Stéphane Fouks, le magnat de la communication, au service du Cameroun.
Le vice-président du groupe de communication Havas de l’homme d’affaires Vincent Bolloré, Stéphane Fouks, a été reçu en audience au Palais de l’Unité le 29 septembre dernier par le président Paul Biya. Au cours de cet important entretien avec son hôte français, il a essentiellement été question de l’organisation en 2016, d’une conférence internationale au Cameroun. Il s’agit de susciter l’adhésion des investisseurs de tous les secteurs, dans le but d’accompagner le pays dans ses actions de développement économique.
Pour cet événement important, Havas va assurer la communication à l’international pour mieux rentabiliser les nombreux atouts dont dispose le Cameroun, par ailleurs grenier de la sous-région. Les investisseurs financiers et autres industriels seront ainsi appelés à financer des projets relevant de l’agriculture, la transformation des matières premières et l’industrie.
Objectif : l’émergence en 2035
En dépit du défi sécuritaire auquel le pays est confronté, le Cameroun présente selon Stéphane Fouks, « une stabilité rare dans la sous-région, une économie diversifiée qui résiste mieux à la chute des prix des matières premières et du pétrole, une population jeune, éduquée, dynamique et une bonne consommation intérieure ». Autant d’atouts qu’il faut valoriser pour mieux soutenir la croissance.
En effet, le pays est moins affecté par la crise budgétaire qui frappe la plupart des six pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), à la suite de la baisse drastique du cours du baril du pétrole. La raison est que le Cameroun présente une certaine diversification de son économie. Il faut rappeler qu’en 2010, en marge des festivités marquant le cinquantenaire de l’indépendance du Cameroun, Stéphane Fouks a organisé avec brio à Yaoundé, la conférence internationale dénommée « Africa 21 », à laquelle avaient participé de nombreux chefs d’Etat et de gouvernement et des invités de marque en provenance de tous les continents. Plus que jamais, la vision du président Paul Biya consiste à susciter un intérêt de la communauté internationale des affaires et de la finance à l’endroit de son pays.
Cela est d’autant primordial au moment où le président camerounais aborde la deuxième moitié de son septennat dit des « Grandes réalisations », et qui se pose comme celui de l’accélération du développement économique du Cameroun, dans le but d’atteindre l’émergence à l’horizon 2035.
Pour cet événement important, Havas va assurer la communication à l’international pour mieux rentabiliser les nombreux atouts dont dispose le Cameroun, par ailleurs grenier de la sous-région. Les investisseurs financiers et autres industriels seront ainsi appelés à financer des projets relevant de l’agriculture, la transformation des matières premières et l’industrie.
Objectif : l’émergence en 2035
En dépit du défi sécuritaire auquel le pays est confronté, le Cameroun présente selon Stéphane Fouks, « une stabilité rare dans la sous-région, une économie diversifiée qui résiste mieux à la chute des prix des matières premières et du pétrole, une population jeune, éduquée, dynamique et une bonne consommation intérieure ». Autant d’atouts qu’il faut valoriser pour mieux soutenir la croissance.
En effet, le pays est moins affecté par la crise budgétaire qui frappe la plupart des six pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), à la suite de la baisse drastique du cours du baril du pétrole. La raison est que le Cameroun présente une certaine diversification de son économie. Il faut rappeler qu’en 2010, en marge des festivités marquant le cinquantenaire de l’indépendance du Cameroun, Stéphane Fouks a organisé avec brio à Yaoundé, la conférence internationale dénommée « Africa 21 », à laquelle avaient participé de nombreux chefs d’Etat et de gouvernement et des invités de marque en provenance de tous les continents. Plus que jamais, la vision du président Paul Biya consiste à susciter un intérêt de la communauté internationale des affaires et de la finance à l’endroit de son pays.
Cela est d’autant primordial au moment où le président camerounais aborde la deuxième moitié de son septennat dit des « Grandes réalisations », et qui se pose comme celui de l’accélération du développement économique du Cameroun, dans le but d’atteindre l’émergence à l’horizon 2035.