions ensemble travailler au développement de nos pays », a-t-il ajouté. Cette rencontre avec le chef de l’Etat s’est tenue en marge des états généraux du secteur privé burkinabè organisés par le Conseil national du patronat burkinabè (CNPB) dans le cadre de son 50e anniversaire.
L’objectif selon son président Idrissa Nassa est de faire l’état des lieux du secteur privé, d’analyser les enjeux et définir de nouvelles perspectives pour mieux impacter la vie des populations. « Notre Patronat fête ses cinquante ans d’existence. A cette occasion, nous avons ouvert ces réflexions afin de créer une synergie d’intelligences entre nous, créer des perspectives sur la base desquelles nous allons travailler », a-t-il indiqué.