La construction de l'édifice a reçu une attention particulière à Rome.
Avec ses vitraux rayonnants sur 186 fenêtres, la cathédrale Saint Joseph de Sangmélima présente une architecture futuriste. Devant le représentant du Pape François venu de Rome, du nonce apostolique au Cameroun et en Guinée équatoriale, des épiscopats du Cameroun, d’Afrique, de France et d’Italie et devant les autorités camerounaises, elle sera inaugurée pour le bien des fidèles chrétiens le 27 avril 2019.
Construite pour faire plus de 500 ans, la cathédrale Saint Joseph de Sangmélima, dans la région du Sud du Cameroun est située sur 7 hectares. De même générale, il s’est agi pour les bâtisseurs de cette œuvre dédiée à Dieu, d’offrir aux fidèles, des structures adéquates, la cathédrale étant perçue ici comme un microcosme du diocèse. Elle peut accueillir plus de 5000 fidèles l’intérieur, 11 000 au niveau du parvis qui s’étend sur 6000 m2. Bien plus, les trois parkings aménagés sur le site, peuvent contenir plus de 600 véhicules, alors que le son émanant du clocher peut être perceptible sur une distance de 40 à 50 kilomètres à la ronde.
Sur un autre plan la conception de l’édifice présente des innovations qui tranchent avec le reste des endroits de culte. En effet, la sacristie ne sera plus une petite chambre prévue pour se changer, mais elle va désormais offrir d’autres commodités, à côté du baptistère aménagé spécifiquement dans l’optique de ne plus offrir le sacrement de baptême à l’autel. L’autre innovation majeure porte sur l’emplacement de la chorale qui ne sera plus à côté de l’autel, seul le maitre des chœurs pouvant se présenter devant les fidèles.
Par ailleurs, la crypte (caveau servant de sépulcre) de la cathédrale peut accueillir au moins 48 tombes d’évêques, sans oublier qu’on pourra toujours, en cas de besoin, et dans un avenir très lointain, occuper l’espace pour atteindre entre 70 et 80 tombes. C’est une œuvre gigantesque dont la première pierre a été posée le 4 avril 2010 par l’évêque de Sangmélima, Mgr Christophe Zoa. Il faut rappeler que le projet de construction d’une cathédrale digne de ce nom dans cette ville est né le jour de l’installation du prélat comme évêque. Aujourd’hui, il est question de passer à la célébration de ce prestigieux projet.
« Cette cathédrale a déjà reçu une attention particulière à Rome, parce qu’elle est l’une des plus grandes en Afrique qui font honneur à l’Église catholique. Elle aura plus de notoriété et permettra à l’Eglise qui est au Cameroun et à ce pays d’être au Panthéon des grandes réalisations à Rome », déclare Mgr Christophe Zoa. En effet, selon l’évêque de Sangmélima, en répondant aux besoins des fidèles, l’on a tenu à leur offrir une structure en cohérence avec la théologie chrétienne catholique. Celle qui voudrait aujourd’hui que les églises ne soient plus byzantines, c’est-à-dire des églises-monuments. Hier, on assistait à la messe alors qu’aujourd’hui on participe à la messe. Le tout au sein d’une Eglise qui rassemble.
Construite pour faire plus de 500 ans, la cathédrale Saint Joseph de Sangmélima, dans la région du Sud du Cameroun est située sur 7 hectares. De même générale, il s’est agi pour les bâtisseurs de cette œuvre dédiée à Dieu, d’offrir aux fidèles, des structures adéquates, la cathédrale étant perçue ici comme un microcosme du diocèse. Elle peut accueillir plus de 5000 fidèles l’intérieur, 11 000 au niveau du parvis qui s’étend sur 6000 m2. Bien plus, les trois parkings aménagés sur le site, peuvent contenir plus de 600 véhicules, alors que le son émanant du clocher peut être perceptible sur une distance de 40 à 50 kilomètres à la ronde.
Sur un autre plan la conception de l’édifice présente des innovations qui tranchent avec le reste des endroits de culte. En effet, la sacristie ne sera plus une petite chambre prévue pour se changer, mais elle va désormais offrir d’autres commodités, à côté du baptistère aménagé spécifiquement dans l’optique de ne plus offrir le sacrement de baptême à l’autel. L’autre innovation majeure porte sur l’emplacement de la chorale qui ne sera plus à côté de l’autel, seul le maitre des chœurs pouvant se présenter devant les fidèles.
Par ailleurs, la crypte (caveau servant de sépulcre) de la cathédrale peut accueillir au moins 48 tombes d’évêques, sans oublier qu’on pourra toujours, en cas de besoin, et dans un avenir très lointain, occuper l’espace pour atteindre entre 70 et 80 tombes. C’est une œuvre gigantesque dont la première pierre a été posée le 4 avril 2010 par l’évêque de Sangmélima, Mgr Christophe Zoa. Il faut rappeler que le projet de construction d’une cathédrale digne de ce nom dans cette ville est né le jour de l’installation du prélat comme évêque. Aujourd’hui, il est question de passer à la célébration de ce prestigieux projet.
« Cette cathédrale a déjà reçu une attention particulière à Rome, parce qu’elle est l’une des plus grandes en Afrique qui font honneur à l’Église catholique. Elle aura plus de notoriété et permettra à l’Eglise qui est au Cameroun et à ce pays d’être au Panthéon des grandes réalisations à Rome », déclare Mgr Christophe Zoa. En effet, selon l’évêque de Sangmélima, en répondant aux besoins des fidèles, l’on a tenu à leur offrir une structure en cohérence avec la théologie chrétienne catholique. Celle qui voudrait aujourd’hui que les églises ne soient plus byzantines, c’est-à-dire des églises-monuments. Hier, on assistait à la messe alors qu’aujourd’hui on participe à la messe. Le tout au sein d’une Eglise qui rassemble.