Le continent africain va bientôt se doter d'un centre de coordination pour la préservation du sol et la prévention de sa dégradation. L'objectif est de parvenir à la neutralité et d'éviter surtout la dégradation progressive des sols qui peuvent avoir des conséquences fâcheuses sur la vie de l'homme.
La zone bleu initiée par les Nations-unies, a abrité hier, dans l'un de ses standing, l'exposé sur le rôle de la création de ce centre de préservation de sol. Le processus de la mise en place de ce centre doit permettre de lancer une alerte précoce de prévention à l'échelle continentale sur les dégradations de sol, qui sera doté d'un bureau composé de 7 membre ayant pour vocation de travailler de concert dans tous les pays africains.
Le haut commissaire du comité de ce centre, Abdelaziz Lhafi a indiqué que l'existence d'un pays passe nécessairement par la préservation de sa terre et la lutte contre la désertification qui se fonde sur le respect du droit foncier. Par ailleurs, il a affirmé que 12 millions de terres sont dégradées au monde dont 80 % en Afrique. Avant d'ajouter que 500 millions de fermes faisant moins de 2 hectares nourrissent 80% de la population mondiale.
"Le Lac Tchad a considérablement perdu de sa superficie en moins de 40 ans, pourtant il nourrit plusieurs millions d'âmes. Cela a des conséquences facheuses avec plusieurs personnes qui ont rejoint des mouvement obscurantistes suite à la dégradation de leurs conditions de vie et de travail, représentant une menace sérieuse pour la paix dans tous ces pays riverains", a t-il déclaré.
Pour sa part, le secrétaire exécutif du comité de pilotage de centre de préservation, Monique Barbut a souligné que la dégradation des sols est sensible à toute variation climatique pouvant entraîner la baisse des productions des sols, avec pour conséquence immédiate la migration des agriculteurs vers les grandes villes et surtout le conflit éleveurs-agriculteurs.
La zone bleu initiée par les Nations-unies, a abrité hier, dans l'un de ses standing, l'exposé sur le rôle de la création de ce centre de préservation de sol. Le processus de la mise en place de ce centre doit permettre de lancer une alerte précoce de prévention à l'échelle continentale sur les dégradations de sol, qui sera doté d'un bureau composé de 7 membre ayant pour vocation de travailler de concert dans tous les pays africains.
Le haut commissaire du comité de ce centre, Abdelaziz Lhafi a indiqué que l'existence d'un pays passe nécessairement par la préservation de sa terre et la lutte contre la désertification qui se fonde sur le respect du droit foncier. Par ailleurs, il a affirmé que 12 millions de terres sont dégradées au monde dont 80 % en Afrique. Avant d'ajouter que 500 millions de fermes faisant moins de 2 hectares nourrissent 80% de la population mondiale.
"Le Lac Tchad a considérablement perdu de sa superficie en moins de 40 ans, pourtant il nourrit plusieurs millions d'âmes. Cela a des conséquences facheuses avec plusieurs personnes qui ont rejoint des mouvement obscurantistes suite à la dégradation de leurs conditions de vie et de travail, représentant une menace sérieuse pour la paix dans tous ces pays riverains", a t-il déclaré.
Pour sa part, le secrétaire exécutif du comité de pilotage de centre de préservation, Monique Barbut a souligné que la dégradation des sols est sensible à toute variation climatique pouvant entraîner la baisse des productions des sols, avec pour conséquence immédiate la migration des agriculteurs vers les grandes villes et surtout le conflit éleveurs-agriculteurs.