L'évocation mémorielle de Clément Mouamba
Décor nouveau, nouvel orateur ; ce sont là, les grandes innovations de célébration du 58 ème anniversaire de la proclamation de la République, la première du genre depuis que la nouvelle république, issue du référendum du 25 octobre, a été portée sur les fronts baptismaux. C’est le rond-point du de l’institut français du Congo (IFC), anciennement centre culturel français (CCF), qui a servi de cadre à cette célébration et dont l’évocation mémorielle a été confiée, au premier ministre, Clément Mouamba.
Pour le locataire de la primature, rappeler cette date du 28 novembre 1958 , c’est « forcement avoir une pensée puissante pour les pères fondateurs que sont l’Abbé Fulbert Youlou, Jacques Ludovic Opangault et Stéphane Tchitchelle qu’il considère comme les gardiens vivants de la mémoire collective. Il n’a pas manqué de remercier le président Denis Sassou N’Guesso pour avoir fait de la journée du 28 novembre « un rite républicain. »
Clément Mouamba a placé cette commémoration sous le paradigme « La République une et indivisible. » Pour lui " ce paradigme enseigne que l’unité et l’indivisibilité de la République sont deux valeurs jumelles fortement associées et complémentaires " et de préciser « S’attaquer à l’une, c’est démolir l’autre et réciproquement. »
Tout en reconnaissant qu’à aucun moment l’histoire du Congo, les fondements de la République ont été contestés, ce qui est un bon signe pour demain, selon lui, l’orateur a cependant martelé que l’idéal républicain qui n’est toujours pas si bien connu par les congolais « n’est pas la violence, il n’est pas les milices armées, il n’est pas le terrorisme…il n’est pas l’anti panafricanisme ; il n’est pas l’envers de la paix. » C’est pourquoi, il pense l’unité de la République ainsi que son indivisibilité « sont une quête de tous les jours » tant que les milices armées, l’incivisme, qu’il soit techno-culturel ou non, attaquent injustement la République.
Partant de là, le premier ministre note que « L’unité et l’indivisibilité de la République sont donc à la fois un acquis et un projet collectif pour la liberté, la démocratie, l’égalité des chances…pour des institutions démocratiques » au niveau national, local pour une société plus participative, plus équitable et plus solidaire.
Ainsi pour le premier ministre, l’éloge de la République « se fait avec des mots", ce , " pour identifier et faire face aux maux qui peuvent entraver son économie positive. » Son vœu le plus ardent est que, ces mots « aient le sens porté par la gravité et l’objet du moment, la farouche énergie dans la paix et l’intransigeance sur la sauvegarde des libertés. »
Pour le locataire de la primature, rappeler cette date du 28 novembre 1958 , c’est « forcement avoir une pensée puissante pour les pères fondateurs que sont l’Abbé Fulbert Youlou, Jacques Ludovic Opangault et Stéphane Tchitchelle qu’il considère comme les gardiens vivants de la mémoire collective. Il n’a pas manqué de remercier le président Denis Sassou N’Guesso pour avoir fait de la journée du 28 novembre « un rite républicain. »
Clément Mouamba a placé cette commémoration sous le paradigme « La République une et indivisible. » Pour lui " ce paradigme enseigne que l’unité et l’indivisibilité de la République sont deux valeurs jumelles fortement associées et complémentaires " et de préciser « S’attaquer à l’une, c’est démolir l’autre et réciproquement. »
Tout en reconnaissant qu’à aucun moment l’histoire du Congo, les fondements de la République ont été contestés, ce qui est un bon signe pour demain, selon lui, l’orateur a cependant martelé que l’idéal républicain qui n’est toujours pas si bien connu par les congolais « n’est pas la violence, il n’est pas les milices armées, il n’est pas le terrorisme…il n’est pas l’anti panafricanisme ; il n’est pas l’envers de la paix. » C’est pourquoi, il pense l’unité de la République ainsi que son indivisibilité « sont une quête de tous les jours » tant que les milices armées, l’incivisme, qu’il soit techno-culturel ou non, attaquent injustement la République.
Partant de là, le premier ministre note que « L’unité et l’indivisibilité de la République sont donc à la fois un acquis et un projet collectif pour la liberté, la démocratie, l’égalité des chances…pour des institutions démocratiques » au niveau national, local pour une société plus participative, plus équitable et plus solidaire.
Ainsi pour le premier ministre, l’éloge de la République « se fait avec des mots", ce , " pour identifier et faire face aux maux qui peuvent entraver son économie positive. » Son vœu le plus ardent est que, ces mots « aient le sens porté par la gravité et l’objet du moment, la farouche énergie dans la paix et l’intransigeance sur la sauvegarde des libertés. »