Le Palais de l'Unité à Yaoundé.
Des proches collaborateurs du Président de la République mis à l’index et calomniés dans l’exercice de leurs missions. Le phénomène est devenu récurrent en se banalisant, au point de ne plus surprendre les esprits avisés. Ainsi, à défaut d'avoir quelque chose de concret à dire à l’endroit de Samuel Mvondo Ayolo, le Directeur du Cabinet civil de la présidence de la République du Cameroun, certaines personnes mal intentionnées et surtout en mal d'inspiration, font feu de tout bois. Lorsqu'on ne sert pas au public des scabreuses affaires de mœurs, on s'aventure dans le traitement de sujets mal maîtrisés, étalant ainsi au grand jour, soit l’ignorance des sujets traités, soit leur malhonnêteté intellectuelle déconcertante. Plusieurs fois même, l’ignorance et la malhonnêteté se retrouvent pour faire bloc, et laisser libre cours à la manipulation, à la diffamation et à la déstabilisation.
Après des subterfuges savamment montés pour fragiliser les forces de défense et de sécurité qui se battent sur plusieurs fronts pour assurer l’intégrité de l’État, après avoir saboté les projets structurants qui ont de la peine à prendre forme, avec comme modèle de cette incurie du management compradore, le barrage hydroélectrique de Mekin, situé dans la Région du Sud, certains esprits retors, adeptes des fausses alertes et de la sale besogne, veulent s’attaquer aux collaborateurs du chef de l’Etat. Objectif machiavélique : Installer insidieusement dans les esprits, la nullité des missions et actions régaliennes des collaborateurs du Président de la République. Il y a quelques jours, un habitué des réseaux sociaux a posté ceci : « La femme de Paul Biya Chantal Biya et sa fille Brenda ont quitté le Cameroun pour l’Europe et doivent y subir des soins médicaux. Ce voyage a été autorisé par Paul Biya qui est d’ailleurs très en colère à l’égard de ses collaborateurs, affirmant qu’il leur donne tout, alors qu’ils sont incapables de s’occuper de ses enfants ». Voilà donc les propos irresponsables d'une personne qui s’est exilée volontairement, qui clame sa proximité avec les affaires du Palais, et qui par ailleurs, perçoit les colères et les intimités présidentielles, ceci à des milliers de kilomètres de là. Une véritable hérésie ! Il faut toujours par des moyens malsains.
Écorner l’image des plus hautes Institutions de la République
Et dans la presse locale, un hebdomadaire, emporté sans honte par un délire de destruction, croit lever le lièvre, en parlant, cette semaine de la communication présidentielle en présentant le fac-similé d’« un contrat de 150 millions qui fait jaser à Etoudi (Présidence de la République) ». « Un contrat signé depuis le 27 février 2020 entre le ministre Directeur du Cabinet civil Samuel Mvondo Ayolo et le Cabinet « Envoi Sarl » d’Eyoum Edimo Moukouri portant sur la vulgarisation des réalisations du Président de la République et de la Première Dame ». Dans le même temps, dans un souci de faire des tirs groupés, dans le but de maximiser l'impact de leur lugubre dessin, on retrouve à la Une d’un autre titre : « Communication présidentielle : Ces milliards en pure perte ». Comme on peut le constater lorsqu’on parle des millions ici, il est question des milliards à côté, ceci pour un même sujet. Qui oubliera que l’extrapolation et l'exagération sont des propres de manipulateurs !
Pourtant, nous sommes bel bien dans des pratiques administratives ordinaires. Le sujet abordé entre bien en droite ligne des missions du Cabinet Civil (la communication présidentielle). Décidemment, derrière ces allégations insidieuses et mensongères et autres attaques, se cachent une volonté criminelle de nuire. « Ce qui est pourtant indiqué de savoir est que dans le cas d’espèce, la divulgation et la publication des documents officiels est passible de peines et amendes prévues par la loi », reconnait un avocat au Barreau du Cameroun qui a requis l’anonymat. Dans l'exécution de ce qui apparait comme un « coup d’État scientifique », une notion théorisée par le politologue, Pascal Charlemagne Messanga Nyamding, l’objectif des forces tapies dans l’ombre semble avoir pour ambition de présenter le Directeur du Cabinet Civil de la présidence de la République, Samuel Mvondo Ayolo, comme un empêcheur de tourner en rond. Alors que dans les faits, ce dernier, comme d’ailleurs la plupart des collaborateurs du Chef de l’Etat, met en exergue son efficacité dans la discrétion.
Il faut dire que par le passé, le Cabinet civil a eu à confier des actions de communication à des expatriés, voire à des cabinets étrangers. Ce qui soulevait alors des grincements de dents de la part d’une certaine opinion qui estimait que l’on peut trouver la même expertise localement. Aujourd’hui, l’actuel Directeur du Cabinet civil inverse la tendance en mettant également à contribution des compétences locales. Malheureusement, certains trouvent encore à redire, au lieu de saluer ce modus operandi. Par ailleurs, peut-on le relever, les affaires réservées sont un domaine couvert par le sceau du secret. Ainsi donc, toucher à celles-ci constitue une attaque à la Sûreté de l’Etat. Un sacrilège qui peut faire l’objet des réprimandes.
