Le massacre a eu lieu près de la rivière Limi, à seulement 15 km de Bohong. Les autorités locales ont immédiatement demandé une réaction rapide des autorités centrafricaines basées à Bangui. La situation est alarmante car les habitants sont désormais confrontés à une insécurité grandissante et vivent dans la peur constante.
Jonas Gaïngo, maire du 2ème arrondissement de Bohong, a exprimé sa consternation sur la Radio Ndeke Luka: « Hier, nous avions dénombré treize corps sur place. Quelque temps plus tard, nous en avons encore découvert quatre autres. Ce qui fait un total de 17 personnes tuées. Ceux qui ont commis ce forfait sont des éléments de 3R. Ceux-ci sont venus dire à la population de ne plus cultiver dans la zone. C’est en marge de cette rencontre qu’ils ont abattu ces personnes ».
Jean Ndio, un conseiller municipal, a également témoigné à la Radio Ndeke Luka : « Les éléments de 3R ont invité ces gens à une réunion. Sur le lieu, ils ont tiré à bout portant sur ces personnes ». Il déplore également l’absence des forces de défense et de sécurité dans la zone.
Jonas Gaïngo, maire du 2ème arrondissement de Bohong, a exprimé sa consternation sur la Radio Ndeke Luka: « Hier, nous avions dénombré treize corps sur place. Quelque temps plus tard, nous en avons encore découvert quatre autres. Ce qui fait un total de 17 personnes tuées. Ceux qui ont commis ce forfait sont des éléments de 3R. Ceux-ci sont venus dire à la population de ne plus cultiver dans la zone. C’est en marge de cette rencontre qu’ils ont abattu ces personnes ».
Jean Ndio, un conseiller municipal, a également témoigné à la Radio Ndeke Luka : « Les éléments de 3R ont invité ces gens à une réunion. Sur le lieu, ils ont tiré à bout portant sur ces personnes ». Il déplore également l’absence des forces de défense et de sécurité dans la zone.