C'est incontestablement l'un des noms qui compte à ce jour dans la médecine vétérinaire au Cameroun. L'une des voix qui porte, jamais loin des luttes revendicatrices des meilleures conditions pour la profession du vétérinaire. Le Dr Albert Ichakou est convaincu qu'il est temps de prendre les devants, représenter l'Ordre des médecins vétérinaires du Cameroun, pour les trois prochaines années.
À 44 ans, il ambitionne donner un autre visage à l'Ordre national des médecins vétérinaires du Cameroun. Pour l’échéance des 20 et 21 septembre, il a examiné les problèmes que rencontre son secteur d'activité, où il exerce depuis bientôt 20 ans. Son diagnostic se résume en quelques mots : sortir des sentiers battus, tout en préservant l'ADN de la profession.
Si pour lui l'état clinique de la corporation n'inspire pas grande inquiétude, il faut néanmoins un homme du terrain, doté d'un paquet de rêves et d'ambitions, pour apporter la stabilité et pouvant écrire l'histoire autrement.
Près de 20 ans au service de la médecine vétérinaire
Né à Tokombere dans l'Extrême Nord Cameroun, le Dr Albert Ichakou a fait ses classes dans l'un des plus prestigieux établissements de formation vétérinaire en Afrique. Il est un pur produit de l'Ecole inter-États des sciences et médecine vétérinaire (EISMV), de Dakar au Sénégal en 2004. Alors jeune docteur et conscient que le milieu dans lequel il s'engage demeure exigeant et ultra-concurrentiel, l'expert en management des usines d'aliments de volailles et bétails n'entend pas s'arrêter en si bon chemin.
Sa formation, c'est en France qu'il la complétera en 2008 à Rennes, chez Evialis Institut. La nutrition animale n'aura plus aucun secret pour celui qui s'est spécialisés dans la nutrition des volailles et porcs. Puis, quelques années après, c'est l'université de Luxembourg qui l'accueillera pour un Master of Science in Poultry production, en 2008. Et un peu plus tard, il reviendra à l'Ecole inter-États des sciences et médecine vétérinaire (Eismv) de Dakar pour décrocher un Master en production et ingénierie animale.
Plus que jamais outillé en production, nutrition et santé animale, il va mettre ses compétences au service d'une multitude de structures à travers le continent et bien plus loin. D'abord, auprès du groupe français NEOVIA/ADM dans le suivi des élevages, consultations, conseils et suivi des projets agricoles, pendant au moins 12 ans. Si l'aventure avec le groupe français continue, Dr Albert Ichakou est un féru de nouveaux challenges.
Il est depuis 2019 un partenaire de poids de SIPRA, groupe ivoirien de référence en agro-alimentaire. Sa mission est de s'occuper de l'audit des élevages de pondeuses, et également de la formation de l'équipe technico-commerciale De février 2010 à ce jour, le Dr Ichakou a mis son expertise à contribution dans plus d'une dizaine d'organismes de renom. C'est ainsi qu'il sera sollicité auprès du ministère de l'Elevage, des Pêches et Industries animales au Cameroun, de la Banque mondiale, du FAO, de l’USDA-APHIS, où il va servir comme consultant. Mais ce ne sera pas tout, ses services ont été aussi offerts auprès de PACA/MINADER/MINEPIA/BM, cette fois ci en tant que consultant-formateur.
Une valeur sûre de la médecine vétérinaire
Doté d'un excellent atout relationnel, son carnet d'adresses n'a d'égal que sa riche carrière. Du Cameroun jusqu'en France, en passant par le Sénégal, la Côte d'Ivoire, le Mali et le Togo, le Dr Albert a roulé sa bosse. Et partout où il est passé, tout semble lui sourire comme en témoigne ses collaborations auprès de Sylvain Gotta, directeur général de SIPRA Côte d'Ivoire, le Dr Sidi Traoré, Dr Jeannot Kenne ou Christine Bart, pour ne citer que ces quelques noms.
Tous s’accordent volontiers sur un point, le Dr Ichakou reste une référence, une valeur sûre dans le domaine de la médecine vétérinaire, au regard de ses innombrables contributions. Ses publications, notamment sur la conduite et gestion compétitive des élevages de volailles de chair et de poule, la bonne pratique d'hygiène et de biosécurité d'élevage disponible (depuis 2013), illustrent mieux sa volonté de contribuer et de promouvoir une médecine vétérinaire résolument tournée vers l'amélioration des prestations au quotidien et développer ce secteur.
