Garoua/Irène Deville Dagosta/Envoyée spéciale/www.lescoopsdafrique.com
Prime Potomac met les bouchées doubles pour finir les chantiers des infrastructures de la CAN 2019 dont elle a la charge à Garoua. Avant les délais prend-on soin de préciser au sein de l’entreprise américaine. Dans les sites, le premier visiteur est émerveillé devant ce qu’il faut considérer comme une prouesse. Les stades d’entrainement sont déjà sortis de terre. Bien plus, les travaux ne sont à la phase des finitions. Celles-ci pourront durer deux mois, dans le pire des cas, à en croire les précisions du président directeur général de Prime Potomac. Et il n’y a manifestement pas de quoi douter des projections du jeune chef d’entreprise. Au contraire.
Les aires de jeu sont en phase d’être recouvertes de gazon. Ce travail débute cette semaine. Le matériel adéquat étant désormais disponible.
Ainsi, aux premières heures du samedi 03 mars 2018, l’aéroport international de Garoua a accueilli un vol spécial. Un avion-cargo de type MD-11 F affrété par le PDG de Prime Potomac, Ben Modo. L’aéronef parti de Miami aux Etats-Unis d’Amérique pour atterrir directement à Garoua est venu livrer une cargaison de gazons destinés aux stades d’entraînement en réfection.
D’autres vols de ce type sont annoncés pour les prochains jours. Il faudra en dénombrer au total neuf entre les Etats Unis et le Cameroun pour assurer le transport de tous les matériaux destinés aussi bien pour les chantiers des stades que pour les chantiers des hôtels. Prime Potomac a adopté l’option du transport par avion, bien que plus coûteuse que le transport par bateau, afin de donner assez rapidement satisfaction à l’Etat du Cameroun.
Le gazon réceptionné samedi dernier à Garoua est de type « Bermuda Tiffway 419 ». A titre d’exemple, il est du même type que celui installé dans le stade de Maracana, au Brésil, où s’est jouée la dernière coupe du monde de football. Le « Bermuda Tiffway 419 » est réputé comme étant une spécificité des zones arides à l’instar de l’Amérique latine, le Sud des Etats-Unis et les régions sahéliennes notamment le Nord-Cameroun. Il est sous forme de tapi naturel. Et l’on peut automatiquement jouer dessus quarante-huit heures après sa dissémination sur l’aire de jeu. Dans un autre cas, il aurait fallu attendre huit mois pour faire grandir le gazon.
L’organisation du travail dans les chantiers des infrastructures de la CAN 2019 dont Prime Potomac a la charge à Garoua ne peut que rendre optimiste sur les prévisions avancées. L’entreprise a densifié tant en quantité et qu’en qualité les effectifs de son personnel. Objectif, maintenir le rythme accéléré des travaux qu’elle s’est imposée. Avec ses deux mille cinq cent soixante employés qui pointent actuellement à la fin du mois, l’entreprise américaine est l’un des plus gros employeurs dans le grand Nord. Du coup, les chantiers tournent de manière ininterrompue jours et nuits. Et l’on comprend pourquoi et comment cette société comptabilise six mois d’avance sur les délais contractuels de fin des travaux prescrits par l’Etat du Cameroun.
Prime Potomac met les bouchées doubles pour finir les chantiers des infrastructures de la CAN 2019 dont elle a la charge à Garoua. Avant les délais prend-on soin de préciser au sein de l’entreprise américaine. Dans les sites, le premier visiteur est émerveillé devant ce qu’il faut considérer comme une prouesse. Les stades d’entrainement sont déjà sortis de terre. Bien plus, les travaux ne sont à la phase des finitions. Celles-ci pourront durer deux mois, dans le pire des cas, à en croire les précisions du président directeur général de Prime Potomac. Et il n’y a manifestement pas de quoi douter des projections du jeune chef d’entreprise. Au contraire.
Les aires de jeu sont en phase d’être recouvertes de gazon. Ce travail débute cette semaine. Le matériel adéquat étant désormais disponible.
Ainsi, aux premières heures du samedi 03 mars 2018, l’aéroport international de Garoua a accueilli un vol spécial. Un avion-cargo de type MD-11 F affrété par le PDG de Prime Potomac, Ben Modo. L’aéronef parti de Miami aux Etats-Unis d’Amérique pour atterrir directement à Garoua est venu livrer une cargaison de gazons destinés aux stades d’entraînement en réfection.
D’autres vols de ce type sont annoncés pour les prochains jours. Il faudra en dénombrer au total neuf entre les Etats Unis et le Cameroun pour assurer le transport de tous les matériaux destinés aussi bien pour les chantiers des stades que pour les chantiers des hôtels. Prime Potomac a adopté l’option du transport par avion, bien que plus coûteuse que le transport par bateau, afin de donner assez rapidement satisfaction à l’Etat du Cameroun.
Le gazon réceptionné samedi dernier à Garoua est de type « Bermuda Tiffway 419 ». A titre d’exemple, il est du même type que celui installé dans le stade de Maracana, au Brésil, où s’est jouée la dernière coupe du monde de football. Le « Bermuda Tiffway 419 » est réputé comme étant une spécificité des zones arides à l’instar de l’Amérique latine, le Sud des Etats-Unis et les régions sahéliennes notamment le Nord-Cameroun. Il est sous forme de tapi naturel. Et l’on peut automatiquement jouer dessus quarante-huit heures après sa dissémination sur l’aire de jeu. Dans un autre cas, il aurait fallu attendre huit mois pour faire grandir le gazon.
L’organisation du travail dans les chantiers des infrastructures de la CAN 2019 dont Prime Potomac a la charge à Garoua ne peut que rendre optimiste sur les prévisions avancées. L’entreprise a densifié tant en quantité et qu’en qualité les effectifs de son personnel. Objectif, maintenir le rythme accéléré des travaux qu’elle s’est imposée. Avec ses deux mille cinq cent soixante employés qui pointent actuellement à la fin du mois, l’entreprise américaine est l’un des plus gros employeurs dans le grand Nord. Du coup, les chantiers tournent de manière ininterrompue jours et nuits. Et l’on comprend pourquoi et comment cette société comptabilise six mois d’avance sur les délais contractuels de fin des travaux prescrits par l’Etat du Cameroun.