N'DJAMENA - Dans un communiqué rendu public hier, le Gouvernement de la République du Tchad s’insurge contre la déclaration d’un responsable de Human rights watch, dans laquelle il accuse le contingent tchadien de la MISCA de graves exactions sur les populations civiles.
« Le gouvernement exprime toute sa surprise et son indignation face à cette tentative éhontée de réécrire l’histoire qui se déroule en terre africaine ». Le Gouvernement apporte un démenti formel et met quiconque au défi d’apporter les preuves matérielles de ce genre d’informations.
Malgré des tapages médiatiques incriminant les troupes tchadiennes en RCA et les accusant d’être pro-SELEKA, le président tchadien Deby et son Gouvernement ont contré cette subjectivité par des déclarations musclées fortement médiatisées embarquant avec eux plusieurs médias du continent. L’homme du Tchad veut réussir à tout prix l’arrêt de la violence et rétablir l’ordre en ce pays en crise et sortir en héro comme au Mali. Le pari est à moitié gagné pour Deby.
« Le gouvernement exprime toute sa surprise et son indignation face à cette tentative éhontée de réécrire l’histoire qui se déroule en terre africaine ». Le Gouvernement apporte un démenti formel et met quiconque au défi d’apporter les preuves matérielles de ce genre d’informations.
Malgré des tapages médiatiques incriminant les troupes tchadiennes en RCA et les accusant d’être pro-SELEKA, le président tchadien Deby et son Gouvernement ont contré cette subjectivité par des déclarations musclées fortement médiatisées embarquant avec eux plusieurs médias du continent. L’homme du Tchad veut réussir à tout prix l’arrêt de la violence et rétablir l’ordre en ce pays en crise et sortir en héro comme au Mali. Le pari est à moitié gagné pour Deby.