Selon un communiqué émis par le Secrétaire Général des Services du Premier Ministre, Séraphin Magloire Fouda, le litre de super passera de 730 FCFA à 840 FCFA, soit une progression de 110 FCFA en valeur absolue et une augmentation relative de 15%. Quant au gasoil, son prix sera fixé à 828 FCFA contre 720 FCFA auparavant, ce qui représente une augmentation de108FCFA (+13%). Cette mesure entrera en vigueur dès le 3 février.
Cette hausse du prix du carburant fait suite aux propos tenus par le Président Camerounais Paul Biya lors de son discours présidentiel prononcé le dernier jour de l'année. Il avait alors évoqué les contraintes budgétaires qui poussent l'État camerounais à réduire la subvention pétrolière d'une valeur estimée à1,6 milliards dollars. Cette subvention pèse considérablement sur les finances publiques.
La décision d'augmenter les prix a été prise dans un contexte où la population faisait face à une pénurie temporaire de carburant super dans tout le pays. Les files d'attente interminables devant les stations-service ont créé un climat tendu parmi la population et ont engendré des inquiétudes quant aux approvisionnements futurs.
Le gouvernement justifie cette augmentation en soulignant que cela permettra d'alléger la pression sur les ressources publiques déjà limitées. En effet, la subvention accordée au carburant impacte directement l'équilibre budgétaire national et nuit aux secteurs prioritaires tels que l'éducation ou encore la santé.
Cependant, cette hausse n'est pas sans conséquences pour la population camerounaise qui se trouve déjà confrontée à des difficultés économiques. Les transporteurs seront probablement contraints d'augmenter leurs tarifs pour compenser cette augmentation des coûts liés au carburant. De plus, cela pourrait également entraîner une hausse générale des prix sur différents biens et services présentés comme nécessitant un transport routier intensif.
Face à ces préoccupations légitimes exprimées par certaines couches sociales vulnérables et professionnelles dépendantes notamment du secteur informel ou agricole dont certains sont déjà confrontés aux difficultés inhérentes dues notamment aux effets néfastes persistants causés par crise sanitaire mondiale; il est attendu que le gouvernement mette en place des politiques compensatoires afin d'amortir ces impacts négatifs sur leur quotidien déjà précaire.
Cette hausse du prix du carburant fait suite aux propos tenus par le Président Camerounais Paul Biya lors de son discours présidentiel prononcé le dernier jour de l'année. Il avait alors évoqué les contraintes budgétaires qui poussent l'État camerounais à réduire la subvention pétrolière d'une valeur estimée à1,6 milliards dollars. Cette subvention pèse considérablement sur les finances publiques.
La décision d'augmenter les prix a été prise dans un contexte où la population faisait face à une pénurie temporaire de carburant super dans tout le pays. Les files d'attente interminables devant les stations-service ont créé un climat tendu parmi la population et ont engendré des inquiétudes quant aux approvisionnements futurs.
Le gouvernement justifie cette augmentation en soulignant que cela permettra d'alléger la pression sur les ressources publiques déjà limitées. En effet, la subvention accordée au carburant impacte directement l'équilibre budgétaire national et nuit aux secteurs prioritaires tels que l'éducation ou encore la santé.
Cependant, cette hausse n'est pas sans conséquences pour la population camerounaise qui se trouve déjà confrontée à des difficultés économiques. Les transporteurs seront probablement contraints d'augmenter leurs tarifs pour compenser cette augmentation des coûts liés au carburant. De plus, cela pourrait également entraîner une hausse générale des prix sur différents biens et services présentés comme nécessitant un transport routier intensif.
Face à ces préoccupations légitimes exprimées par certaines couches sociales vulnérables et professionnelles dépendantes notamment du secteur informel ou agricole dont certains sont déjà confrontés aux difficultés inhérentes dues notamment aux effets néfastes persistants causés par crise sanitaire mondiale; il est attendu que le gouvernement mette en place des politiques compensatoires afin d'amortir ces impacts négatifs sur leur quotidien déjà précaire.