En braquant sans cesse les projecteurs sur l'Institution Suprême, ces sicaires médiatiques, croyant écorner l'image de Samuel Mvondo Ayolo, mettent en mal, à l'insu de leur plein gré, l'image du Chef de l’État. Ces assauts répétés de cette meute visent donc à désacraliser cette Institution et par ricochet, celui qui l'incarne.
Après des subterfuges savamment montés pour fragiliser les forces de défense et de sécurité qui se battent sur plusieurs fronts pour assurer l’intégrité de l’État, après avoir saboté les projets structurants qui ont de la peine à prendre forme, avec comme modèle de cette incurie du management compradore, le barrage hydroélectrique de Mekin, situé dans la Région du Sud, certains esprits retors, adeptes des fausses alertes et de la sale besogne, veulent s’attaquer aux collaborateurs du chef de l’Etat. Objectif machiavélique : Installer insidieusement dans les esprits, la nullité des missions et actions régaliennes des collaborateurs du Président de la République. Il y a quelques jours, un habitué des réseaux sociaux a posté ceci : « La femme de Paul Biya Chantal Biya et sa fille Brenda ont quitté le Cameroun pour l’Europe et doivent y subir des soins médicaux. Ce voyage a été autorisé par Paul Biya qui est d’ailleurs très en colère à l’égard de ses collaborateurs, affirmant qu’il leur donne tout, alors qu’ils sont incapables de s’occuper de ses enfants ». Voilà donc les propos irresponsables d'une personne qui s’est exilée volontairement, qui clame sa proximité avec les affaires du Palais, et qui par ailleurs, perçoit les colères et les intimités présidentielles, ceci à des milliers de kilomètres de là. Une véritable hérésie ! Il faut toujours par des moyens malsains.
Écorner l’image des plus hautes Institutions de la République
Et dans la presse locale, un hebdomadaire, emporté sans honte par un délire de destruction, croit lever le lièvre, en parlant, cette semaine de la communication présidentielle en présentant le fac-similé d’« un contrat de 150 millions qui fait jaser à Etoudi (Présidence de la République) ». « Un contrat signé depuis le 27 février 2020 entre le ministre Directeur du Cabinet civil Samuel Mvondo Ayolo et le Cabinet « Envoi Sarl » d’Eyoum Edimo Moukouri portant sur la vulgarisation des réalisations du Président de la République et de la Première Dame ». Dans le même temps, dans un souci de faire des tirs groupés, dans le but de maximiser l'impact de leur lugubre dessin, on retrouve à la Une d’un autre titre : « Communication présidentielle : Ces milliards en pure perte ». Comme on peut le constater lorsqu’on parle des millions ici, il est question des milliards à côté, ceci pour un même sujet. Qui oubliera que l’extrapolation et l'exagération sont des propres de manipulateurs !
Pourtant, nous sommes bel bien dans des pratiques administratives ordinaires. Le sujet abordé entre bien en droite ligne des missions du Cabinet Civil (la communication présidentielle). Décidemment, derrière ces allégations insidieuses et mensongères et autres attaques, se cachent une volonté criminelle de nuire. « Ce qui est pourtant indiqué de savoir est que dans le cas d’espèce, la divulgation et la publication des documents officiels est passible de peines et amendes prévues par la loi », reconnait un avocat au Barreau du Cameroun qui a requis l’anonymat. Dans l'exécution de ce qui apparait comme un « coup d’État scientifique », une notion théorisée par le politologue, Pascal Charlemagne Messanga Nyamding, l’objectif des forces tapies dans l’ombre semble avoir pour ambition de présenter le Directeur du Cabinet Civil de la présidence de la République, Samuel Mvondo Ayolo, comme un empêcheur de tourner en rond. Alors que dans les faits, ce dernier, comme d’ailleurs la plupart des collaborateurs du Chef de l’Etat, met en exergue son efficacité dans la discrétion.
Il faut dire que par le passé, le Cabinet civil a eu à confier des actions de communication à des expatriés, voire à des cabinets étrangers. Ce qui soulevait alors des grincements de dents de la part d’une certaine opinion qui estimait que l’on peut trouver la même expertise localement. Aujourd’hui, l’actuel Directeur du Cabinet civil inverse la tendance en mettant également à contribution des compétences locales. Malheureusement, certains trouvent encore à redire, au lieu de saluer ce modus operandi. Par ailleurs, peut-on le relever, les affaires réservées sont un domaine couvert par le sceau du secret. Ainsi donc, toucher à celles-ci constitue une attaque à la Sûreté de l’Etat. Un sacrilège qui peut faire l’objet des réprimandes.
En braquant sans cesse les projecteurs sur l'Institution Suprême, ces sicaires médiatiques, croyant écorner l'image de Samuel Mvondo Ayolo, mettent en mal, à l'insu de leur plein gré, l'image du Chef de l’État. Ces assauts répétés de cette meute visent donc à désacraliser cette Institution et par ricochet, celui qui l'incarne.