La foule de parents d'élèves devant l'établissement scolaire.
L’école privée bilingue Beryla (quartier Damase, dans le 3ème arrondissement de Yaoundé) n’inspire plus la confiance, encore moins de la sérénité pour la communauté éducative. Ceci à cause d’un enseignant qui « aime » les enfants depuis quatre ans, d’un amour curieux, malsain et malheureusement contre-nature.
En effet, le 15 avril dernier, des parents surexcités ont pris d’assaut l’enceinte de l’établissement scolaire dans lequel il était employé, déterminés qu’ils étaient, à en découdre avec l’enseignant violeur. « Ce matin, peu d’enfants sont arrivés à l’école. Des parents ont gardé leur progéniture à la maison, nous n’avons même pas le tiers des effectifs …», s’expliquait la directrice de l’école au cours du journal télévisé de 20 heures 30 vendredi dernier sur la chaine nationale Crtv.
La veille, certains parents ont même utilisé la violence (la directrice a été prise à partie pour complicité), pour exprimer leur courroux face à ce qui apparait désormais comme un scandale dans le milieu scolaire : un enseignant de class 6 (cours moyen II), le nommé Emile Sone, 28 ans, abusait de ses élèves filles dont l’âge varie entre 7 et 11 ans. Cela étant, depuis janvier, ce dernier avait été exclu du corps enseignant, suite à une plainte faite par une parente d’élève du fait d’une bise peu orthodoxe faite à sa fille par Emile Sone.
L’enseignant violeur est passé aux aveux complets lorsqu’il a été interpellé et gardé à vue dans un commissariat de police de la ville ; entre temps, il aura échappé de justesse à la justice populaire d’une population révoltée et en furie. Ce qui est encore grave, c’est que l’infortuné a été déclaré séropositif à la suite d’un test du Vih. Et du coup, c’est la grande consternation et l’indignation chez les parents d’élèves qui s’activent pour faire subir des examens systématiques aux jeunes élèves abusés. Affaire à suivre !
En effet, le 15 avril dernier, des parents surexcités ont pris d’assaut l’enceinte de l’établissement scolaire dans lequel il était employé, déterminés qu’ils étaient, à en découdre avec l’enseignant violeur. « Ce matin, peu d’enfants sont arrivés à l’école. Des parents ont gardé leur progéniture à la maison, nous n’avons même pas le tiers des effectifs …», s’expliquait la directrice de l’école au cours du journal télévisé de 20 heures 30 vendredi dernier sur la chaine nationale Crtv.
La veille, certains parents ont même utilisé la violence (la directrice a été prise à partie pour complicité), pour exprimer leur courroux face à ce qui apparait désormais comme un scandale dans le milieu scolaire : un enseignant de class 6 (cours moyen II), le nommé Emile Sone, 28 ans, abusait de ses élèves filles dont l’âge varie entre 7 et 11 ans. Cela étant, depuis janvier, ce dernier avait été exclu du corps enseignant, suite à une plainte faite par une parente d’élève du fait d’une bise peu orthodoxe faite à sa fille par Emile Sone.
L’enseignant violeur est passé aux aveux complets lorsqu’il a été interpellé et gardé à vue dans un commissariat de police de la ville ; entre temps, il aura échappé de justesse à la justice populaire d’une population révoltée et en furie. Ce qui est encore grave, c’est que l’infortuné a été déclaré séropositif à la suite d’un test du Vih. Et du coup, c’est la grande consternation et l’indignation chez les parents d’élèves qui s’activent pour faire subir des examens systématiques aux jeunes élèves abusés. Affaire à suivre !