CENTRAFRIQUE (Alwihda) - Dans un courrier adressé à Martin Ziguélé et parvenu à plusieurs rédactions dont Alwihda, l'ancien Premier ministre et candidat aux futures élections présidentielles, Anicet Dologuélé réagit à une analyse qui évoque son avenir politique en Centrafrique. Pour Dologuélé, il ne fait aucun doute que le document a été rédigé par l'équipe de Ziguélé, sur ses "instructions et adressé à différentes personnalités et organes de presse".
Pour lui, "le contenu de tous ces documents est d'une violence inutile". Dologuélé souligne que leurs "ainés ont fait de la politique dans la violence verbale et la haine. Cela a conduit [la Centrafrique] dans des désordres de tout genre pendant près d'une vingtaine d'années et depuis peu, dans le chaos".
Pour Sek Jeenhyn, "honte à ce monsieur Mr Valentin GONDAMOYEN [auteur de l'analyse], J'ai pris mon temps pour lire ce torchon, mais je suis dégouté. Que la haine, mensonge, jalousie...Mr Gondamoyen, c'est l'heure du rassemblement et non de raconter des niaiseries pareilles...vous allez payer très cher la souffrance des centrafricains". En choissisant de ne pas répondre au mal par le mal, Anicet Dologuélé prône la sagesse et adresse un message fort aux centrafricains.
Pour lui, "le contenu de tous ces documents est d'une violence inutile". Dologuélé souligne que leurs "ainés ont fait de la politique dans la violence verbale et la haine. Cela a conduit [la Centrafrique] dans des désordres de tout genre pendant près d'une vingtaine d'années et depuis peu, dans le chaos".
"Il faut désormais en tirer des leçons et changer d'approche"
Par ailleurs, Dologuélé précise également qu'il a "instruit très fermement [ses] équipes de respecter tous [les] adversaires politiques, en toutes circonstances. La violence ne viendra donc pas de [lui]". Il demande a Ziguélé de changer de stratégie et propose même une rencontre pour en discuter. Et d'ajouter que "la compétition politique n'est pas la guerre, [la RCA] a besoin de dirigeants modernes et ouverts". Pour Sek Jeenhyn, "honte à ce monsieur Mr Valentin GONDAMOYEN [auteur de l'analyse], J'ai pris mon temps pour lire ce torchon, mais je suis dégouté. Que la haine, mensonge, jalousie...Mr Gondamoyen, c'est l'heure du rassemblement et non de raconter des niaiseries pareilles...vous allez payer très cher la souffrance des centrafricains". En choissisant de ne pas répondre au mal par le mal, Anicet Dologuélé prône la sagesse et adresse un message fort aux centrafricains.