Capitaine Haya Amadou Sanogo responsable du chaos au Mali
Au moment où la communauté internationale et régionale, s’activent pour trouver une solution à la crise malienne, la situation dans ce pays demeure opaque et ambigüe, tant les procédés de la junte militaire conduite par le bouillant Sanogo exaspèrent les maliens et l'opinion publique internationale qui s'émeuvent des agissements de ce personnage sulfureux.
Tous les moyens perfides sont utilisés avec une insolence déconcertante pour torpiller les efforts de redressement du pays par les hommes de Saogo.
Ces derniers opèrent en meutes meurtrières à partir de leur Quartier Général sis à Kati en se constituant en meute meurtrière pour accomplir leurs sinistres forfaits dès la nuit tombée.
Un modus operandi qui rappelle celui de la mafia et qui a pour objectif de commettre le rapt et la séquestration «les voix libres» qui s’opposent à leur pratique de sicaires et bandits de grans chemins.
Les opérateurs économiques sont également victimes des agissements des hommes de Sanogo qu’ils rançonnent et contraingnent à verser des dîmes. Une pratique estampillée Mafiosiste Appelation d’Origine Contrôlée (AOC).
Dernière victime en date, l'ex-premier ministre Cheick Modibo Diarra séquestré depuis plus d’un mois par ses ravisseurs de Kati après qu’il ait été contraint à démissionner de ces fonctions par ces putschistes de Kati et ce, au mépris des lois et de la constitution malienne.
Par ailleurs, de nombreuses informations qui circulent à Bamako sur la santé psychologique du Capitaine Sanogo sont inquiétantes.
En effet, ses informations laissent entendre que Sanogo se croirait investi d’une mission divine et se prendrait en conséquence pour le messie doté de tous les pouvoirs venue pour sauver le Mali.
Dans sa vision il se voit déjà à la plus haute marche de l'Etat et caresse le rêve de devenir chef de l'Etat. D’ailleurs, il avait confié sans embage aux médias «qu’il était prêt à répondre à l'appel du peuple si celui-ci le lui demandait».
De plus pour assouvir sa soif du pouvoir, le Capitaine Sanogo s’acharne à affaiblir l’unité d’élite que sont les bérets rouge, seule force militaire apte à protéger Mail des velléités des narcotrafiquants et des terroristes, en jetant en prison à Kati ou en assassinant leurs officiers, alors que les islamistes radicaux, qui sèment la terreur dans le septentrion malie, s’organisent et font actuellement mouvement vers les villes de Sévaré etv Mopti
Aussi, à lecture de ce qui précède, il est clair que les agissements de cev Capitaine putchiste suscitent plusieurs interrogations sur l’identité du camp qui cautionne Sanogo.
Une simple analyse des évènements qui se déroulent actuellement sur la scène malienne, nous amène à penser que Sanogo est manipulé par une puissance étrangère.
Ne serait-il pas en train de respecter à la lettre un agenda selon les vœux d’un pays tiers ? Certainement.
En effet, tirant profit du chaos qui touche brutalement son pays, il est acquis que le Capitaine Sanogo répond parfaitement à une commandite formulée par une partie étrangère.
Cette partie étrangère est facilement identifiable puisqu’elle est la seule à jouer à contre-courant en sabotant toute tentative de rétablir le Mali dans son intégrité territoriale, son unité et sa souveraineté nationale et qui se démène pour imposer un statu-quo.
D’ailleurs, cette partie étrangère est la seule, comme par enchantement, à avoir formé la garde rapprochée de Sanogo alors que le Président et le Premier Ministre n’ont pas eu droit à ce même traitement.
Cette partie vous l’avez devinez c’est l’Algérie.
C’est pourquoi, aujourd’hui, il est devenu urgent que la communauté internationale prennent ses responsablités pour déférer ce sinistre Capitaine Sanogo de la Cour Pénale Internationale pour crimes contre l'humanité (assassinat de 13 mauritaniens, de 22 nomades touaregs à Diabaly, enlèvements par centaines, séquestration, torture de citoyens maliens civils et militaires).
L’existence du Mali et la sécurité de toutes les populations de la région sahélo-saharienne ainsi que la stabilité des pays limitrophes sont en jeu.
Seuls une lutte implacable contre les islamistes qui sévissent au Nord Mali, une mise aux arrêts du Capitaine Sanogo et un ferme rappel à l’ordre lancé à l’Algérie par la Communauté internationale pour qu’elle veille à respecter la souveraineté des Etats pourraient permettre de mettre fin au calvaire inhumain et dégradant que vivent les populations du Nord du Mali et garantir la sécurité de toute la région mais aussi celles des continents africain et européen.
