Vinkengiseh Peter,votre réaction reste toujours attendue
"C’est plus dans un costume de faussaire et chef de gangs que les états de services de Peter Vinkengiseh semblent plus éloquents. Et voici son dernier fait d’arme et pas des moindres. Lui, le directeur général de la société Vikengiseh and Yahih Company, une entreprise basée à Douala, loue des engins à la société américaine Prime Potomac. Celle-ci est chargée de six chantiers de réfection et de construction des stades d’entraînement et des hôtels à Garoua dans le cadre des préparatifs de la CAN 2019. La particularité est que le loueur d’engins de BTP n’en possède pas un seul dans son parc aussi désert que le Sahara. Des engins, il les réquisitionne chez des tiers. Lesquels lui reversent des commissions. Mais les vrais propriétaires des engins loués à Prime Potomac ont été floués par Peter Vinkengiseh"; a déclaré à nos confrères de l'agence digitale africaine www.lescoopsdafrique.com,un des responsables de la société américaine Prime Potomac.
156 millions FCFA payés mais détournés par Peter Vinkengiseh
Selon nos sources:"Au mois de novembre 2017, le natif de Bamenda, dans le Nord-Ouest, que des mauvaises langues assimilent plutôt à un « Ambazonien » encaisse la rondelette somme de 156 millions de francs CFA auprès de Prime Potomac. L’argent, représentant une avance de la location des engins est destiné aux vrais propriétaires. Un paiement sur lequel sur lequel l’intermédiaire a droit à des commissions. Mais contre toute attente Peter Vinkengiseh s’arroge plutôt la part du lion en confisquant 106 millions francs CFA pour ne reverser que 50 millions francs CFA aux légitimes propriétaires des engins mis à sa disposition.
Ceux-ci ont depuis lors, par l’entremise de la société Tatcheda, manifesté leur désir de se faire payer directement entre les mains de Prime Potomac le reliquat des frais de location des engins d’un montant de 152 millions de francs CFA. Tatcheda finit par procéder à une saisie conservatoire de cette créance auprès de l’entreprise de Ben Modo rendant conséquemment impossible en l’état le moindre nouveau paiement au bénéfice de la société Vikengiseh and Yahih Company. Mais son directeur général, Peter Vikengiseh, ne tarit pas de convoitise pour faire main basse sur l’argent d’autrui. D’où l’ordonnance de saisie conservatoire de créances contre Prime Potomac obtenue auprès du tribunal de première instance-centre administratif de Yaoundé.
Ben Modo qui s’est toujours dit prêt à payer la créance querellée, après avoir reçu ordre de la justice de payer directement les vrais propriétaires des engins, avait invité Peter Vikengiseh à la conciliation « afin de nous permettre d’effectuer le règlement de vos prestations. » dans une correspondance datant du 06 février 2018. Avant de le prévenir que « dans le cas échéant, nous nous remettrons aux lois et règlement en vigueur du Cameroun pour procéder définitivement au paiement desdites prestations. »
Les dirigeants de Prime Potomac, du reste toujours disposés à régler le solde de la facture de location des engins mais aux légitimes bénéficiaires affirment n’avoir plus eu la moindre nouvelle de Peter Vinkengiseh qui arrose la toile aujourd’hui d’une pluie de controversés. Sans doute convaincu de ne pouvoir flouer à nouveau les légitimes propriétaires des engins, il a entrepris la cabale qui a cours. Ce qui faire dire à certains observateurs avertis qu’il s’agit aussi simplement qu’un complot contre les préparatifs de la CAN 2019.
La seconde mission des inspecteurs de la confédération africaine de football (CAF) dans les chantiers de la CAN 2019 à Garoua s’est déroulée le 19 mars 2018. La délégation composée de deux personnes, Ismaïl Wally, représentant de la CAF et Jean Louis Romain du cabinet Roland Berger, a constaté les travaux dans les chantiers tenus par Prime Potomac sont en avances par rapport au chronogramme énoncé. Tout confiants, les émissaires de la CAF ont estimé que Prime Potomac pourra livrer ses chantiers cinq mois avant les échéances contractuelles de décembre 2019 prévue pour la livraison des travaux. Ce qui ne plaît décidément pas aux architectes du chao de la trame de Peter Vinkengiseh.
Ceux-ci ont depuis lors, par l’entremise de la société Tatcheda, manifesté leur désir de se faire payer directement entre les mains de Prime Potomac le reliquat des frais de location des engins d’un montant de 152 millions de francs CFA. Tatcheda finit par procéder à une saisie conservatoire de cette créance auprès de l’entreprise de Ben Modo rendant conséquemment impossible en l’état le moindre nouveau paiement au bénéfice de la société Vikengiseh and Yahih Company. Mais son directeur général, Peter Vikengiseh, ne tarit pas de convoitise pour faire main basse sur l’argent d’autrui. D’où l’ordonnance de saisie conservatoire de créances contre Prime Potomac obtenue auprès du tribunal de première instance-centre administratif de Yaoundé.
Ben Modo qui s’est toujours dit prêt à payer la créance querellée, après avoir reçu ordre de la justice de payer directement les vrais propriétaires des engins, avait invité Peter Vikengiseh à la conciliation « afin de nous permettre d’effectuer le règlement de vos prestations. » dans une correspondance datant du 06 février 2018. Avant de le prévenir que « dans le cas échéant, nous nous remettrons aux lois et règlement en vigueur du Cameroun pour procéder définitivement au paiement desdites prestations. »
Les dirigeants de Prime Potomac, du reste toujours disposés à régler le solde de la facture de location des engins mais aux légitimes bénéficiaires affirment n’avoir plus eu la moindre nouvelle de Peter Vinkengiseh qui arrose la toile aujourd’hui d’une pluie de controversés. Sans doute convaincu de ne pouvoir flouer à nouveau les légitimes propriétaires des engins, il a entrepris la cabale qui a cours. Ce qui faire dire à certains observateurs avertis qu’il s’agit aussi simplement qu’un complot contre les préparatifs de la CAN 2019.
La seconde mission des inspecteurs de la confédération africaine de football (CAF) dans les chantiers de la CAN 2019 à Garoua s’est déroulée le 19 mars 2018. La délégation composée de deux personnes, Ismaïl Wally, représentant de la CAF et Jean Louis Romain du cabinet Roland Berger, a constaté les travaux dans les chantiers tenus par Prime Potomac sont en avances par rapport au chronogramme énoncé. Tout confiants, les émissaires de la CAF ont estimé que Prime Potomac pourra livrer ses chantiers cinq mois avant les échéances contractuelles de décembre 2019 prévue pour la livraison des travaux. Ce qui ne plaît décidément pas aux architectes du chao de la trame de Peter Vinkengiseh.