En provenance de Washington, où il a participé au dernier somment Etats-Unis/Afrique, le ministre Luc Magloire Mbarga Atangana, qu’accompagnaient ses collaborateurs de la brigade nationale de contrôle et de répression des fraudes, et de la délégation régionale du Commerce du Centre, vient d’effectuer une descente sur le terrain.
Comme par le passé, et à l’approche des fêtes de fin d’année, il s’agit de s’assurer de la disponibilité des stocks des produits alimentaires de consommation courante.
Ainsi, à l’issue de la visite de certains entrepôts de la ville de Yaoundé le 17 décembre dernier, il en ressort que les consommateurs peuvent rester sereins, en dépit de la volatilité des prix sur le marché international.
« Ce tour du propriétaire visait à s’assurer de la disponibilité des produits de grande consommation, et s’assurer que les prix des produits respectent ceux édictés par les pouvoirs publics et les opérateurs économiques. Le premier constat, c’est qu’on peut sortir des oligopoles pour aboutir à la concurrence », a rassuré le ministre du Commerce, dans son message de confiance envoyé aux consommateurs.
Bien plus, il s’est agi, non seulement de s’assurer de la disponibilité, de l’accessibilité des produits, mais qu’aucune fluctuation des prix n’est observée sur les marchés. Et dans les locaux de Mama Sarl, le ministre du Commerce et sa suite ont d’ailleurs assisté à l’arrivée d’une cargaison d’environ 2000 sacs de riz importé.
Les produits alimentaires concernés sont principalement le riz, la farine, le sel, les huiles végétales, les sardines en boite et autres. Pour sa part, Mouhamadou Dahirou, directeur général des Mama Sarl propose « de tenir compte des exigences du marché international ».
« Nous rassurons tout le monde que les produits sont en abondance, et par rapport à l’homologation des prix, aucun souci ne se pose », explique de son côté Mohamed, patron de Mont Cameroun, au marché central de Yaoundé, et dont le magasin est bondé de produits.
Déjà, l’on annonce une tolérance zéro contre les spéculateurs, à travers la présence permanente des contrôleurs sur les marchés, alors que dans les marchés, on retrouve des stocks en quantité, avec des marques diversifiées et des prix abordables. En bon pédagogue, à chaque étape, le ministre du Commerce a toujours prodigué des conseils aux commerçants pour ne pas se retrouver dans les mailles de la loi.
Mais certaines dispositions devraient être respectées, pour être en phase avec la réglementation en matière de commerce, et rendre les points de vente plus visibles auprès du grand public. Comme dans un entrepôt situé au quartier Nsam, le ministre du Commerce a insisté sur l’affichage des prix, et les ventes directes des produits aux ménagères.
Comme par le passé, et à l’approche des fêtes de fin d’année, il s’agit de s’assurer de la disponibilité des stocks des produits alimentaires de consommation courante.
Ainsi, à l’issue de la visite de certains entrepôts de la ville de Yaoundé le 17 décembre dernier, il en ressort que les consommateurs peuvent rester sereins, en dépit de la volatilité des prix sur le marché international.
« Ce tour du propriétaire visait à s’assurer de la disponibilité des produits de grande consommation, et s’assurer que les prix des produits respectent ceux édictés par les pouvoirs publics et les opérateurs économiques. Le premier constat, c’est qu’on peut sortir des oligopoles pour aboutir à la concurrence », a rassuré le ministre du Commerce, dans son message de confiance envoyé aux consommateurs.
Bien plus, il s’est agi, non seulement de s’assurer de la disponibilité, de l’accessibilité des produits, mais qu’aucune fluctuation des prix n’est observée sur les marchés. Et dans les locaux de Mama Sarl, le ministre du Commerce et sa suite ont d’ailleurs assisté à l’arrivée d’une cargaison d’environ 2000 sacs de riz importé.
Les produits alimentaires concernés sont principalement le riz, la farine, le sel, les huiles végétales, les sardines en boite et autres. Pour sa part, Mouhamadou Dahirou, directeur général des Mama Sarl propose « de tenir compte des exigences du marché international ».
« Nous rassurons tout le monde que les produits sont en abondance, et par rapport à l’homologation des prix, aucun souci ne se pose », explique de son côté Mohamed, patron de Mont Cameroun, au marché central de Yaoundé, et dont le magasin est bondé de produits.
Déjà, l’on annonce une tolérance zéro contre les spéculateurs, à travers la présence permanente des contrôleurs sur les marchés, alors que dans les marchés, on retrouve des stocks en quantité, avec des marques diversifiées et des prix abordables. En bon pédagogue, à chaque étape, le ministre du Commerce a toujours prodigué des conseils aux commerçants pour ne pas se retrouver dans les mailles de la loi.
Mais certaines dispositions devraient être respectées, pour être en phase avec la réglementation en matière de commerce, et rendre les points de vente plus visibles auprès du grand public. Comme dans un entrepôt situé au quartier Nsam, le ministre du Commerce a insisté sur l’affichage des prix, et les ventes directes des produits aux ménagères.