Farid Mnebhi.
Au moment où la communauté internationale et régionale, s’activent pour trouver une solution à la crise malienne, la situation dans ce pays demeure opaque et ambigüe, tant les procédés de la junte militaire conduite par le bouillant Sanogo exaspèrent les maliens et l'opinion publique internationale qui s'émeuvent des agissements de ce personnage sulfureux.
Tous les moyens perfides sont utilisés avec une insolence déconcertante pour torpiller les efforts de redressement du pays par les hommes de Saogo.
Ces derniers opèrent en meutes meurtrières à partir de leur Quartier Général sis à Kati en se constituant en meute meurtrière pour accomplir leurs sinistres forfaits dès la nuit tombée.
Un modus operandi qui rappelle celui de la mafia et qui a pour objectif de commettre le rapt et la séquestration «les voix libres» qui s’opposent à leur pratique de sicaires et bandits de grans chemins.
Les opérateurs économiques sont également victimes des agissements des hommes de Sanogo qu’ils rançonnent et contraingnent à verser des dîmes. Une pratique estampillée Mafiosiste Appelation d’Origine Contrôlée (AOC).
Dernière victime en date, l'ex-premier ministre Cheick Modibo Diarra séquestré depuis plus d’un mois par ses ravisseurs de Kati après qu’il ait été contraint à démissionner de ces fonctions par ces putschistes de Kati et ce, au mépris des lois et de la constitution malienne.
Par ailleurs, de nombreuses informations qui circulent à Bamako sur la santé psychologique du Capitaine Sanogo sont inquiétantes.
En effet, ses informations laissent entendre que Sanogo se croirait investi d’une mission divine et se prendrait en conséquence pour le messie doté de tous les pouvoirs venue pour sauver le Mali.
Dans sa vision il se voit déjà à la plus haute marche de l'Etat et caresse le rêve de devenir chef de l'Etat. D’ailleurs, il avait confié sans embage aux médias «qu’il était prêt à répondre à l'appel du peuple si celui-ci le lui demandait».
De plus pour assouvir sa soif du pouvoir, le Capitaine Sanogo s’acharne à affaiblir l’unité d’élite que sont les bérets rouge, seule force militaire apte à protéger Mail des velléités des narcotrafiquants et des terroristes, en jetant en prison à Kati ou en assassinant leurs officiers, alors que les islamistes radicaux, qui sèment la terreur dans le septentrion malie, s’organisent et font actuellement mouvement vers les villes de Sévaré etv Mopti
Aussi, à lecture de ce qui précède, il est clair que les agissements de cev Capitaine putchiste suscitent plusieurs interrogations sur l’identité du camp qui cautionne Sanogo.
Une simple analyse des évènements qui se déroulent actuellement sur la scène malienne, nous amène à penser que Sanogo est manipulé par une puissance étrangère.
Ne serait-il pas en train de respecter à la lettre un agenda selon les vœux d’un pays tiers ? Certainement.
En effet, tirant profit du chaos qui touche brutalement son pays, il est acquis que le Capitaine Sanogo répond parfaitement à une commandite formulée par une partie étrangère.
Cette partie étrangère est facilement identifiable puisqu’elle est la seule à jouer à contre-courant en sabotant toute tentative de rétablir le Mali dans son intégrité territoriale, son unité et sa souveraineté nationale et qui se démène pour imposer un statu-quo.
D’ailleurs, cette partie étrangère est la seule, comme par enchantement, à avoir formé la garde rapprochée de Sanogo alors que le Président et le Premier Ministre n’ont pas eu droit à ce même traitement.
Cette partie vous l’avez devinez c’est l’Algérie.
C’est pourquoi, aujourd’hui, il est devenu urgent que la communauté internationale prennent ses responsablités pour déférer ce sinistre Capitaine Sanogo de la Cour Pénale Internationale pour crimes contre l'humanité (assassinat de 13 mauritaniens, de 22 nomades touaregs à Diabaly, enlèvements par centaines, séquestration, torture de citoyens maliens civils et militaires).
L’existence du Mali et la sécurité de toutes les populations de la région sahélo-saharienne ainsi que la stabilité des pays limitrophes sont en jeu.
Seuls une lutte implacable contre les islamistes qui sévissent au Nord Mali, une mise aux arrêts du Capitaine Sanogo et un ferme rappel à l’ordre lancé à l’Algérie par la Communauté internationale pour qu’elle veille à respecter la souveraineté des Etats pourraient permettre de mettre fin au calvaire inhumain et dégradant que vivent les populations du Nord du Mali et garantir la sécurité de toute la région mais aussi celles des continents africain et européen.
Farid Mnebhi.