LA CENTRAFRIQUE NE JOUE PAS A QUI PERD GAGNE !
Quand le centrafricain de base donne une leçon de la démocratie à des « politiciens » qui passent leur temps à discuter du bout de gras sans aucune chance d’avoir même une miette, le bas blesse est que certains candidats à la magistrature suprême de l’Etat aux esprits étriqués réfractaires au changement, veulent ménager la chèvre et le chou. En se trompant d’époque, ils se sont pitoyablement illustrés insolents vis-à -vis d’un peuple qui reprend peu à peu le goût à la vie et qui s’affiche mature qu’eux.
En Centrafrique, dans la douleur le changement s’opère tout doucement mais surement. Ce sont les conséquences d’une société en pleine mutation, vaxinée par les multiples crises à répétition et vectrice de ce changement. Même si l’on peut comprendre cette opposition au changement mais son acceptation reste du domaine de l’impossible.
On parle souvent de manque de courage de la classe politique centrafricaine, d’une absence d’étique ou encore tout simplement d’absence de probité. Il n’aurait pas fallu attendre longtemps pour s’en apercevoir lors de ces élections présidentielles centrafricaines. Cette frange de la classe politique centrafricaine inconsistante formée par des bras cassés qui veulent manger à toutes les ratatouilles et voulant se proclamer gagnants quand bien même qu’ils sont conscients d’une absence de résultat. Ils sont descendus plus bas que terre et l’éloquence a foutu le camp chez eux.
Les élections centrafricaines n’ont pas encore livré tous leurs mystères. D’inquiétude en contestation, de la fausse surprise à la réalité, du suspens à la déception, nonobstant le chaos et la mauvaise organisation, les centrafricains assistent pour la première fois à des élections inédites dont la grande spécifié marquante est l’équité des candidats en absence d’un président candidat à sa propre succession.
Même si nous savons que l’exercice électoral est un apprentissage démocratique et si ceux qui sont les principaux acteurs s’assimilent à des marginaux au point de recevoir des leçons de la démocratie venant de la base, il n’en demeure pas mois qu’il est d’une nécessité impérieuse de sortir le carton rouge pour exclure de la scène politique certaines personnes.
Quoi de plus raisonnable à penser que ces aventuriers n’ont aucun sens de la chose politique, aucun esprit à accepter une défaite politique qu’ils veulent à tous les coups, transformer en une victoire imméritée. Par conséquent, ils n’ont aucune probité et ils ne sont pas dans le temps du changement. Ils se trompent d’époque !
VOUS AVIEZ DIT ELECTIONS ? « Allons seulement … ! »
Si l’ANE n’a pas eu l’ingénieuse idée de rendre publique les résultats au fur et à mesure qu’ils soient traités, les démons de la guerre se seraient déjà invités pour un festin macabre. Il est important que les centrafricains s’approprient du résultat qui sortira des urnes qui n’est rien que les conséquences de leur expression démocratique. Quel que soit le président élu, ii sera le président de consensus qui s’imposera à tous sans distinction de parti politique, de région, d’ethnie, de religion.
A mi-chemin du dépouillement total ce jour du 5 janvier 2016, les choses se précisent et nous assisterons à des bouleversements de résultat, et ceci ne doit pas choquer, c’est normal surtout dans cet exercice novateur de la transparence démocratique pour le centrafricain lambda, laquelle transparence consiste à donner le résultat au fur et à mesure.
Il en ressort tout de même que le challenger Faustin Archange Touadera qui a gardé la main depuis le début de la proclamation des résultats va perdre du terrain en faveur du candidat, Anicet Georges Dologuélé, qui bénéficie d’un très fort vote dans l’arrière pays. Ceci pour une seule raison : Les très forts pourcentages de voix recueillis par Faustin Archange Touadera ont été pratiquement toutes comptabilisées et proclamées par l’ANE. Ce qui explique de très forts écarts depuis le début de la proclamation partielle des résultats par l’ANE et il ne dispose plus de marge assez importants pour inquiéter son principal concurrent. En revanche, ce dernier, en l’occurrence Anicet Georges Dologuélé bénéficie encore d’une assez importante marge de voix non encore comptabilisée venant de l’arrière pays.
L’écart qui s’est considérablement réduit pour finalement donner une courte avance à Anicet Georges Dologuélé annonce une suite palpitante qu’il ne faudrait pas être rabat-joie de comprendre et que chaque centrafricain doit s’estimer heureux que la démocratie centrafricaine est entrain de naître avec lui et le changement, la paix tant attendus sont en marche.
A cinquante pourcents du dépouillement et vu l’écart qui se creuse sensiblement entre le premier et les poursuivants, il n’est pas à exclure que le futur président centrafricain soit élu au premier tour – Plausible !
La solution de continuité et de la survie de Centrafrique passe par la rupture totale avec les vieux démons de la contestation injustifiée, de chercher vaille que vaille à prendre possession du pouvoir par la force, à être dans toutes les sauces et voir midi à sa porte.
