
Ses collaborateurs, Mbangue Maxime et Mboutou Ghislain, ont également été condamnés à 25 ans de prison ferme pour complicité de corruption, complicité de détournement et blanchiment aggravé de capitaux. Ils ont été impliqués dans des opérations de dissimulation de fonds.
Cette décision judiciaire a suscité des réactions mitigées dans le pays. Certains saluent la fermeté de la justice face à la corruption, tandis que d'autres s'interrogent sur l'efficacité des enquêtes préliminaires. La condamnation d'Edgar Alain Mébé Ngo'o et de ses collaborateurs envoie un message fort sur l'engagement de l'État à lutter contre la corruption et le détournement de fonds publics. Cependant, elle soulève également des questions sur la transparence et l'intégrité des procédures judiciaires.