Lilian Maurice Koulou Engoulou, coordonnateur national de l’ODS.
L’Organisation non gouvernementale internationale Human Rights Watch est donc désormais persona grata au Cameroun aux yeux de sa consœur, l’Observatoire pour le Développement Sociétal (ODS), une autre ONG basée au Cameroun. L’ODS vient de monter au créneau pour demander au ministre de l’Administration territoriale de mettre en application l’article 22 de la loi No99/014 du 22 décembre 1999, régissant les Organisations non gouvernementales qui dispose que « le ministre chargé de l’Administration territoriale peut après avis motivé de la commission, suspendre par arrêté, pour un délai maximal de trois mois, toute ONG dont les activités s’écartent de son objet ».
L’ODS dont le coordonnateur national, Lilian Maurice Koulou Engoulou, était face à la presse, le 04 mai dernier à Yaoundé, justifie sa demande par la dernière sortie de Mme Ilaria Allégrozzi, de Human Rights Watch qui, remet en cause, les conclusions de l’enquête présidentielle sur les événements de Ngarbuh dans la région du Nord-Ouest. Mme Ilaria Allégrozzi réfute en effet les chiffres de la commission d’enquête, soulignant que ces prétendues tueries étaient délibérées et non pas un incident malheureux. Human Rights Watch va même plus loin en invitant le ministre de l’Administration territoriale et le porte-parole de l’armée « à prendre un moment pour réfléchir sur les conclusions sérieuses de cette commission d’enquête ».
Une sortie que l’ODS qualifie de provocation de trop, tendant à jeter l’opprobre sur le président de la République, plus haute personnalité de l’Etat, mais également, à discréditer la moralité des autorités et institutions camerounaises. Tout comme elle entache l’honneur de l’armée camerounaise, « une armée professionnelle et républicaine », de l’avis de l’ODS. Nonobstant cette autre sortie de Mme Ilaria Allégrozzi, l’ODS a tenu à féliciter le président de la République Paul Biya, pour la transparence, l’impartialité, dont il a fait montre, une fois de plus, afin que non seulement lumière soit faite sur certaines zones d’ombre concernant le drame de Ngarbuh. Mais aussi, que les coupables répondent de leurs actes, conformément au droit positif camerounais.
L’ODS n’oublie pas de féliciter également, les autorités militaires, au rang desquelles, le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, le Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense, chargé de la Gendarmerie nationale, les officiers des armées et de la gendarmerie, ainsi que tous les observateurs indépendants associés à cette commission d’enquête, pour leur implication en vue de la manifestation de la vérité, preuve de ce que le Cameroun n’est pas un foyer propice à l’injustice et à l’impunité. En rappel, selon le bilan de cette commission d’enquête, une opération militaire menée sur fond de renseignement a eu lieu à Ngarbuh a permis de neutraliser 5 terroristes, mais aussi, a entrainé la perte de 13 civils.
L’ODS dont le coordonnateur national, Lilian Maurice Koulou Engoulou, était face à la presse, le 04 mai dernier à Yaoundé, justifie sa demande par la dernière sortie de Mme Ilaria Allégrozzi, de Human Rights Watch qui, remet en cause, les conclusions de l’enquête présidentielle sur les événements de Ngarbuh dans la région du Nord-Ouest. Mme Ilaria Allégrozzi réfute en effet les chiffres de la commission d’enquête, soulignant que ces prétendues tueries étaient délibérées et non pas un incident malheureux. Human Rights Watch va même plus loin en invitant le ministre de l’Administration territoriale et le porte-parole de l’armée « à prendre un moment pour réfléchir sur les conclusions sérieuses de cette commission d’enquête ».
Une sortie que l’ODS qualifie de provocation de trop, tendant à jeter l’opprobre sur le président de la République, plus haute personnalité de l’Etat, mais également, à discréditer la moralité des autorités et institutions camerounaises. Tout comme elle entache l’honneur de l’armée camerounaise, « une armée professionnelle et républicaine », de l’avis de l’ODS. Nonobstant cette autre sortie de Mme Ilaria Allégrozzi, l’ODS a tenu à féliciter le président de la République Paul Biya, pour la transparence, l’impartialité, dont il a fait montre, une fois de plus, afin que non seulement lumière soit faite sur certaines zones d’ombre concernant le drame de Ngarbuh. Mais aussi, que les coupables répondent de leurs actes, conformément au droit positif camerounais.
L’ODS n’oublie pas de féliciter également, les autorités militaires, au rang desquelles, le ministre délégué à la présidence chargé de la Défense, le Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Défense, chargé de la Gendarmerie nationale, les officiers des armées et de la gendarmerie, ainsi que tous les observateurs indépendants associés à cette commission d’enquête, pour leur implication en vue de la manifestation de la vérité, preuve de ce que le Cameroun n’est pas un foyer propice à l’injustice et à l’impunité. En rappel, selon le bilan de cette commission d’enquête, une opération militaire menée sur fond de renseignement a eu lieu à Ngarbuh a permis de neutraliser 5 terroristes, mais aussi, a entrainé la perte de 13 civils.