Quand le centrafricain de base donne une leçon de la démocratie à des « politiciens » qui passent leur temps à discuter du bout de gras sans aucune chance d’avoir même une miette, le bas blesse est que certains candidats à la magistrature suprême de l’Etat aux esprits étriqués réfractaires au changement, veulent ménager la chèvre et le chou. En se trompant d’époque, ils se sont pitoyablement illustrés insolents vis-à -vis d’un peuple qui reprend peu à peu le goût à la vie et qui s’affiche mature qu’eux.
En Centrafrique, dans la douleur le changement s’opère tout doucement mais surement. Ce sont les conséquences d’une société en pleine mutation, vaxinée par les multiples crises à répétition et vectrice de ce changement. Même si l’on peut comprendre cette opposition au changement mais son acceptation reste du domaine de l’impossible.
On parle souvent de manque de courage de la classe politique centrafricaine, d’une absence d’étique ou encore tout simplement d’absence de probité. Il n’aurait pas fallu attendre longtemps pour s’en apercevoir lors de ces élections présidentielles centrafricaines. Cette frange de la classe politique centrafricaine inconsistante formée par des bras cassés qui veulent manger à toutes les ratatouilles et voulant se proclamer gagnants quand bien même qu’ils sont conscients d’une absence de résultat. Ils sont descendus plus bas que terre et l’éloquence a foutu le camp chez eux.
Les élections centrafricaines n’ont pas encore livré tous leurs mystères. D’inquiétude en contestation, de la fausse surprise à la réalité, du suspens à la déception, nonobstant le chaos et la mauvaise organisation, les centrafricains assistent pour la première fois à des élections inédites dont la grande spécifié marquante est l’équité des candidats en absence d’un président candidat à sa propre succession.
Même si nous savons que l’exercice électoral est un apprentissage démocratique et si ceux qui sont les principaux acteurs s’assimilent à des marginaux au point de recevoir des leçons de la démocratie venant de la base, il n’en demeure pas mois qu’il est d’une nécessité impérieuse de sortir le carton rouge pour exclure de la scène politique certaines personnes.
Quoi de plus raisonnable à penser que ces aventuriers n’ont aucun sens de la chose politique, aucun esprit à accepter une défaite politique qu’ils veulent à tous les coups, transformer en une victoire imméritée. Par conséquent, ils n’ont aucune probité et ils ne sont pas dans le temps du changement. Ils se trompent d’époque !
VOUS AVIEZ DIT ELECTIONS ? « Allons seulement … ! »
Si l’ANE n’a pas eu l’ingénieuse idée de rendre publique les résultats au fur et à mesure qu’ils soient traités, les démons de la guerre se seraient déjà invités pour un festin macabre. Il est important que les centrafricains s’approprient du résultat qui sortira des urnes qui n’est rien que les conséquences de leur expression démocratique. Quel que soit le président élu, ii sera le président de consensus qui s’imposera à tous sans distinction de parti politique, de région, d’ethnie, de religion.
A mi-chemin du dépouillement total ce jour du 5 janvier 2016, les choses se précisent et nous assisterons à des bouleversements de résultat, et ceci ne doit pas choquer, c’est normal surtout dans cet exercice novateur de la transparence démocratique pour le centrafricain lambda, laquelle transparence consiste à donner le résultat au fur et à mesure.
Il en ressort tout de même que le challenger Faustin Archange Touadera qui a gardé la main depuis le début de la proclamation des résultats va perdre du terrain en faveur du candidat, Anicet Georges Dologuélé, qui bénéficie d’un très fort vote dans l’arrière pays. Ceci pour une seule raison : Les très forts pourcentages de voix recueillis par Faustin Archange Touadera ont été pratiquement toutes comptabilisées et proclamées par l’ANE. Ce qui explique de très forts écarts depuis le début de la proclamation partielle des résultats par l’ANE et il ne dispose plus de marge assez importants pour inquiéter son principal concurrent. En revanche, ce dernier, en l’occurrence Anicet Georges Dologuélé bénéficie encore d’une assez importante marge de voix non encore comptabilisée venant de l’arrière pays.
L’écart qui s’est considérablement réduit pour finalement donner une courte avance à Anicet Georges Dologuélé annonce une suite palpitante qu’il ne faudrait pas être rabat-joie de comprendre et que chaque centrafricain doit s’estimer heureux que la démocratie centrafricaine est entrain de naître avec lui et le changement, la paix tant attendus sont en marche.
A cinquante pourcents du dépouillement et vu l’écart qui se creuse sensiblement entre le premier et les poursuivants, il n’est pas à exclure que le futur président centrafricain soit élu au premier tour – Plausible !
La solution de continuité et de la survie de Centrafrique passe par la rupture totale avec les vieux démons de la contestation injustifiée, de chercher vaille que vaille à prendre possession du pouvoir par la force, à être dans toutes les sauces et voir midi à sa porte.