En 2020, il a publié sur les effets de la supplémentation de la ration en B safe SD, une alternative aux antibiotiques facteurs de croissance (AFC) sur les performances Zoo techniques du poulet de chair au Cameroun.
À 44 ans, il ambitionne donner un autre visage à l'Ordre national des médecins vétérinaires du Cameroun. Pour l’échéance des 20 et 21 septembre, il a examiné les problèmes que rencontre son secteur d'activité, où il exerce depuis bientôt 20 ans. Son diagnostic se résume en quelques mots : sortir des sentiers battus, tout en préservant l'ADN de la profession.
Si pour lui l'état clinique de la corporation n'inspire pas grande inquiétude, il faut néanmoins un homme du terrain, doté d'un paquet de rêves et d'ambitions, pour apporter la stabilité et pouvant écrire l'histoire autrement.
Près de 20 ans au service de la médecine vétérinaire
Né à Tokombere dans l'Extrême Nord Cameroun, le Dr Albert Ichakou a fait ses classes dans l'un des plus prestigieux établissements de formation vétérinaire en Afrique. Il est un pur produit de l'Ecole inter-États des sciences et médecine vétérinaire (EISMV), de Dakar au Sénégal en 2004. Alors jeune docteur et conscient que le milieu dans lequel il s'engage demeure exigeant et ultra-concurrentiel, l'expert en management des usines d'aliments de volailles et bétails n'entend pas s'arrêter en si bon chemin.
Sa formation, c'est en France qu'il la complétera en 2008 à Rennes, chez Evialis Institut. La nutrition animale n'aura plus aucun secret pour celui qui s'est spécialisés dans la nutrition des volailles et porcs. Puis, quelques années après, c'est l'université de Luxembourg qui l'accueillera pour un Master of Science in Poultry production, en 2008. Et un peu plus tard, il reviendra à l'Ecole inter-États des sciences et médecine vétérinaire (Eismv) de Dakar pour décrocher un Master en production et ingénierie animale.
Plus que jamais outillé en production, nutrition et santé animale, il va mettre ses compétences au service d'une multitude de structures à travers le continent et bien plus loin. D'abord, auprès du groupe français NEOVIA/ADM dans le suivi des élevages, consultations, conseils et suivi des projets agricoles, pendant au moins 12 ans. Si l'aventure avec le groupe français continue, Dr Albert Ichakou est un féru de nouveaux challenges.
Il est depuis 2019 un partenaire de poids de SIPRA, groupe ivoirien de référence en agro-alimentaire. Sa mission est de s'occuper de l'audit des élevages de pondeuses, et également de la formation de l'équipe technico-commerciale De février 2010 à ce jour, le Dr Ichakou a mis son expertise à contribution dans plus d'une dizaine d'organismes de renom. C'est ainsi qu'il sera sollicité auprès du ministère de l'Elevage, des Pêches et Industries animales au Cameroun, de la Banque mondiale, du FAO, de l’USDA-APHIS, où il va servir comme consultant. Mais ce ne sera pas tout, ses services ont été aussi offerts auprès de PACA/MINADER/MINEPIA/BM, cette fois ci en tant que consultant-formateur.
Une valeur sûre de la médecine vétérinaire
Doté d'un excellent atout relationnel, son carnet d'adresses n'a d'égal que sa riche carrière. Du Cameroun jusqu'en France, en passant par le Sénégal, la Côte d'Ivoire, le Mali et le Togo, le Dr Albert a roulé sa bosse. Et partout où il est passé, tout semble lui sourire comme en témoigne ses collaborations auprès de Sylvain Gotta, directeur général de SIPRA Côte d'Ivoire, le Dr Sidi Traoré, Dr Jeannot Kenne ou Christine Bart, pour ne citer que ces quelques noms.
Tous s’accordent volontiers sur un point, le Dr Ichakou reste une référence, une valeur sûre dans le domaine de la médecine vétérinaire, au regard de ses innombrables contributions. Ses publications, notamment sur la conduite et gestion compétitive des élevages de volailles de chair et de poule, la bonne pratique d'hygiène et de biosécurité d'élevage disponible (depuis 2013), illustrent mieux sa volonté de contribuer et de promouvoir une médecine vétérinaire résolument tournée vers l'amélioration des prestations au quotidien et développer ce secteur.
En 2020, il a publié sur les effets de la supplémentation de la ration en B safe SD, une alternative aux antibiotiques facteurs de croissance (AFC) sur les performances Zoo techniques du poulet de chair au Cameroun.