Ce sommet ordinaire qui s’est ouvert au palais présidentiel à Libreville s’avère capital pour le dynamisme de l’institution sous régionale. Il est question d’arrimer la CEEAC aux exigences du millénaire. Désigné par ses pairs au cours du dernier sommet de la CEEAC, ténu en juillet dernier par visioconférence, le congolais, Denis Sassou-N’Guesso sera investi dans ses fonctions de président en exercice de l’Organisation.
Il s’agira au cours de cette 18ème session ordinaire, d’aborder les différents aspects social et économique de l’espace communautaire, des domaines qui ont été beaucoup impactés par la pandémie à coronavirus durant cette année. A l’ordre du jour de ce sommet ordinaire, figurent également l’examen de la proposition de la grille salariale de la Commission, du projet de déclaration de la République centrafricaine (RCA), ainsi que l’examen de la mise en œuvre de l’article 114 du traité révisé et de la décision n°001/CEEAC/CCEG/XVII20 du 31 juillet 2020 qui fixe et organise la période transitoire du personnel du Secrétariat général de la CEEAC.
Ce 18ème sommet se tient un an après celui qui a été qualifié d’historique et au cours duquel les chefs d’Etat et de gouvernement ont validé la grande réforme institutionnelle de la CEEAC. Dorénavant dotée d’une nouvelle organisation, avec notamment une commission qui a remplacé le secrétariat général, la sous-région se sent capable de combler son retard, en termes d’intégration.
Le déplacement du chef de l’Etat congolais pour Libreville est d’autant plus se justifié. Denis Sassou-N’Guesso prend les commandes de l’organisation sous régionale. Il succède ainsi au président gabonais, Ali Bongo Ondimba qui a occupé ce poste depuis 2015. Denis Sassou-N’Guesso entame ainsi à partir de ce 27 novembre, un quatrième mandat à la tête de la CEEAC avec, à cœur, l’ambition de poursuivre les réformes engagées au sein de l’institution.
A noter que la CEEAC est composée de 11 pays, à savoir : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, la République du Congo, la Rd-Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, le Rwanda, le Tchad, et le Sao-Tomé-et-Principe.
Il s’agira au cours de cette 18ème session ordinaire, d’aborder les différents aspects social et économique de l’espace communautaire, des domaines qui ont été beaucoup impactés par la pandémie à coronavirus durant cette année. A l’ordre du jour de ce sommet ordinaire, figurent également l’examen de la proposition de la grille salariale de la Commission, du projet de déclaration de la République centrafricaine (RCA), ainsi que l’examen de la mise en œuvre de l’article 114 du traité révisé et de la décision n°001/CEEAC/CCEG/XVII20 du 31 juillet 2020 qui fixe et organise la période transitoire du personnel du Secrétariat général de la CEEAC.
Ce 18ème sommet se tient un an après celui qui a été qualifié d’historique et au cours duquel les chefs d’Etat et de gouvernement ont validé la grande réforme institutionnelle de la CEEAC. Dorénavant dotée d’une nouvelle organisation, avec notamment une commission qui a remplacé le secrétariat général, la sous-région se sent capable de combler son retard, en termes d’intégration.
Le déplacement du chef de l’Etat congolais pour Libreville est d’autant plus se justifié. Denis Sassou-N’Guesso prend les commandes de l’organisation sous régionale. Il succède ainsi au président gabonais, Ali Bongo Ondimba qui a occupé ce poste depuis 2015. Denis Sassou-N’Guesso entame ainsi à partir de ce 27 novembre, un quatrième mandat à la tête de la CEEAC avec, à cœur, l’ambition de poursuivre les réformes engagées au sein de l’institution.
A noter que la CEEAC est composée de 11 pays, à savoir : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, la République du Congo, la Rd-Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, le Rwanda, le Tchad, et le Sao-Tomé-et-Principe.