Celui qui est par ailleurs secrétaire général de l’Association des Raffineurs des Oléagineux du Cameroun (ASROC), portera désormais le plaidoyer auprès des chefs d’entreprises, en faveur de la lutte contre les maladies tropicales négligées et la malnutrition, en tant que premier président, du tout premier Réseau des Entreprises du Cameroun constitué pour la lutte contre la Malnutrition et les Maladies Tropicales Négligées (REC2MTN). Comme le rappellera Jacquis Kemleu Tchabgou.
Les maladies tropicales négligées (MTN) sont un ensemble diversifié de 20 maladies et groupes de maladies ayant un point commun qui est leur impact sur les communautés appauvries. Cet ensemble touche plus d’un milliard de personnes, avec des conséquences dévastatrices sur la santé, le social et l’économie. La feuille de route du REC2MTN, pour la période 2021–2030, précise le maire de Dschang, définit des cibles et des jalons au niveau mondial pour prévenir, contrôler, éliminer ou éradiquer les 20 maladies et groupes de maladies. Elle fixe également des cibles transversales alignées sur le treizième Programme général de travail de l’OMS et les Objectifs de développement durable, avec des stratégies pour atteindre les cibles au cours de la prochaine décennie.
Pour les industriels, il est question de contribuer de façon efficace, à la lutte contre les carences en micronutriments que connaissent les femmes en âge de procréer et les enfants en bas âge, en procédant à l’enrichissement à la vitamine A des huiles végétales raffinées et à l’enrichissement de la farine de froment en fer, à l’acide folique, au zinc et à la vitamine B12. Et cet enrichissement qui accompagne la supplémentation, n’a été possible qu’avec l’accompagnement de HKI partenaire privilégié du Cameroun en matière de santé notamment de Santé publique, ainsi que de celui de l’ANOR, bras technique et séculier du ministère de l’Industrie en ce qui concerne la norme et la qualité.
Dans leur plaidoyer, les industriels s’engagent aux côtés du gouvernement et de son partenaire HKI, à « apporter notre contribution à des questions portant sur les besoins du système de gestion de la malnutrition et d’accompagnement par des partenaires, sur les raisons justifiant l’engagement pour la lutte contre la malnutrition, la mise en place des réseaux d’entreprises sensibles à la nutrition…, questions touchant à la qualité de vie des populations, à leur bien-être », conclut Jacquis Kemleu Tchabgou.
Les maladies tropicales négligées (MTN) sont un ensemble diversifié de 20 maladies et groupes de maladies ayant un point commun qui est leur impact sur les communautés appauvries. Cet ensemble touche plus d’un milliard de personnes, avec des conséquences dévastatrices sur la santé, le social et l’économie. La feuille de route du REC2MTN, pour la période 2021–2030, précise le maire de Dschang, définit des cibles et des jalons au niveau mondial pour prévenir, contrôler, éliminer ou éradiquer les 20 maladies et groupes de maladies. Elle fixe également des cibles transversales alignées sur le treizième Programme général de travail de l’OMS et les Objectifs de développement durable, avec des stratégies pour atteindre les cibles au cours de la prochaine décennie.
Pour les industriels, il est question de contribuer de façon efficace, à la lutte contre les carences en micronutriments que connaissent les femmes en âge de procréer et les enfants en bas âge, en procédant à l’enrichissement à la vitamine A des huiles végétales raffinées et à l’enrichissement de la farine de froment en fer, à l’acide folique, au zinc et à la vitamine B12. Et cet enrichissement qui accompagne la supplémentation, n’a été possible qu’avec l’accompagnement de HKI partenaire privilégié du Cameroun en matière de santé notamment de Santé publique, ainsi que de celui de l’ANOR, bras technique et séculier du ministère de l’Industrie en ce qui concerne la norme et la qualité.
Dans leur plaidoyer, les industriels s’engagent aux côtés du gouvernement et de son partenaire HKI, à « apporter notre contribution à des questions portant sur les besoins du système de gestion de la malnutrition et d’accompagnement par des partenaires, sur les raisons justifiant l’engagement pour la lutte contre la malnutrition, la mise en place des réseaux d’entreprises sensibles à la nutrition…, questions touchant à la qualité de vie des populations, à leur bien-être », conclut Jacquis Kemleu Tchabgou.