L’ambassadeur du Cameroun en France, André-Magnus Ekoumou, a reçu le 05 mai 2022, dans la grande salle d'apparat de la mission diplomatique du Cameroun, des représentants des chefs traditionnels, responsables des associations et présidents des communautés camerounaises résidant en France.
L’objet de la réunion était de sensibiliser les dignitaires de la communauté camerounaise, sur les messages de haine et d'hostilité, ainsi que des appels au boycott et au recours à des actions visant à empêcher comme par le passé, plusieurs artistes camerounais, à effectuer des tournées en France, notamment la tenue d'un concert imminent à Paris, qui sont amplement relayés sur les réseaux sociaux par un groupe de Camerounais de la diaspora.
Le plénipotentiaire du Cameroun en France a tenu à l'assistance, un discours du fond du cœur, réaliste et pragmatique, en leur rappelant les principes de rassemblement et d'apaisement qui guident, dans la dynamique de la diplomatie de proximité et d'actions concertées, son magistère diplomatique, depuis son arrivée en France.
Il a mis en exergue l'impératif absolu de maintenir le cap de la consolidation de la paix, du renforcement du vivre ensemble, et de la promotion des valeurs de l'entrepreneuriat entre les membres de la communauté camerounaise de France, dans une double conjoncture nationale et internationale en proie à des velléités de désordres de tous ordres.
Après un échange entre les gardiens de la tradition et le représentant du chef de l'Etat, les chefs traditionnels, responsables des associations et présidents des communautés ont produit un important message, à l'attention de la communauté camerounaise de France et des amis du Cameroun.
Ainsi donc, il ressort de cette rencontre que les représentants des chefs de communautés condamnent « avec fermeté le discours de haine… et d’appels à la violence, transmis par des individus mal intentionnés, hostiles aux intérêts supérieurs de la nation », et réaffirment leur « attachement aux institutions républicaines et à ceux qui les incarnent… ».
Les représentants des chefs de communautés s’insurgent ainsi contre les menaces de troubles de nature à perturber le vivre ensemble au sein de la diaspora camerounaise de France.
L’objet de la réunion était de sensibiliser les dignitaires de la communauté camerounaise, sur les messages de haine et d'hostilité, ainsi que des appels au boycott et au recours à des actions visant à empêcher comme par le passé, plusieurs artistes camerounais, à effectuer des tournées en France, notamment la tenue d'un concert imminent à Paris, qui sont amplement relayés sur les réseaux sociaux par un groupe de Camerounais de la diaspora.
Le plénipotentiaire du Cameroun en France a tenu à l'assistance, un discours du fond du cœur, réaliste et pragmatique, en leur rappelant les principes de rassemblement et d'apaisement qui guident, dans la dynamique de la diplomatie de proximité et d'actions concertées, son magistère diplomatique, depuis son arrivée en France.
Il a mis en exergue l'impératif absolu de maintenir le cap de la consolidation de la paix, du renforcement du vivre ensemble, et de la promotion des valeurs de l'entrepreneuriat entre les membres de la communauté camerounaise de France, dans une double conjoncture nationale et internationale en proie à des velléités de désordres de tous ordres.
Après un échange entre les gardiens de la tradition et le représentant du chef de l'Etat, les chefs traditionnels, responsables des associations et présidents des communautés ont produit un important message, à l'attention de la communauté camerounaise de France et des amis du Cameroun.
Ainsi donc, il ressort de cette rencontre que les représentants des chefs de communautés condamnent « avec fermeté le discours de haine… et d’appels à la violence, transmis par des individus mal intentionnés, hostiles aux intérêts supérieurs de la nation », et réaffirment leur « attachement aux institutions républicaines et à ceux qui les incarnent… ».
Les représentants des chefs de communautés s’insurgent ainsi contre les menaces de troubles de nature à perturber le vivre ensemble au sein de la diaspora camerounaise de France.