Yaoundé (Cameroun) Sept enfants de bergers âgés de 10 à 14 ans ont été enlevés entre le 10 et le 16 mars dernier dans la localité de Mbey, située dans la région camerounaise de l’Adamaoua, a appris APA de sources concordantes.
Les kidnappeurs feraient partie des multiples bandes de coupeurs de routes qui essaiment dans les régions septentrionales du pays, frontalières du Tchad et de la République centrafricaine et qui, régulièrement, organisent des razzias ou opèrent des kidnappings contre fortes rançons.
Mais de plus en plus, ces bandits de grand chemin sévissent à l’intérieur des frontières camerounaises.
Dans le cas des sept enfants enlevés, plusieurs sources indiquent qu’aucune rançon n’a encore été exigée.
Joint au téléphone par APA, le commandant de la brigade de gendarmerie de Mbé, Godjé Alber, craint que les parents des jeunes otages ne veuillent coopérer avec les forces de l’ordre, de peur de voir leur progéniture exécutée comme c’est régulièrement arrivé.
Depuis quelques jours, apprend-on, la région de Mbé et les zones environnantes sont ratissées par les éléments du Bataillon d’Intervention rapide (BIR), une unité d’élite de l’armée chargée de donner la chasse au phénomène des coupeurs de route dans le nord du pays.
Les kidnappeurs feraient partie des multiples bandes de coupeurs de routes qui essaiment dans les régions septentrionales du pays, frontalières du Tchad et de la République centrafricaine et qui, régulièrement, organisent des razzias ou opèrent des kidnappings contre fortes rançons.
Mais de plus en plus, ces bandits de grand chemin sévissent à l’intérieur des frontières camerounaises.
Dans le cas des sept enfants enlevés, plusieurs sources indiquent qu’aucune rançon n’a encore été exigée.
Joint au téléphone par APA, le commandant de la brigade de gendarmerie de Mbé, Godjé Alber, craint que les parents des jeunes otages ne veuillent coopérer avec les forces de l’ordre, de peur de voir leur progéniture exécutée comme c’est régulièrement arrivé.
Depuis quelques jours, apprend-on, la région de Mbé et les zones environnantes sont ratissées par les éléments du Bataillon d’Intervention rapide (BIR), une unité d’élite de l’armée chargée de donner la chasse au phénomène des coupeurs de route dans le nord du pays.