Des trafiquants fauniques entre les mains des agents du ministère en charge de la Faune.
Deux trafiquants d’espèces fauniques protégées ont été arrêtés avec 12 chimpanzés crânes. Les chimpanzés ont été tués et continuent d'être tués pour le commerce international dans la réserve du Dja, avec en prime, la filière asiatique, avec pour base, la Chine.
Le site de la réserve du Dja est situé dans la partie méridionale du Cameroun, entre les régions du Sud et de l’Est. C’est un site du patrimoine mondial, comme beaucoup d’autres zones protégées en Afrique, mais qui restent moins protégées.
En dépit du nombre de conférences internationales organisées à travers le monde et les beaux discours prononcées portant sur ce site, le phénomène de la criminalité faunique demeure. Pendant ce temps, les fonds investis dans le domaine restent colossales : le contraste reste frappant avec ce désastre.
Pour sa part, l’Ong Laga qui a signé depuis près d’une décennie, une convention avec le ministère des Forêts et de la Faune du Cameroun, est bien présente sur le terrain. Son action a déjà conduit plusieurs criminels fauniques en prison. Elle s’appuie sur l’application de la loi faunique de 1994 et reçoit de plus en plus les encouragements de la communauté internationale.
Le site de la réserve du Dja est situé dans la partie méridionale du Cameroun, entre les régions du Sud et de l’Est. C’est un site du patrimoine mondial, comme beaucoup d’autres zones protégées en Afrique, mais qui restent moins protégées.
En dépit du nombre de conférences internationales organisées à travers le monde et les beaux discours prononcées portant sur ce site, le phénomène de la criminalité faunique demeure. Pendant ce temps, les fonds investis dans le domaine restent colossales : le contraste reste frappant avec ce désastre.
Pour sa part, l’Ong Laga qui a signé depuis près d’une décennie, une convention avec le ministère des Forêts et de la Faune du Cameroun, est bien présente sur le terrain. Son action a déjà conduit plusieurs criminels fauniques en prison. Elle s’appuie sur l’application de la loi faunique de 1994 et reçoit de plus en plus les encouragements de la communauté internationale.