Par Simon Koitoua
Ce dialogue traitera de toutes les questions politiques préoccupantes dans le cadre des institutions de la République sans remise en cause. Ce sera un dialogue politique interne, Centrafricaino-Centrafricain devant permettre aux Centrafricains eux-mêmes de se donner les moyens et la volonté politique de construire leur pays en renforçant les acquis démocratiques.
Les partenaires et amis de la Centrafrique peuvent être sollicités pour apporter des concours de tous ordres, financier, matériel et intellectuel au processus. La situation politique est très tendue en Centrafrique depuis l’avènement du régime sanguinaire, criminel et despotique du buveur de sang des centrafricains Djotodia et des bandes de voyous venus du Tchad et du Soudan pour annexer, piller, tuer, les Centrafricains Le gouvernement Centrafricain doit aussitôt mettre en place une équipe chargée de préparer ce dialogue, à savoir les partis politiques ,les forces vives de la nation, la jeunesse , les mouvements syndicaux et les religieux avec lesquels il sera débattu des modalités pratiques de la mise en œuvre de cette relance du dialogue politique inter-Centrafricain. Et à en croire, les étrangers ne doivent pas faire ce que les Centrafricains doivent et peuvent faire. La situation politique en Centrafrique est devenue extrêmement fragile depuis la prise de pouvoir du Criminel Michel Djotodia le 24 mars 2013 date de débâcle du peuple Centrafricain tout entier. Les Centrafricains exigent la suspension de code électoral rédigé par un groupuscule de gens sous le régime impopulaire de la seleka et du criminel Djotodia le but visé est d’écarter certains compatriotes de se présenter aux nouvelles échéances électorales et afin d’organiser une élection présidentielle crédible et d’éviter un conflit postélectoral.