Dans la dernière parution de Jeune Afrique, les investigations ont relevées que la présidente de la transition de RCA, Catherine Samba Panza aurait détourné plus de 2,5 millions de Dollars du don en provenance de l’Angola pour épauler le trésor de Bangui. Déjà fragilisée par les querelles internes de son pays et de plus en plus lâchée par ses homologues de la sous région d’Afrique Centrale, Catherine vient aujourd’hui nous démontrer qu’elle serait aussi atteint du virus de détournement des derniers publics malgré la fragilité de la RCA.
Ses complices occidentaux commencent par s’interroger sur sa personnalité et sa capacité à mener à port la transition, déjà, considérée comme ratée. Depuis la révélation de Jeune Afrique sur la face cachée de Panza, la plupart des pays et les bailleurs de fond qui se grouillent pour épauler le pays de Bokassa, se sentent trahis et ont du mal à gober.
Une révélation qui fait mal, très mal, non seulement aux centrafricains mais surtout aux pays amis de la République Centrafricaine, qui, malgré leurs difficultés internes, tentent par tous les efforts de secourir la RCA. Le monde entier reste stupéfait. Selon le magazine Jeune Afrique, L’affaire remonte au 4 mars lorsque Catherine Samba Panza s’est rendue à Luanda, la capitale angolaise pour demander l’aide à son homologue et lui faire part des problèmes financiers de son pays. Le président angolais, Dos Santos, lui accorde à la hâte un don de 10 millions de dollars (7,8 millions d’euros) dont la moitié (5 millions) lui est remise séance tenante. Le lendemain de son retour à Bangui, la présidente elle-même remet les 5 millions cash à trois personnes de confiance, avec pour motif, aucune banque commerciale de Bangui ne disposant des liquidités nécessaires, d’aller les changer contre des Francs CFA à Douala, au Cameroun.
C’est le contesté, Mahamat Kamoun, alors conseiller spécial à la présidence, aujourd’hui Premier ministre dont la nomination à ce poste a fait beaucoup de bruit, Christelle Sabot, chef de cabinet et fille de la Présidente de la Transition Centrafricaine Catherine Samba Panza et Robert Bokoyo, Directeur adjoint du Trésor qui sont chargé d’exécuter cette mission top secrète. Le 6 mars, ils arrivent à Douala, font les échanges à la banque Ecobank. Deux jours après, la somme de 2 milliards Francs CFA est transférée sur le compte du Trésor centrafricain auprès de la Banque des Étais de l’Afrique centrale ((BEAC). Si jusque-là, le processus a suivi son cours normal, ce ne sera pas le cas pour la deuxième tranche de 5 millions de dollars. Celle-ci arrivera à Bangui, « fin mars- début avril », via un émissaire, relève la source. « Le 28 avril, à la demande de Mahammat Kamoun, le Directeur du Trésor, Gabriel Madenga, se fait remettre par Christelle Sabot, la fille de CSP, la somme de 2,5 millions de dollars qu’il transfère aussitôt sur le compte centrafricain à la BEAC, via Ecobank, dont l’agence de Bangui dispose cette fois des liquidités nécessaires en Francs CFA. »
La question qui vole en vedette de nos jours est : où sont passé les 2,5 millions de dollars (1, 132 milliards de F CFA) qui n’ont pas emprunté le même circuit légal et officiel ? Le FMI et le président angolais Dos Santos veulent être éclaircis sur cette question. Malgré ces pressions multiples, ils n’ont toujours pas obtenu des réponses claires de la part de la présidence de transition centrafricaine. Catherine Samba Panza est toujours en zone de turbulences. Le pire pour la débutante Catherine reste avenir.
Ses complices occidentaux commencent par s’interroger sur sa personnalité et sa capacité à mener à port la transition, déjà, considérée comme ratée. Depuis la révélation de Jeune Afrique sur la face cachée de Panza, la plupart des pays et les bailleurs de fond qui se grouillent pour épauler le pays de Bokassa, se sentent trahis et ont du mal à gober.
Une révélation qui fait mal, très mal, non seulement aux centrafricains mais surtout aux pays amis de la République Centrafricaine, qui, malgré leurs difficultés internes, tentent par tous les efforts de secourir la RCA. Le monde entier reste stupéfait. Selon le magazine Jeune Afrique, L’affaire remonte au 4 mars lorsque Catherine Samba Panza s’est rendue à Luanda, la capitale angolaise pour demander l’aide à son homologue et lui faire part des problèmes financiers de son pays. Le président angolais, Dos Santos, lui accorde à la hâte un don de 10 millions de dollars (7,8 millions d’euros) dont la moitié (5 millions) lui est remise séance tenante. Le lendemain de son retour à Bangui, la présidente elle-même remet les 5 millions cash à trois personnes de confiance, avec pour motif, aucune banque commerciale de Bangui ne disposant des liquidités nécessaires, d’aller les changer contre des Francs CFA à Douala, au Cameroun.
C’est le contesté, Mahamat Kamoun, alors conseiller spécial à la présidence, aujourd’hui Premier ministre dont la nomination à ce poste a fait beaucoup de bruit, Christelle Sabot, chef de cabinet et fille de la Présidente de la Transition Centrafricaine Catherine Samba Panza et Robert Bokoyo, Directeur adjoint du Trésor qui sont chargé d’exécuter cette mission top secrète. Le 6 mars, ils arrivent à Douala, font les échanges à la banque Ecobank. Deux jours après, la somme de 2 milliards Francs CFA est transférée sur le compte du Trésor centrafricain auprès de la Banque des Étais de l’Afrique centrale ((BEAC). Si jusque-là, le processus a suivi son cours normal, ce ne sera pas le cas pour la deuxième tranche de 5 millions de dollars. Celle-ci arrivera à Bangui, « fin mars- début avril », via un émissaire, relève la source. « Le 28 avril, à la demande de Mahammat Kamoun, le Directeur du Trésor, Gabriel Madenga, se fait remettre par Christelle Sabot, la fille de CSP, la somme de 2,5 millions de dollars qu’il transfère aussitôt sur le compte centrafricain à la BEAC, via Ecobank, dont l’agence de Bangui dispose cette fois des liquidités nécessaires en Francs CFA. »
La question qui vole en vedette de nos jours est : où sont passé les 2,5 millions de dollars (1, 132 milliards de F CFA) qui n’ont pas emprunté le même circuit légal et officiel ? Le FMI et le président angolais Dos Santos veulent être éclaircis sur cette question. Malgré ces pressions multiples, ils n’ont toujours pas obtenu des réponses claires de la part de la présidence de transition centrafricaine. Catherine Samba Panza est toujours en zone de turbulences. Le pire pour la débutante Catherine reste avenir.