Le ministre de la Santé publique, le Dr Manaouda Malachie.
Motivé par son sens de responsabilité à l'égard des populations vulnérables et à risque depuis le début de la pandémie, et dans sa promptitude à développer et de multiplier des stratégies de lutte contre le Covid-19, le ministre de la Santé publique le Dr Manaouda Malachie met l'accent dans la prise de décisions. Il s’agit d'anticiper sur les problématiques de santé et les mesures préventives intégrées, dans le cadre de la lutte contre la pandémie due au Covid 19.
Au cours du mois d’avril dernier, le ministre de la Recherche scientifique et de l’Innovation (MINRESI), Mme Madeleine Tchuente a fait savoir devant les médias que c’est le ministre de la Santé publique qui pilote toute l’opération de décision sur la production de la chloroquine au Cameroun. Elle a dit qu'il suffisait que ce dernier exprime le besoin pour que l’IMPM et le laboratoire de virologie se mettent à disposition pour la fabrication massive de la chloroquine. Une activité qu'ils exécutent déjà depuis plus de quinze ans.
Dans le cadre de cette production massive de la chloroquine voulu par le MINSANTE, le MINRESI compte donc commander les intrants nécessaires pour cette fabrication à grande échelle. Une fois que la matière première sera mise à disposition, le travail de grande production sera relancé à raison de six mille comprimés par minute. D'ici là, il convient d'informer l'opinion publique que le ministre de la Santé publique, le Dr Malachie Manaouda a déjà pu obtenir des traitements de Covid-19 à la chloroquine pour 60 000 personnes environ. A la demande du ministre de la Santé publique, la recherche scientifique affirme avoir des hommes et des structures capables de pouvoir répondre aux exigences sur le Covid-19 au Cameroun.
Depuis le début de la pandémie du Covid-19, les Camerounais par le biais du ministre de la Santé publique ont découvert de nombreuses initiatives locales au fil des jours, toutes œuvrant dans l’optique de mener une lutte efficace pour la survie des populations et avec pour objectif de vaincre définitivement cette pandémie qui secoue le monde entier. L’Institut de technologie pharmaceutique de l’IMPM annonce qu'il est capable de produire deux cents comprimés de chloroquine par minute.
Par ailleurs, le Pr Emmanuel Nnanga Nga, chef du laboratoire de l’IMPM affirme que les machines à leur disposition sont à mesure de produire six mille comprimés par heure, et qu’en plus de celles-ci, l’Institut dispose de tout un laboratoire qui permettrait de passer de deux cents à trois cents mille comprimés par heure. Il rassure l'opinion publique que ces machines sont capables de produire ces médicaments sous diverses formes galéniques : la forme sèche pelliculée et la forme liquide. Pour sa part, le laboratoire de virologie du centre de recherche sur les maladies émergentes et ré émergentes (CREMER) dispose d'un matériel capable d'apporter un appui substantiel à la santé en matière de dépistage du coronavirus. Selon le Dr Marcel Tongo, chef de laboratoire de virologie du CREMER, il sera de question d’offrir des dépistages et des tests rapides qu’on utiliserait lors des dépistages de masse prévus, autant qu’on peut recevoir des échantillons, à raison de deux cents par jour.
D'ici là, les populations doivent continuer à afficher leur sens de responsabilité face à la progressions de la pandémie qui n’a pas encore atteint son pic. Il faudrait qu’elles soient attentives sur les droits et obligations de chacun à participer individuellement et collectivement aux efforts du gouvernement, tout en respectant les mesures barrières.
Au cours du mois d’avril dernier, le ministre de la Recherche scientifique et de l’Innovation (MINRESI), Mme Madeleine Tchuente a fait savoir devant les médias que c’est le ministre de la Santé publique qui pilote toute l’opération de décision sur la production de la chloroquine au Cameroun. Elle a dit qu'il suffisait que ce dernier exprime le besoin pour que l’IMPM et le laboratoire de virologie se mettent à disposition pour la fabrication massive de la chloroquine. Une activité qu'ils exécutent déjà depuis plus de quinze ans.
Dans le cadre de cette production massive de la chloroquine voulu par le MINSANTE, le MINRESI compte donc commander les intrants nécessaires pour cette fabrication à grande échelle. Une fois que la matière première sera mise à disposition, le travail de grande production sera relancé à raison de six mille comprimés par minute. D'ici là, il convient d'informer l'opinion publique que le ministre de la Santé publique, le Dr Malachie Manaouda a déjà pu obtenir des traitements de Covid-19 à la chloroquine pour 60 000 personnes environ. A la demande du ministre de la Santé publique, la recherche scientifique affirme avoir des hommes et des structures capables de pouvoir répondre aux exigences sur le Covid-19 au Cameroun.
Depuis le début de la pandémie du Covid-19, les Camerounais par le biais du ministre de la Santé publique ont découvert de nombreuses initiatives locales au fil des jours, toutes œuvrant dans l’optique de mener une lutte efficace pour la survie des populations et avec pour objectif de vaincre définitivement cette pandémie qui secoue le monde entier. L’Institut de technologie pharmaceutique de l’IMPM annonce qu'il est capable de produire deux cents comprimés de chloroquine par minute.
Par ailleurs, le Pr Emmanuel Nnanga Nga, chef du laboratoire de l’IMPM affirme que les machines à leur disposition sont à mesure de produire six mille comprimés par heure, et qu’en plus de celles-ci, l’Institut dispose de tout un laboratoire qui permettrait de passer de deux cents à trois cents mille comprimés par heure. Il rassure l'opinion publique que ces machines sont capables de produire ces médicaments sous diverses formes galéniques : la forme sèche pelliculée et la forme liquide. Pour sa part, le laboratoire de virologie du centre de recherche sur les maladies émergentes et ré émergentes (CREMER) dispose d'un matériel capable d'apporter un appui substantiel à la santé en matière de dépistage du coronavirus. Selon le Dr Marcel Tongo, chef de laboratoire de virologie du CREMER, il sera de question d’offrir des dépistages et des tests rapides qu’on utiliserait lors des dépistages de masse prévus, autant qu’on peut recevoir des échantillons, à raison de deux cents par jour.
D'ici là, les populations doivent continuer à afficher leur sens de responsabilité face à la progressions de la pandémie qui n’a pas encore atteint son pic. Il faudrait qu’elles soient attentives sur les droits et obligations de chacun à participer individuellement et collectivement aux efforts du gouvernement, tout en respectant les mesures barrières.