Dans la capitale camerounaise, le plan anti-embouteillage est résolument en marche. En effet, c’est l’objectif que vise le Programme Yaoundé Cœur de ville du Contrat-Désendettement-Développement (C2D), dont les contours ont été présentés, le 4 octobre dernier à Yaoundé.
En effet, le Contrat-Désendettement-Développement (C2D), sur le plan infrastructurel fait son grand retour à Yaoundé, 12 ans après ses premières réalisations. Il s’agit notamment de la réfection complète de l’avenue Charles Atangana à Olezoa ; la construction de la route de Tongolo ; la contribution à l’aménagement du carrefour Préfecture ; la construction des voies de désenclavement intérieur des quartiers Briqueterie, Melen, Carrières, Mimbomam, Nkoldongo, Essos, etc.
Cette fois-ci, c’est le programme Yaoundé Cœur de ville qui va démarrer en 2024. Des explications données par Arnaud Ndzana, conseiller technique à la mairie de la ville et coordonnateur du Programme Yaoundé Cœur de ville, l’on retient que ce programme est un projet phare du plan de mobilité urbaine soutenable, et Yaoundé cœur de ville se déploie pour opérationnaliser ce Plan de Mobilité Urbaine Soutenable (PMUS), élaboré et adopté en 2019, et réaménager l’infrastructure routière au centre-ville afin de décongestionner le trafic.
Il cible les zones identifiées comme point de départ des liaisons inter- urbaines et les nœuds de liaisons entre le centre-ville et les quartiers résidentiels. Selon la Communauté urbaine de Yaoundé (CUY), le projet va mobiliser 54,7 milliards de FCFA et la durée des travaux est prévue pour 36 mois.
Comme impacts attendus, l’on cite la création de 800 emplois (dont 150 pour les femmes) soutenus par le projet, l’amélioration de l’accès à un transport urbain durable avec une valeur cible de 430 000 personnes en 2035, la diminution du temps de trajet ou encore l’augmentation des surfaces de cheminements piéton de 19 000 m2.
Dans son exécution, le projet va impacter plus de 1 000 personnes (commerces, habitations, agences de voyage, stations-services…), apprend-on. A ce sujet, la CUY assure que près d’un milliard de FCFA est destiné à indemniser les populations. Le mécanisme prévoit aussi, entre autres, leur relocalisation et la restauration des moyens de subsistance.
En effet, le Contrat-Désendettement-Développement (C2D), sur le plan infrastructurel fait son grand retour à Yaoundé, 12 ans après ses premières réalisations. Il s’agit notamment de la réfection complète de l’avenue Charles Atangana à Olezoa ; la construction de la route de Tongolo ; la contribution à l’aménagement du carrefour Préfecture ; la construction des voies de désenclavement intérieur des quartiers Briqueterie, Melen, Carrières, Mimbomam, Nkoldongo, Essos, etc.
Cette fois-ci, c’est le programme Yaoundé Cœur de ville qui va démarrer en 2024. Des explications données par Arnaud Ndzana, conseiller technique à la mairie de la ville et coordonnateur du Programme Yaoundé Cœur de ville, l’on retient que ce programme est un projet phare du plan de mobilité urbaine soutenable, et Yaoundé cœur de ville se déploie pour opérationnaliser ce Plan de Mobilité Urbaine Soutenable (PMUS), élaboré et adopté en 2019, et réaménager l’infrastructure routière au centre-ville afin de décongestionner le trafic.
Il cible les zones identifiées comme point de départ des liaisons inter- urbaines et les nœuds de liaisons entre le centre-ville et les quartiers résidentiels. Selon la Communauté urbaine de Yaoundé (CUY), le projet va mobiliser 54,7 milliards de FCFA et la durée des travaux est prévue pour 36 mois.
Comme impacts attendus, l’on cite la création de 800 emplois (dont 150 pour les femmes) soutenus par le projet, l’amélioration de l’accès à un transport urbain durable avec une valeur cible de 430 000 personnes en 2035, la diminution du temps de trajet ou encore l’augmentation des surfaces de cheminements piéton de 19 000 m2.
Dans son exécution, le projet va impacter plus de 1 000 personnes (commerces, habitations, agences de voyage, stations-services…), apprend-on. A ce sujet, la CUY assure que près d’un milliard de FCFA est destiné à indemniser les populations. Le mécanisme prévoit aussi, entre autres, leur relocalisation et la restauration des moyens de subsistance.